Tsukishima part avec son équipe à Tokyo pour un camp d'entraînement.
Et retrouve un chat, une chouette et une maman.
Akaashi : Bonjour Tsukki.
Bokuto : Hey hey hey !
Kuroo : Tiens, le poussin est là ?
//Les fanarts présents dans cette fic ne m'appar...
Kuroo : Poussin ? Tsukishima : Ouais ? Kuroo : Quand Chiaki a dit que je la draguais, tu l'as cru à un moment ? Tsukishima : Pas du tout. Kuroo : Tu vois, tu me fais confiance. Tsukishima : J'ai jamais dit que je ne te faisais pas confiance. Kuroo : Je suis à deux doigts de pleurer de joie. Tsukishima : Tss... Kuroo : Enfin bref, c'est là la salle de bain ? Tsukishima : Oui. Kuroo : Je ne ferme pas à clé, je te fais confiance. Tsukishima : Ne t'inquiète pas, je ne vais pas entrer. Kuroo : Fait comme tu veux poussin. Tsukishima : Allez, va te laver abruti.
Tsukishima savait très bien que Kuroo allait mettre longtemps, il en profita pour ouvrir les fenêtres, la clim étant en panne et enleva son tee-shirt.
Tsukishima : Bordel, je hais la chaleur.
Kei se réveillait tôt surtout pour avoir des heures fraises avant que le soleil se lève et que la température augmente.
Il entendit le bruit de la porte.
Kuroo : Tiens. Tsukishima : Depuis quand tu ne mets que 5 minutes ? Kuroo : Je mets longtemps que quand je suis chez moi et je suis heureux de m'être dépêché. Tsukishima : Tss... Kuroo : Tu m'en voudras pas de ne pas remettre mon tee-shirt, vu que tu n'as pas le tien. Tsukishima : Refait une remarque et je le mets. Kuroo : Ok, je ne parlerai plus de ça.
...
Kuroo : Tu m'as l'air sur la défensive depuis qu'on est rentré. Tsukishima : Non. Kuroo : C'est Chiaki qui t'a énervé ? Tsukishima : ... Kuroo : Car elle te drague alors qu'elle est avec ton frère ? Tsukishima : C'est son problème, quand Aki le découvrira, elle ne pourra pas venir pleurer. Kuroo : Bah, qu'est-ce qu'elle a fait d'autres ? Tsukishima : Laisse tomber.
Il soupira et partit s'asseoir sur son lit avec son casque.
Kuroo : Tu m'en veux aussi ? Tsukishima : ... Kuroo : Tsukki ! Enlève ton casque.
Kuroo s'avança vers lui et lui enleva.
Tsukishima : Oï ! Kuroo : Qu'est-ce que j'ai fait moi ? Tsukishima : Rien. Kuroo : Poussin, pas à moi, je sais que tu mens. Tsukishima : Fous moi la paix. Kuroo : Ou tu peux juste me dire pourquoi tu es énervé. Tsukishima : Non. Kuroo : Pff...
Tsukki avait toujours dans la tête, une scène où Tetsurō draguait Chiaki et ça l'irrité de plus en plus.
Kuroo : Attend, par tout hasard, tu ne serais pas jaloux ? Tsukishima : La ferme. Kuroo : Moh...Tu as peur que je te laisse tomber pour l'autre meuf ? Tsukishima : Continue de sourire comme ça et je te prends la vitre dans la tête. Kuroo : Ah, ça doit faire mal ça. Tsukishima : Tss... Kuroo : Mais poussin, avant de partir je t'avais bien dit que mon style était les beaux blonds non ? Tsukishima : Kuroo. Kuroo : Bon, t'es vraiment d'humeur toi. Je peux faire quelque chose pour que ta jalousie s'envole ? Tsukishima : Fermer ta gueule ? Kuroo : Quelque chose de gentil poussin.
Tsukishima : Aucune idée.
C'est une invitation pour que je t'en refasse un ? Prends ça comme tu veux.
Kuroo : J'ai bien une idée. Tsukishima : J'ai peur. Kuroo : Tu as dit que tu me faisais confiance non ? Tsukishima : Mouais. Kuroo : Ferme les yeux et mets ta tête en arrière. Tsukishima : Hein ? Kuroo : Je te promets que ça va te remettre de bonne humeur. Tsukishima : ... Kuroo : Allez !
Il souffla et l'écouta.
Kuroo : Héhé.
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Tsukki réouvrit directement les yeux.
Tsukishima : Qu- Kuroo : Tu as dit qu'il s'effaçait non ?
Il soupira, pourquoi mentir ?
Tsukishima : Ouais. Kuroo : Alors, je peux ? Tsukishima : Tu as vraiment besoin que je te réponde ?
Il était sûr d'avoir senti un sourire contre sa peau. C'était bizarre, c'est vrai, ils ne sont qu'amis, mais pourtant, il savait très bien que si quelqu'un d'autre lui faisait, il le dégagerait très vite. Kei froissa ses draps quand il sentit que Kuroo lui mordre le cou, est-ce que c'est ça qu'il lui a fait ce matin ? Le chat noir, lui, était comme déconnecter, il ne voyait qu'une seule chose, son cou et il n'avait qu'une envie, le dévorait. Au bout d'un moment, Tetsurō remarqua qu'il n'était jamais descendu dans le creux de son cou, il trouva ça étonnant et y remédia directement. Il arrêta quelques secondes quand une main tremblante se posa dans ses cheveux et les tira doucement.
Tsukishima : Oï. Kuroo : Mmh ? Tsukishima : Quelqu'un a frappé à la porte. Kuroo : Sérieux, j'ai pas entendu.
Kuroo se releva pour laisser Tsukki se redressait. Il partit ouvrir la porte.
Akiteru : Tu as oublié ça chez mo-Euh... Tsukishima : Pourquoi tu me regard-...
Il réalisa vite, qu'il n'avait pas de tee-shirt, il avait certainement les joues encore rouges et des énormes traces qui n'étaient pas près à s'enlever.
Kuroo : Poussin, c'est qui- Oh merde. Akiteru : Pardon ? Tsukishima : ...Merci pour le casque. Akiteru : De rien...
Kuroo eu des frissons en voyant le regard d'Akiteru. C'était la situation la plus embarrassante qu'il n'avait jamais eue et il ne pouvait pas dire "C'est pas ce que tu crois." Car bon...Il ne faut pas être un génie pour comprendre ce qui s'était passé.
Akiteru : Je...Vais vous laisser, on parlera ce soir petit frère. Tsukishima : D'accord.
Il referma la porte.
Kuroo : Tu vas me buter ? Tsukishima : Abruti. T'as de la chance que c'était agréable. Kuroo : ... Tsukishima : ...
Kuroo : Mais non mais pars pas après avoir dit ça !
Trop tard, il avait disparu dans sa salle de bain.
