Chapitre 6 (suite)

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NDA: Coucou! Je voulais simplement m'excuser pour le retard de ce chapitre et vous dire que parfois les chapitres plus longs comme celui-ci seront divisés en deux. D'autres seront vachement courts, j'ai déjà réfléchi de les publier par deux, mais à ce moment-là ça aurait donné des titres du genre "chapitre 7 et 8" , et ça serait vachement bizarre. Du coup ben, je les publierai avec peu de temps d'intervalle. On va rester simples et organisés!! N'hésitez pas à commenter (ça me fait énormément plaisir d'avoir du feedback, j'adore vous lire!!!!) et à me dire si j'ai fait des erreurs ou s'il y a quelque chose que vous ne comprenez peut-être pas! Sur ce, je vous laisse avec la suite du jeu! Bonne lecture ^w^

Tu fus alarmée par un bruit. Tu regardas autour de toi. Tu ne voyais personne. Tu fronças les sourcils. Lorsque tu regardas l'heure, tu constatas qu'il ne restait plus que cinquante minutes. Tu étais là depuis une heure dix. Un autre cri retentit. Il ne dura qu'une minute. Ta respiration s'accéléra un peu. Tu attendais de voir qui allait apparaître dans le couloir, mais personne ne se présenta. Un autre cri. Un cri de désespoir. Tu ne sus dire à qui il appartenait.  Tu espéras simplement que ton prédateur se dépècherait.

Tu étais de plus en plus stressée. Tu fis rebondir ta balle rebondissante le plus bruyamment possible. Tu n'avais pas le droit de crier, mais au moins tu avais l'occasion de te rendre un peu plus évidente à trouver.

Le temps passait, et ton inquiétude grandissait. À présent, il ne restait que 35 minutes de jeu, et toujours pas de prédateur en vue. Au moment où tu comptais bouger, tu vis la chemise aux motis de girafe noirs et blancs que tu redoutais tant apparaître à la porte. Mais il partit à l'opposé de toi. Comment pouvait-on être aussi stupide???
Tu fis tomber un mannequin, ce qui attira son attention, et il te remarqua alors.

Tu te préparas psychologiquement à ce qu'il allait se passer. Il ne te ménagerait sûrement, et tu en étais consciente. Et il n'allait sûrement pas t'aider. Tu avais de grandes chances d'y passer. Tu en étais consciente, et, bien que terrifiée, tu essaya de garder ton calme. C'était ta seule chance de survivre.

"C'est là que tu te cachais depuis le début? Je ne te croyais pas si stupide.

-C'est toi qui es stupide." le provocas-tu pour l'énerver.

Comme tu l'avais prévu, il n'apprécia pas du tout. Il se mit en colère et, en un coup de poing, t'envoya au sol. Tu serras ta balle rebondissante, consciente qu'il ne te servirait à rien de te débattre.
Il commenca à te ruer de coups de pied dans le ventre et les côtes. Tu toussas et retins tes larmes de douleur, car cette dernière était plus qu'insupportable.
Tu voulais que cela s'arrête, mais tu ne voulais pas mourir.. Tu murmuras alors quelques jurons pour signaler à Niragi que tu étais encore consciente.

"T'en as pas eu assez?" hurla-t-il, furieux. Tu secouas la tête avec un sourire provocateur mais douloureux.

Il t'asséna alors de nombreux coups au visage, semblant s'amuser. Ton nez se rompit et se mit à saigner. Ta vision se brouilla. Les coups de Niragi se portèrent vers tes bras, t'arrachant des hurlements de douleur. Tu ne pouvais plus les contenir. Il te frappa avec le dos de son arme, tu n'en pouvais plus.

"La tête!!!! Achève-moi, frappe ma tête, je t'en supplie..!!" hurlas-tu, ne supportant pas cette atroce douleur.

Niragi sourit simplement. Il se pencha sur toi, sa bouche étant près de ton oreille.

"C'est ce que tu aimerais bien, hein? Tu crois que je sais pas que je pourrais simplement t'assommer?" chuchota-t-il.

Tes yeux se brouillèrent de larmes. Pourquoi..? Niragi retourna à l'ouvrage, Frappant tes bras et tes jambes, jusqu'à ce que tu n'eûs même pas la force de crier. Tu voulais que tout s'arrête...
Deux minutes plus tard, tes membres étaient couverts de bleus et endoloris, tu tremblais de tout ton corps et Niragi commençait à s'ennuyer. Il marqua un court temps, se recoiffa, et sourit. Tes oreilles sifflaient. Niragi reprit sa respiration et essuya sa bouche avec le dos de sa manche. Il sourit. Un sourire pervers et répugnant. Il leva son arme.

"Bonne nuit petite!!!" déclara-t-il d'une voix triomphante.

Une terreur soudaine. Une douleur écoeurante au ventre. Puis, plus rien.


Chishiya x Reader (FR)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant