Chapitre 1

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Jeudi 29 septembre 19h57, j'étais prêt à rentrer chez moi quand tout à commencer. Le vent dans mes cheveux me faisais frissonner. L'hiver arriver à grands pas. Je sortais d'un de ces club merdique de banlieue de ma petite ville. J'avais obtenu un rdv avec la fille que j'aimais depuis quelques mois, rien ne c'était passer comme prévu bien entendu. Elle à commencer à me parler de ses problèmes d'amour. Je voudrais vous dire que ce n'était rien, mais celui qu'elle aimait n'était rien d'autre que mon meilleur ami. Cette fille me plaisait vraiment. Je rejoignais mon appartement avec les larmes aux yeux. j'étais faibles. Une larme coula lentement sur ma joue. Ce n'était pas que cette fille, et je le savais. Dans un sens mon meilleur ami m'avais aussi trahis. Comment est-ce que j'ai pu être si aveugle je suis vraiment qu'un nerd sans importance. Personne ne s'intéresse à moi. Je suis toujours le personnage secondaire. Mes pensées morbide ce fit arrêté par une grande claque sur la nuque d'un mec que je connaissais un peu, une genre de brute qui m'avais racketter toute ma scolarité.

"bah alors, petit nerd, on pleurs dans la rue ? Ta pas changer depuis le lycée" me dit-il. "laisse-moi, s'il te plait." retorquai-je. "ah bah si tu as changé, mais dit moi... les petites bouclettes c'est nouveau ? c'est un truc de tapette ça?" insista-t'il. Je ne fis pas attention à sa remarque et je continua mon chemin. Mes larmes ne cessais pas. Mon long manteau gris ne s'apercevait a peine dans le noir, mais, le grand brun qui m'agresser me tira la manche. Ce qui par ailleurs la déchira. Je me retourna alors pour lui faire face. Il faisait peut-être, au moins, deux têtes de plus que moi. Il me pris par le poignet de la mains droite et me plaqua contre un mur. J'essaya tant bien que mal de me débattre, mais j'était faible. 

Il approcha sa bouche près de mon oreille et chuchota : "ça tombe bien, Léo, j'ai toujours voulu essayer". 

Sur le moment je refusait dit croire. son autre mains se balader sur mon corp. Cela me fit crier. Je n'avais aucune envie de lui. Ses lèvres s'approchèrent des miennes. Quand tout à coup une voix avec un accent allemand et virile interrompu le moment. L'inconnu prononça "Eh, ça va pas de faire ça? en pleine rue en plus...Très discret." La brute qui me retenais ronchonna  "Laisse-nous, il est parfaitement consentant". 

Je me mis a bouger dans tout les sens. La brute me serra le poignet encore plus fort. 

"LACHE MOI SALE MALADE !" criai-je.

   L'allemand souriais, ça le faisait rire en plus ? Il avait des longs cheveux  claires qui descendais jusqu'à ses pèques. Il s'approcha de mon agresseur et s'arrêta a coté de lui. 

"Tu peut le lâcher s'il te plait ?" dit-il calmement. La brute retorqua "Mais de quel droit tu me parle comme ça toi ?" 

L'allemand ce recula. "Tant pis pour toi" dit-il. Puis il lui mis un énorme coup de poing dans la figure. La brute tomba à terre et me lâcha. Je couru vers l'homme qui me faisait signe de venir a lui. 

"merci beaucoup" lui répond dit-je. "pas le temps pour les remercîment il va ce relevait, suis moi !" me dit-il. 

On ce mit a courir en pleine nuit dans la rue. Le vent frais qui taper sur mon visage me terrorifier encore plus. L'homme me tenais la mains. On pris des petites ruelles, des poubelles tombais derrière moi, c'était la brute.

"accélère, bouclette !" cria l'allemand. 

On tourna d'un coup dans une minuscule ruelle. Elle mettait inconnus, personne n'aurait pu la remarquer a pars un habitué des lieux. Un énorme mur se dressa devant nous. L'homme ouvrit une porte d'un bâtiment. Il me fit entré. Il ferma brusquement la porte derrière nous et il alluma une petite lumière posée sur une table poussiéreuse. Cela l'éclairer et je pu enfin constater tout les détails de son visage. Il avait de grands yeux claires, une petite barbe à peine plus foncé que ses cheveux. Il porté une veste en cuir noir et un jean de la même couleur. Son nez était grand et fin, il était en parfaite accord avec son visage.

"Vector, mon prénom est Vector" dit-il en me regardant. Je le dévisagea un peu puis je lui dévoila mon identité : "Léopold, mais appelle moi Léo." "Nan... Je me contenterai de  « bouclette »" répondit Vector, il afficha un grand sourire. Vector s'approcha d'un coin de la pièce où il y avait juste un frigo "Tu veux quelque chose à boire ?" me dit-il.
"euh... Non c'est bon j'habite à deux pas d'ici... Ne t'en fais pas je vais rentrer" Je répondais avec une frustration immense.
Vector me regarda en me questionnant "Tes sur que tu veux rentrer à cette heure là ? Même le taré dehors il serait surpris de te voir dans la rue".

C'est vrai, en plus je n'avais aucune idée d'où j'était. Il était tard. J'étais crevé. Je m'effondrait de fatigue.

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