Soulmate.

6| consolation.

Pdv externe :

Yuuji ne put s'empêcher de serrer ses mains plus fort; il est sûr qu'ils auraient des bleus demain.

"Je n'ai pas écouté, au début." Le ton doux et inhabituellement modéré de son sensei continua: "J'ai écrit à mon âme sœur quand j'avais cinq ans. Il n'y a eu aucune réponse."

«Où êtes-vous, qui êtes-vous, êtes-vous là, s'il vous plaît répondez-moi, je veux vous parler» , le petit enfant se mord les lèvres, le yukata bleu immaculé qu'il utilise des rides alors qu'il retroussait les manches et écrivait plus de frustration «-vous avez une âme sœur, celle qui vous attend depuis toujours.»

"Mais ensuite il y a vos écrits. Il y a vous. Je-" Un soupir, un autre doux bruissement de tissu, et Yuuji pouvait sentir quelque chose de froid tenir ses mains - les mains de Gojo-sensei, toujours inhabituellement froides, et le souffle de Yuuji s'interrompit silencieusement. "- tu me regarderais, Yuuji?" Yuuji n'avait jamais entendu Gojo-sensei utiliser ce ton auparavant; vulnérable, calme et non un ordre, au lieu de cela, il supplie silencieusement. Yuuji ne voulait plus jamais entendre Gojo-sensei utiliser ce ton à nouveau, et avec un grincement de dents, il leva la tête.

Gojo-sensei est assis en face de Yuuji, tout près, sans son bandeau, ses yeux bleus brillent comme des cristaux dans le noir, les cheveux blancs comme neige ont presque l'air d'amplifier la lueur d'un bleu artificiel. Ce n'est cependant pas ce qui a attiré l'attention de Yuuji. Ces larmes coulent sur le visage pâle de son âme sœur.

Son sensei pleure , et Yuuji oublie momentanément tout alors qu'il est surpris au garde-à-vous, alarmé. Sa main tendit la main pour essuyer les larmes de l'homme.

Alors Gojo-sensei était partout; la chaleur de son corps sous son uniforme qui colle au corps de Yuuji est familière, tout comme l'odeur du parfum subtil de pin et de menthe qu'il utilisait habituellement, le rythme cardiaque calme est si proche du visage de Yuuji, et les mains qui s'enroulaient et engloutissaient facilement son corps sont aussi sûres car ils sont douloureux .

"Vous m'avez ignoré!" Cria Yuuji, étouffé par leur proximité. Des larmes fraîches coulant sur son visage sur l'uniforme noir humide, sa poitrine retrouve l'étroitesse et la douleur familières qu'elle était auparavant. "Tu n'allais jamais me le dire! Tu ne veux pas de moi !"

Cela ressemblait à une accusation, un défi. Un enfant pétulant qui pique la colère, hurle de colère. Yuuji ressentit du regret à l'instant où ils quittèrent sa bouche, mais il ne put se résoudre à s'en soucier. C'est la vérité, n'est-ce pas? Sa propre âme soeur ne veut pas de lui, c'est pourquoi il a ignoré et évité Yuuji pendant des semaines, et il ne comprend pas pourquoi Gojo-sensei resserre plutôt son étreinte, tenant Yuuji aussi près que possible, pour qu'il puisse entendre le sorcier. propre rythme cardiaque tonnerre. Yuuji a découvert qu'il ne pouvait pas s'échapper, le combat a quitté son corps aussi vite que possible, car peu importe à quel point il est en colère et blessé, aussi confus ...

"Pourquoi ..." "... tu ne veux pas de moi? Qu'ai-je fait de mal? Pourquoi me tiens-tu comme ça?" Un sanglot étranglé s'échappa de ses lèvres, ses épaules tremblaient malgré tout; encore une fois, Yuuji ne pouvait pas l'arrêter. Il ne comprend pas, mais,

«Sensei ...»

... Gojo-sensei est enfin là.

Après des semaines de confusion, des semaines à enterrer ses inquiétudes et à quel point son désir ardent est-il mal pour Yuuji de se serrer dans ses bras? Pour serrer douloureusement l'uniforme de son sensei alors qu'ils se raidissaient sous la tension de ses doigts? Avait-il tort d'apprécier la façon dont l'homme aux cheveux blancs incline la tête quand Yuuji enfouit son visage frappé de larmes sur son épaule? Si Yuuji n'est pas autorisé à avoir Gojo-sensei alors sûrement, cela suffit-il?