Je m'appelle Chloe, je suis une Hyrulienne, une Hylienne. J'ai été élevée par les piafs, plus précisément par Teba, celui qui a aidé Link a vaincre Vah'Medoh, la créature divine piaf qui a, jadis, causé de grave problèmes aux piafs...
En se moment...
Cela devait faire plusieurs heures que Diama et moi marchons dans la poudreuse des montagnes de la chaîne d'Hebra. Ganon nous cachez encore et toujours le soleil, si bien qu'à maintes et maintes reprises, je tombais, Diama me rattrapait, ou bien, Diama tombait, je la rattrapais... On ne distinguer rien à plus d'un mètre de nos yeux.
Parfois Diama s'envolait, jetait de rapide coups d'œil et venait me faire son rapport des reliefs alentours. D'après mes calculs -bien qu'il doivent-être très imprécis à cause de la lenteur de mon cerveau par temps froid- nous devrions arriver dans moins d'une heure au refuge de Selmie, la célèbre reine de la glisse sur bouclier. Mais il fallait soustraire le temps que nous passons à nous arrête pour manger et nous réchauffer un peu.
Nous arrivons à un bord de falaise. Je faillis me faire avoir et tomber, heureusement que Diama serait toujours là pour me rattraper.
Je rajuste mon léger manteau marrons et ferme les yeux en grelottant. Diama avait froid, bien sûr, mais bien moins que moi car les Piafs sont dotés d'une capacité à résister au froid incroyable. Comme j'aimerais en être une !
-Bon, Chloe, à moins que tu ne préfère rester là à mourir de froid, il va falloir que tu remonte sur mon dos. fit la Piaf.
Je soupir. Je n'aimais pas vraiment les petits manèges sur son dos, déjà, ça n'était pas très sûr, et en plus Diama n'était pas au meilleur de sa forme.
-Je monte sur ton dos. Par contre, tu dois me promettre que tu en es capable. Je ne veux ni risquer ta vie ni la mienne.
La Piaf hocha la tête. Je m'approche d'elle, les mains emmitouflées dans mon manteau.
Lorsque je fus sur son dos, elle se releva, déplia ses ailes et s'envola. Le vent n'était pas agréable, déjà, supporter le froid mortel n'était pas une partie de plaisir mais avec ça en plus... autant dire que je le maudit, ce Ganon !
-Le voilà ! dit Diama.
Je me pencha légèrement sur la droite, de façon à distinguer notre destination.
Il était là, en bois de chêne, le toit recouvert de neige. Enfin.
-Tu ne peux pas savoir à quel point ça me fait du bi...
Je ne pu pas finir ma phrase que la Piaf tangua et vira à toute allure vers le sol. La neige se rapprochait de plus en plus vite, je ferme les yeux. Quand tout à cou...
La poudreuse s'infiltrait dans mon manteau, mon visage me brûlait. Je relève la tête et recrache de la neige.
-Diama !
Je regarde autour de moi et je vois mon amie, étalée dans un océan de blanc.
-Désolée, j'ai perdu le contrôle de mes ailes, elles devaient être trop engourdies...
La jeune Piaf se releva à son tour et failli de nouveau tomber, je me précipite pour la rattraper.
-Tu es sûre que ça va aller ?
Elle acquiesce et se dégagea de mes bras. Elle avançait à grand pas vers le refuge quand une assez petite Hylienne s'avança vers nous. Elle portait un grand manteau bleu avec quelques motifs sur une tunique blanche. Ses cheveux blonds passés derrière ses oreilles pointus lui arrivait jusqu'aux épaules.
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Elle se rapprochait de nous quand elle dit.
-Bonjour ! A qui ai-je affaire ? Deux petites qui se sont enfuis ? Vous voulez que je vous aide à retrouver votre chemin ? Oh, mais que suis-je bête ! Vous devaient être affamées ! Venez donc, que je vous prépare une bonne venaison chaude !
Je m'approche lentement de cette Hylienne et, en grelottant, je dis.
-Bonjour, je m'appelle Chloe, elle c'est Diama. Nous ne nous sommes pas enfuis, à vrai dire, Ganon nous oblige à fuir le Village Piaf. Nous aimerions que vous nous hébergez... Nous sommes mortes de froid...
Selmie s'approcha de moi et nous fit signe d'entrer dans le refuge.
*
L'air chaud de la cabane me fit le plus grand bien, et, malgré son silence, Diama devait en dire de même. Selmie nous avait offert une tenue spécial contre le froid ainsi que quelques pochettes et sacs pour transporter de la nourriture, de l'eau et de quoi monter un camp. Elle nous avait invité à rester dormir dans le refuge, cette nuit, après quoi, nous devrions partir.
Diama et moi lui avons expliquée ce qu'il s'était passé au Village Piaf, Ganon, le drame du père de mon amie, Teba...
-Je vois... Je suis vraiment désolée de ce qu'il est arrivé à votre père, jeune Piaf. J'espère de tout cœur que le reste de votre famille -Dézelle la maman et Babil le grand frère, si j'ai bien compris- arrivera à survivre aux griffes de Ganon. D'ailleurs, c'était vraiment bizarre que les secousses ne soit pas venu jusqu'ici... Pourtant ce n'est pas si loin du Village Piaf. Eh bien, ce n'est pas une si mauvaise nouvelle pour Hébra ! La montagne serait sûrement morte à l'heure qu'il est ! La montagne serait sûrement morte à l'heure qu'il est ! La montagne serait sûrement morte à l'heure qu'il est ! La montagne serait sûrement morte à l'heure qu'il est ! La montagne serait sûrement morte à l'heure qu'il est !
J'incline la tête, intrigué. Pourquoi répétait-elle tout le temps la même phrase ? Je me lève et me dirige vers Selmie. Je la secoue et elle finis par me regarder droit dans les yeux. Ses yeux... quelque chose n'allait pas... mais quoi ?
Ah, voilà ! Ses yeux d'origines vert était désormais fuchsia.
-Selmie ?! je cris en la secouant de nouveau.
-Ils seront cinq, tous des survivants. La première, une Hylienne au cheveux d'or et au yeux de saphir acquerra de pouvoirs surhyliens. La deuxième, une Piaf au plumage de diamant et aux yeux d'émeraude les escortera jusqu'au dernier combat. La troisième, une Gerudo au cheveux de flamme et au yeux de rubis les protégera lorsque les autres ne le peuvent pas. Le quatrième, un Zora aux écailles d'opale les soignera jusqu'aux vivas. Et enfin, le cinquième, un Goron aux yeux océan, les protégera même lorsque sa vie en dépendra.
Selmie toussota en tombant à terre. Je la relève et observe ses yeux, ils sont redevenus verts.
-Selmie, que...
-Qu'est-ce que c'était ? Vous avez vus ? Les ombres ! Les couleurs ! Les monstres ! Je...
Je lui caresse le dos pour la réconforter.
-Calmez-vous. Tout va bien se passer.
Même si ces paroles étaient autant là pour la réconforter tout comme pour me réconforter.
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Salut salut !
Voilà ce deuxième chapitre (de 1101 mots) un peu plus long !
J'espère avoir placer du bon suspense parce que je viens de l'écrire le même jour que le chapitre 1 !
N'hésitez pas à voter (ça fait toujours plaisir ;)) et à continuer à lire ce livre ! Dites moi ce que vous en pensez en commentaire ! ;)
Bonne après-midi, les rumys !
(PS : les rumys c'est ça :
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