Chapitre 1

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Je m'appelle Musa.

Je suis tombé en enfer il y a assez longtemps.
J'ai échappé aux purges et je suis une des plus puissants démon.

Quand je suis tombé en enfer, ma descente a été musicale si je puis dire.

De la musique semblait sortir de façon incontrôlable de mon corps. J'étais désorienté et les gens autour, des démons -c'est d'ailleurs à ce moment là que j'ai compris où j'étais, car les anges ne ressemble pas à ça, enfin je pense- , se sont mit à être comme posséder -le comble pour un démon.

Je ne comprenais rien. Je ne comprenais rien à ce qu'il se passait.
Puis, tous les démons autour de moi se suicidèrent tous en même temps. D'un coup. Ils tombaient tous et gisaient tous dans leur propre sang que le sol en était submergé.

Et bizarrement, plus j'avançais, plus les gens mouraient.

La musique qui sortait de mon corps semblait submergé les gens d'une envie suicidaire, sanglante ou simple, de façon incontrôlable.

Il me fallait un endroit reculé. Pour réfléchir, comprendre et apprendre à contrôler mes pouvoirs. Si s'en est un. De toute façon je savais très bien que je ne pouvais pas découvrir et contrôler mes pouvoirs en moins d'un mois, mais je peux au moins essayer de les contrôler en partie, pour pas faire de massacres à la moindre occasion, comme il pouvait m'arriver de le faire en étant humaine, mais en moins sanglant.

Soudainement des mains d'ombres semblaient sortir de mon dos et commencer à me porter.
Elles m'élevèrent dans les airs, montèrent toujours plus haut, et s'éloignant de plus en plus, d'immeubles en immeubles. Sans que je n'ai rien demander.

C'était incroyable, improbable, invraisemblables, mais vrai.
Il me semblait que plus je montais, plus la musique s'intensifiaient, pour couvrir plus de terrain. Elle semblait dotée de sa propre âme, une âme meurtrière qui plus est. 

D'une envie soudaine, je me mis à chanter, d'une voix forte.
Et je fus surprise. Étais-ce ma voix ? Elle était tellement cristalline à ce moment là... et encore maintenant d'ailleurs. Ma voix peut atteindre des octaves que je n'étais jamais parvenus à atteindre jusqu'alors.
Même étant humaine, ma voix n'était pas aussi clair.

Elle pouvait passer du grave à l'aigu d'un claquement de doigt. J'étais pratiquement devenu un orchestre, une chorale à moi toute seule. Je semblais avoir plusieurs voix qui se superposaient entre elles.

Arrivé au point le plus haut des building, les mains d'ombres, ces malines, me lâchèrent, rentrèrent dans mon dos et je tomba sur le toit.

Mon ascension m'étais épuisante.
Mais peut-être allais-je enfin être respecté, au contraire de mon ancienne vie. J'étais peut-être introverti mais j'étais redoutable.
Je m'étais mise assise et essayais de plus en plus d'atténuer le son, de me contrôler.

Ça a mis une semaine. Une putain de semaine !

Et pendant une semaine, la zone s'était vider, les gens s'étaient réfugiés autres part. Ou confiné chez eux, comme pendant une apocalypse. Mais je vais dire, c'est pas de ma faute si j'ai eu un afflue de puissance, je ne sais même pas d'où est-ce que ça vient.

Pendant une semaine, je n'avais pas dormi, pas manger, ni bu.
Ce qui fis que quand j'eus enfin réussi à me contrôler, je tomba de fatigue. Puis je dormis trois jours sur le toit. Personne n'était venu. Mais ils avaient recommencer à sortir dehors, s'étant aperçus que plus rien ne se passait.

Quand je me réveilla, après mes trois jours, je tomba du toit du plus grand building.
Mais quand je cru que j'allais m'écraser au sol, je ne le sentit pas.

Les mains étaient réapparu et avaient amorti ma chute.

Je posais doucement mes pieds au sol, lentement, simplement désorienté et commença à marcher. Mon ventre gargouillais mais je ne savais pas où je pouvais manger alors j'explorai la ville en quête d'eau et de nourriture.
Puis j'eus une idée.

J'entrai dans un restaurant, tout les regards se posèrent sur moi.
Je les ignorai puis alla m'asseoir à un tabouret au comptoir, je me frottais le visage avant de parler.

Moi [Musa]: Bonsoirrr...Euh.. Puis-je avoir de la viande et de l'eau s'il vous plaît ?

Ma voix était rauque, ça faisait plus d'une semaine que je n'avais pas ouvert la bouche.
Le restaurateur restait silencieux et me fixait.
Puis je me racla la gorge, ce qui semblait le réveiller.

R: Tout de suite.

Puis il alla me chercher un énorme steak saignant et une bouteille d'eau.

Mes mains d'ombres sortirent de mon dos, une se transforma en lame et l'autre en une espèce de fourche.
Je pris la bouteille et la bu d'une traite. Puis je m'attaqua au steak, je me jetais presque dessus tellement j'avais faim. Les mains coupais et amenaient les morceaux à moi, étant trop fatigué pour même utiliser mes bras, je mangeais tellement vite que même pas 5 minutes après, il n'y avait plus rien.

Je sentais que le restaurateur stressait de plus en plus. Mais je ne savais pas la raison.

Moi [Musa]: Alors...Je vous dois combien ? demandai-je en fouillant mes vêtements en quête d'argent.

R: Gratuit ! Gratuit !dit-il en secouant les mains de manière paniquer.

Moi [Musa]: Ça tombe bien, j'ai pas d'argent. Marmonnais-je

Le restaurateur suait à grosse goutte.
Je sentais les clients s'agiter derrière moi, et un s'approcha du comptoir pour hurler sur le restaurateur.

Client 1: Pourquoi tu lui fais gratis alors que nous on doit payer ?!!

Client 2: C'est vrai ça !! Nous aussi on veut des repas gratuits !!

Tout les clients: ON VEUT DES REPAS GRATUIT !! GRATUIT !! GRATUIT !!

Et je mis ma musique en marche, ciblé seulement sur les clients révoltés. C'est une chose que j'avais appris en une semaine, de manière à ce que il n'y est que la personne ciblé qui peut entendre la musique, m'entraînant sur les gens qui osaient s'aventurer trop près du building. Pour l'instant je n'avais en stocks que cette musique. La musique du suicide et du meurtre.

Et qu'est-ce qu'ils étaient bruyant...

Ils commencèrent à paniquer, à vouloir sortir mais la porte était bloqué. Puis ils s'énervèrent, s'insultèrent puis pour finir par s'entretuer.
C'était un véritable bain de sang.
Le restaurateur tremblait, et moi j'étais immobile.

Puis la musique s'arrêta, cette belle petite âme...

Moi [Musa]: Y'a pas de quoi surtout...

Puis je partis.
Le restaurateur tétanisé, s'évanouit.

Je me demandais à ce moment là pourquoi étaient-ils tous aussi nerveux mais je me suis dis qu'il y avait peut-être la télé en enfer, "Peut-être étais-je passer au infos ou un truc dans le genre..."

Mais ce que je n'avais pas vu, c'était l'ombre dans le coin de la salle, pourvu d'un grand sourire.

Mais je ne connaissais rien au enfer, étant encore "novice".

Alors il me fallait chercher des informations.

Les plus puissants démon par exemple.
La hiérarchie.
La composition du monde.

Enfin bref.

C'est comme ça que fus mon arrivée en enfer.

1163 mots.

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Désolé si c'est pas génial, je sais jamais trop comment commencer une histoire. XD

La musique dans la peauOù les histoires vivent. Découvrez maintenant