Tsukishima part avec son équipe à Tokyo pour un camp d'entraînement.
Et retrouve un chat, une chouette et une maman.
Akaashi : Bonjour Tsukki.
Bokuto : Hey hey hey !
Kuroo : Tiens, le poussin est là ?
//Les fanarts présents dans cette fic ne m'appar...
Tsukishima : Ne fais pas ça ! Kuroo : Pourquoi ? Tsukishima : Tu le sais très bien sale chat.
Il est vrai que les quels baisers de Kuroo n'étaient rien. Mais Tsukki ne connaissait pas ce genre de contact, il ne savait pas comment son corps allait réagir à ça. Ou même mentalement et il ne voulait pas le savoir maintenant. Kuroo, lui, voyait la chose différemment, son passe-time favori était de découvrir des nouvelles facettes de Kei et celle-là, il ne l'avait encore jamais vu. Après, si Tsukki refusait, il arrêterait.
Le blond sentit encore une fois des lèvres l'embrassaient. Certes, il était curieux de cette nouvelle sensation, mais Tsukki n'aimait pas l'inconnu.
Tsukishima : Je peux savoir ce que tu fous ?! Kuroo : Rien pourquoi ? Tsukishima : Sors ta tête. Kuroo : Après. Tsukishima : Non, maintenant. Kuroo : Ok mais à une condition. Tsukishima : Sale-Dis toujours. Kuroo : Tu me laisses te faire un suçon. Tsukishima : Q-Hors de question ! Tu crois que je vais te croire alors que tu aurais déjà dû dégager. Kuroo : Je te promets. Tsukishima : Non. Kuroo : Alors je reste comme ça. Tsukishima : ... Kuroo : S'il te plaît ! Tsukishima : T'es vraiment un pervers forceur. Kuroo : Juste un peu.
Kuroo continua a couvrir son cou de baiser mais il était frustré de ne pas pouvoir lui faire un suçon. Sa peau lui était totalement offerte, mais Tsukki allait s'énerver.
Kei fut soulagé mais bizarrement ce contact lui manquait, il ne se comprenait pas lui-même. Il criait pour qu'il arrête et là, il voulait presque qu'il recommence. Mais évidemment, il ne va pas lui dire.
Kuroo : Tu fais une drôle de tête poussin. Tsukishima : La ferme. Kuroo : Ne me dis pas que tu as jamais eu de suçon et que tu flippes ? Tsukishima : Pourquoi je flipperai ? Kuroo : Je sais pas. Tsukishima : Bah voilà.
Tetsurō hésita à poser cette question, ne voulant pas faire trop forceur.
Kuroo : Tu veux vraiment pas ?
...
Tsukishima : Tss...Fais ce que tu veux.
Il ne savait pas s'il allait regretter, mais bon, une expérience reste une expérience, bonne ou mauvaise. Kuroo n'en croyait pas ses oreilles mais cette fois, il n'allait pas lui demander si il était sûr. Un frisson traversa la colonne vertébrale de Kei quand il sentit le brun lui suçoter le cou, par reflex, il aurait directement repoussé Tetsurō, mais allez savoir , pourquoi il préféra agripper son tee-shirt à la place. Cette sensation était autant bizarre que... divinement bon, il ne savait pas comment gérer ça. La capitaine de Nekoma savourait, sachant qu'à tout moment Tsukki pouvait lui dire d'arrêter, en même temps qui pouvait résister à ce poussin ? Pour lui, la réponse était claire, personne. Il avait un parfum enivrant. Un énorme sourire se dessina quand il entendit Kei poussait un long soupire, tirant de plus en plus sur son haut. Mais comme d'habitude, quand Kuroo arrivait à passer une étape avec son poussin, quelqu'un les déranger et là, c'était Yaku qui frappa à la porte.
Tsukishima : Bordel...Ouais ? Yaku : Kuroo dort tou- Kuroo : C'est important-
Il se prit violemment un ballon dans la tête.
Yaku : La prochaine fois que tu dis à Lev que je préfère sa sœur ou que je la kiff, je te bute ! Kuroo : Arg...Je rigolais. Yaku : Il a mal prit et il veut plus me parler, t'as intérêt à réparer tes conneries. Kuroo : Ok, pas besoin de s'énerver Yaku. Yaku : Si ! Kuroo : Et puis si tu lui avais déjà avouer tes sentiments, je ne l'aurai dit ! Yaku : C'est toi qui dis ça ?!
Le capitaine se rappela de leur discussion d'hier soir.
...
Tu n'aimerais pas Tsukishima toi ?
...
Kuroo : La ferme. Yaku : J'espère pour toi que demain matin tout sera réglé !
Il partit en claquant la porte, il est vrai que le libéro pouvait être assez violent quand on touchait à Lev.
Tsukishima explosa de rire.
Kuroo : Je peux savoir pourquoi tu rigoles toi ?! Tsukishima : Tu ne te fais pas respecter alors que c'est toi le capitaine ! Kuroo : Parce que toi tu respectes Daichi ? Tsukishima : Bien sûr, je suis pas suicidaire moi. Kuroo : ...Pff ! Tsukishima : Tu devrais appeler votre russe. Kuroo : Pourquoi il a fallu que ce soit ce psychopathe son garde du corps ! Tsukishima : C'est de ta faute. Kuroo : Quoi ?! Tsukishima : Tout est toujours de ta faute. Kuroo : C'est même pas vrai. Tsukishima : Bon, tu vas le voir ? Kuroo : Ok mais tu m'attends. Tsukishima : Mouais. Kuroo : S'il te plaît. Tsukishima : Grouille toi.
Kuroo partit presque en courant de sa chambre.
Tsukishima : ...
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...
...Pourquoi je déteste autant Yaku de nous avoir dérangés ?
