Chapitre 3

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Le temps passa, je n'avais plus aucune nouvelle de Vector. J'essayer en vains de le retrouvé, dans des bars, la rue ou des friperies pas loin de mon agression. Mais rien, aucune nouvelle. Il semblait s'être volatiliser. 

Je ne penser qu'à lui. Enfin, presque. Marco avait fini par avouer ses sentiments a Albane. Il y avait déjà de ça quelque mois... Bizarrement je n'éprouvais plus d'amour en vers celle-ci. J'était heureux pour Marco. Ils allés bien ensemble. 

Nous nous approchions à grands pas des vacances de noël et pour cela mes parents m'avait inviter à passer 1 semaine chez eux, a la campagne. "Saint-hubert" situé près de la frontière Allemande. 

Je ne me suis jamais décrit, a cette époque, j'avais de beaux cheveux bruns bouclées et de jolies yeux bleus. J'avais un corp de faible, assez maigrichon. Je complexer énormément sur mon corp. Mes années d'harcèlement au collège m'avait fait perdre toute ma confiance en moi. J'était nul. J'avais un taf de chiotte en plus, je devais signé et lire des papiers que je ne comprenais à peine. Mais cela me faisais gagner ma vie.

J'arriva un Mardi soir chez mes parents. J'étais exténué du voyage en train. Après leur avoir dit bonjour je me dirigea directement dans ma chambre. Ma chambre d'ado. J'étais à chaque fois que je venais ici, heureux de voir que rien n'avait changé. Je m'affala sur mon lit. Demain, j'avais décidé de sortir faire un tour dans mon village natal, le village dans lequel j'avais grandi.

Le matin ne ce fit pas attendre car je me réveilla à 11h57. Quand je descendu dans la cuisine il n'y avait personne, je chercha dans toute la maison, personne. Ils avaient disparu. Je reçu un message sur mon téléphone. C'était ma mère qui me disait qu'il était partis au marcher de bonne heure et qu'il aller sûrement rentrer dans l'après midi car il devaient aller voir leurs amis. Je me pris une tartine de confitures de fraise. Puis je mis mon manteau et je sortit dehors pour commencer mon petit voyage. Au coins de la rue une jeune fille était là, elle écouté de la musique un peu pop et vielle. Elle était accoté à un potto. Ses cheveux étaient noir avec des pointes violets. Elle porter un gilet et des collants déchiré. Elle m'aperçue, puis elle afficha un léger sourire sur son visage.

-bah tu t'es perdu le parigot ? On à pas l'habitude de voir de la chair fraîche dans l'coin. Dit-elle

-Je... Je suis originaire d'ici enfaîte.

-ahhh ça explique tout, tes venu ici pour te ressourcer ? Demanda-t-elle

-En quelques sortes...

-Fait pas l'timide, j'm'appelle Jeanne ? Et toi ? 

Elle me tendit sa mains. 

-Je m'appelle Léop...Léo ! J'était sur à mille pourcents qu'elle aller me charrié avec mon prénom.  

-Ok Léo ! tu veut faire un tour avec moi ? 

Après de longue heures à avoir marcher aux côté de Jeanne, elle avait de belles Dr. Martens...J'était un peu jaloux je l'avoue. Elle me raconta que son père était allemand et qu'il avait rencontrer sa mère dans les années 80 et que de cette union ils l'avait eu, mais qu'il c'était barré à sa naissance donc elle ne l'avait jamais connu. ça ne l'avait jamais vraiment affectée et elle s'en foutait un peu. Je la comprenais, même si j'avais toujours connus mes parents, ma grand mère dont j'était très proche jusqu'à mes 16 ans m'avais quitter et ça je n'en me remettrai jamais. La folie de ma grand mère me faisait me sentir moins seul, elle passer ses journées a me raconter toute sa vie. Un jour au cours d'une discussion philosophique dont j'avais l'habitude elle m'avais dit "tu vois Léopold, ne porte jamais d'importance à l'amour que tu reçois concentre toi sur ce que tu donne, car à force de donner ce que tu as tu ne pourra un jour malheureusement plus aimait ton prince charmant" elle avait utiliser le terme "prince charmant" pour je ne sais quelle raison, au début je croyais qu'elle c'était trompée mais en y réfléchissant je ne pense pas...  Jeanne me demanda si je voulais passer chez elle pour prendre un verre. Je partit donc en direction de chez elle. J'arriva devant un appartement recouvert de lierre. On monta des escalier qui grincer. Arriver devant une porte elle ouvrit et me fit entrer

-Hector ! je suis rentrer !!

Un homme sorti de nul part. Il me regarda de haute en bas. 

-J'ai ramené un ami ! il s'appelle Léo, et il m'écoute quand je parle !

elle lança un regard de tueuse à ce qui s'apparentais être son colocataire. Elle m'amena dans la cuisine. En passant je fit un signe de la mains à Hector qui n'avait dit aucun mot depuis mon arriver. Je m'asseyait à une table pendant que Jeanne me servait un verre d'eau, je buvait que ça. Hector ce mis à me parler. 

-Dit ? tu t'appelle vraiment Léo ?  

Une galaxie éternelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant