la femme d or

Seconde Partie

Oui je suis devenu avocate alors que je n avais que vingt ans. Mais à savoir que ce que j ai vécue au collège m'a marqué pour toujours et à jamais. Je n ai fais que être répugnée par les hommes. Chaque soir tout repasse dans ma tête comment pardonner ? Comment oublier ? Et John lui n a pris qu une amande et une réduction. Je vie seule dans un appart cherchant à oublier l inoubliable. Mais comment faire quand on te pousse à mourir ? La rancune et la haine reste là au fond de mon être. Mon unique but était d aider les autres dans le besoin. Mais un jour alors que j étais en vacances je put entendre la sonnerie de mon appartement sonner. Je fut surprise et je marchais vers la porte (ayant eu des prothèses je peux marcher maintenant), j ouvre alors la porte et un homme d un mètre 78, cheveux court, brun, yeux noir me regardait en souriant. Je dis sur un ton grave:

-«je suis pas intéressée peu importe ce que C est. merci. aurevoir.

-Minerva, c est moi George du collège. Je t ai beaucoup chercher tu sais ? Oh au faite j ai retrouvé ta peluche. »

Puis il me montre le requin que j avais acheter étant enfant puis je soupire lentement. Le revoir me fais rien de spécial et je viens alors refermer lentement la porte:

-«comme je l ai dis peu importe ce que C est je suis pas intéressée. »

Puis je referme donc ma porte mais lui reste devant et après une dizaine de minutes je viens décider de lui ouvrir en lâchant un long soupire. Il entre donc je lui sert un Café et j'en profite pour m en faire un au lait et je viens alors le regarder. Puis il vient alors me regarder et commence à m expliquer ce qui c est passé une fois que je suis partie. Après mon départ il s' est retrouvé seul et s' est promis de me retrouver. Sauf qu'après ma tentative de suicide les gens se sont poser des questions et John fut lui même victime de harcèlement. Les gens le voyaient comme un meutrier et un sans cœur, puis quand George fut intégré au lycée, John alla dans le même lycée mais la bas aussi il fut victime de harcèlement. Tout le monde ne faisaient que le voir comme un meutrier. Puis avec l âge, il s' est rendu compte de ce qu'il a fait.. quant à la blonde, elle avait déménagé. Le problème s' est que ces parents l ont laisser se débrouiller seule et au final elle galère et croule sous les dettes. Et les surveillantes qui ne m ont jamais crut furent mutées ailleurs. Et la peluche il l'a retrouvé à l internat. Quand il a retrouvé une peluche il l'a prise car il savait que C était la mienne. Et la fille au cheveux rouge elle est parti de sa famille après avoir réalisé ce qui c est passé. Quand aux autres leur vie fut peu impactée. Ils ne se sentaient pas coupable. Il m'a tout raconté mais qu est ce que sa pouvais me faire ? Je m en moque de ce que sont devenue les autres, c est leurs problèmes pas les miens. Puis je viens me lever alors et je soupir:

-«je m en fiche moi d'eux. Pourquoi tu es revenu me voir après toutes ces années ?

-et bien tu es toujours resté la fleure spéciale que j ai connue tu sais. Ami ne veux pas dire se voir vite fais au collège tu sais ? Ami pour moi c est être toujours là pour la personne, d ailleurs je suis toujours en face de toi même aujourd'hui.

-et alors qu est ce que tu veux que ça me fasse je suis plus une gosse. Tu pensais quoi dis moi où tu étais quand on m'a frappé ? Où tu étais quand je devais faire les devoirs pour les autres ? Ou tu étais quand j etais à l hôpital ? Qu'as tu réellement fais pour moi ? Tu n'as même pas était voir les adultes pour moi.

-c est vrai je n étais pas là. J ai eu trop peur pour tout dire c est vrai. Je suis désolé je pense que je me suis trompé de lieux.

-oui je pense aussi aurevoir. »

Puis il parti tête basse, moi je ne resenti rien à ce moment là. J'étais trop mal pour pardonner qui que ce sois. Il avais néanmoins laisser mon doudou sur la table. Puis je repense à mes parents mon père est mort pas longtemps après mon séjour à l hôpital. Il a fait une dépression... Il s'est senti indigne du début à la fin. Quant à ma mère, elle est maintenant en maison de retraite j ai beau aller la voir elle me reconnait jamais. Franchement quelle chance je peux avoir dans ce monde. Je suis devenue une avocate réputée d ailleurs je vie près de Paris pas difficile de me retouver. Puis je décide d aller faire un tour dehors pour sortir prendre l air. Je me fume une cigarette en marchant dans la rue avant d aller m asseoir sur un banc, dans un parc. Je profite de la belle journée d été chaude et ensoleillée. Mais une chose me dérangeait après mes vacances j ai déjà une personne à protéger. Puis je passe mes vacances tranquillement toujours célibataire ce qui me derange pas. Je me lève alors le lundi pour aller voir la personne que je dois protéger. En passant près de ma fenêtre je vois la peluche et je lâche un petit sourire repenssant alors à George un petit instant avant d aller prendre ma voiture. Puis j arrive et je me dirige vers mon patient je le salue il fait de même. Puis je pose les dossiers au sol et je tend ma main: