Assia : Ensemble malgré tout

Chapitre 5 : Battue et humiliée

Moi : Allo mama. ça va ?

Elle : direct, tu es où ?

Je flippais énormément.

Moi : Je suis au lycée.

Elle : Tu as vu l'heure ?

Je me suis rendue compte que j'avais dépassé l'heure. Mince alors.

Moi : J'étais avec le prof.

Je tremblais de peur. Je l'embrasse et j'y vais en courant.

Sa se voyais à ma tête que je cachais quelque chose.

Notre relation se passait plutôt bien jusqu'au jour où je décide de m'afficher en couple sur Facebook.

Une nouvelle personne va apparaitre.

Elle s'appelle Maryam, c'est une femme en va dire de 25 ans. Elle vit avec sa mère. En amour, elle n'a pas de chance mais elle ressent une jalousie envers moi.

Vous voulez savoir pourquoi ?

Tout simplement au fait qu'elle n'est pas en couple et elle estime que je plais beaucoup à la gent masculine.

Nabil : Assia, j'ai mis qu'on est en couple.

Moi : Dans ma tête, je ne savais pas que c'était une mauvaise idée car j'avais que mes amis sur Facebook et cette fameuse Maryam.

« D'accord, je le mets de suite ». Je voulais le crier au monde entier que j'étais avec lui.

Mais je n'aurais pas dû.

Les jours se sont passé tranquillement, jusqu'à ce jour.

J'étais rentrée de cour, il était 16 heures.

Je vois qu'il n'y a ni ma mère ni ma sœur. Je trouvais cela étrange mais il y avait l'ensemble de la famille à la maison.

Je monte dans ma chambre me changer et quand je descends.

Ma mère apparait avec l'ordinateur de la maison.

Ma mère : depuis quand tu sors avec un dealer.

Moi : je ne suis avec personne.

Ma mère : c'est qui lui, alors ?

Et là, le drame.

Ma mère : Maryam m'a dit que tu t'es mise sur Facebook et tu as mis que tu étais en couple avec un certain Nabil.

Moi : Oh la pute.

Ma mère : Tu es sérieuse, tu sors avec un dealer.

Moi : je ne sors pas avec un dealer.

Ma mère se lève et me frappe, elle n'arrêtait pas.

Je pleurais, je pleurais.

C'était donc ça, être une arabe.

Elle : Tu vas arrêter de le voir. C'est terminé.

Elle me prit mon téléphone.

Et là, je pleurais de nerf. Personne ne pouvait m'arrêter. Je m'enferme dans ma chambre.

Ma sœur me rejoint.

Je suis désolée Assia, ce n'est pas moi. Elle m'a dit qu'elle s'avait que tu sortais avec quelqu'un mais j'ai essayé de l'en dissuader de le dire à maman. Mais elle n'a pas voulu l'entendre.

Comment on pouvait faire cela gratuitement. Je ne lui ai jamais pourtant rien fais. C'était de la méchanceté gratuite. Je ne me mêlais même pas de ses histoires.