Chapitre 2

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La lumière du jour me réveilla. J'ouvrit les yeux, et un plafond délabré me fit face.  Je tourna la tête et je me trouvé dans une petite pièce, une fenêtre était entrouverte et laisser passer un léger vent frais dans la pièce. Pour un matin d'automne il faisait plutôt beau, je me leva et me dirigea vers la fenêtre. je pencha ma tête par celle-ci, une magnifique vue sur ma ville s'offrit a moi. Il devait être à peu près huit-heures et demi. Je me retourna pour faire un constat de la pièce ou je me trouver, il y avait un lit avec une couverture grise sans housse, une table de chever avec une lampe et un petit bout de papier. Je me dirigea vers celui-ci et j'ouvris le petit mot :

salut bouclette, c'est Vector. Désolé j'ai du vite partir ce matin... Mais ce n'est pas grave. tu n'est pas loin de chez toi normalement, j'espère bientôt te revoir :)

ah... oui Vector, je me demande comment il a su que j'était pas loin de chez moi. je pris mon manteau qui était sur une chaise au bout du lit. J'ouvrit la porte et je sorti dehors, je me retrouva dans une grande rue commerçante. L'odeur du pains des boulangeries, la musique des bars déjà ouvert et l'odeur de cigarette du vieil homme devant moi qui promener son chien. Je ne m'arrête pas , je marche le plus vite possible. J'ai hâte de rentrer chez moi...  

Quand je suis arrivé près de mon appartement j'ai reçus un message sur mon téléphone, c'était mon meilleur ami, Marco. Il m'envoyer un message en me disant très clairement qu'il passerait chez moi dans l'après midi. Marco et moi étions très proches depuis notre enfance. En primaire et au collège on était considérés comme des jumeaux, à un t'elle point que quand je faisais par aux adultes de nos établissement qu'on était juste ami, ils ne nous croyaient pas. 

J'entré chez moi, rien n'avait bouger. je m'écroula sur mon canapé. Je repensa à Vector, il m'avait sauver la vie. Pourquoi avait-il fait ça ? Si il n'était pas intervenu, je ne serait surement pas la aujourd'hui. Je me dirigea vers ma chambre pour me changer. Je mis un pull vert que ma grand mère paternelle m'avait soigneusement offert a noël l'année précédente, j'enfila un pantalon beige et des chaussettes blanche hautes. J'enleva soigneusement mes bagues pour les posés sur ma table de chevée. Je parti dans ma salle de bain pour me laver les dents et raser ma barbe de 3 jours qui me donné un air de SDF.

Plus tard dans la journée, ça sauna à la porte de mon appartement. C'était Marco, je le fit entrer. Ils alla directement s'effondrer sur mon canapé.
"Mec, Albane, je l'aime. Elle est fabuleuse ! Son style... Et sa façon de parler... Elle est juste parfaite !"
Albane était la fameuse femme qui m'avait beaucoup déçu hier soir.
"elle t'aime beaucoup aussi je crois..." dit-je un peu désespéré.
"Nannn c'est vrai ?!"dit-il. Il sauta du canapé et me regarda dans les yeux, ses cheveux bruns mi-longs lui tombés sur le visage. Je m'approcha de lui un peu plus et je lui fit par de mon aventure d'hier soir avec elle.
"Enfaîte, tu t'es pris un râteau ?" me dit-il en lâchant un léger soufflement de nez. Je menti: "non... Excuse moi de vouloir faire avancer l'histoire d'amour de mon meilleur ami." il me regarda avec ... Il savait très bien que je mentait mais il acquiesça. Il me questionna : "d'ailleurs comment ça se fait que tu n'a pas répondu à mes messages hier soir ?"
"eh bien, mon téléphone n'avait plus de batterie et je travaillé." je lui mentait encore, je n'avait aucune envie qu'il sache ce qui mettait arrivé. J'avais légèrement honte, c'est vrai.

Après avoir parlé de tout et de rien, Marco ce leva et mis sa main sur mon épaule.
"bon, je vais te laisser Léo. J'envoie un message à Albane dès ce soir !" dit-il, puis il sorti de chez moi... En claquant la porte.

Il était déjà 17h quand mon téléphone vibra, c'était mon père : 

coucou Léopold, J'espère que tu va bien. Moi et ta mère avons décidés de partir dans notre maison de vacance cette été. Alors on voulait te proposer de venir avec nous. On voulais aussi te prévenir à l'avance. On en reparle ce WE.

Evidemment que je voulais partir avec eux !

Une galaxie éternelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant