The Break

⚠️Chapitre 24:⚠️

POV de Harry

"Ohhh merde ! Oh putain de bordel de bordel de bordel de bordel plus profond !"

La langue de Louis léchait sauvagement l'intérieur de mon corps, me causant une pure agonie. Ses mains délicates tenaient fermement mes fesses, les écartant tellement que je craignais qu'elles ne se détachent de mon corps. Il me torturait. Mes mains étaient liées et m'empêchaient de me toucher pour soulager la pression palpitante et douloureuse qui s'était accumulée dans ma queue et qui continuait de s'accroître à chaque coup de sa langue experte. Mais j'étais dans le pétrin. C'était une punition. Je l'ai taquiné toute la journée. Je lui ai donné envie de moi dans des situations où il ne pouvait pas m'avoir. Une fois, pendant un film dans le salon. J'avais secrètement léché et mordillé son cou alors que Jenna et les garçons étaient à deux pas de nous. Et j'avais fait en sorte de porter ce pantalon de yoga affreusement serré que j'avais acheté pour Spin Cycle, toute la journée. Défilant devant lui, le faisant baver à la vue de mes cuisses épaisses. À l'heure du dîner, on s'est assis l'un en face de l'autre et j'ai discrètement enlevé une de mes chaussures pour frotter sa bite à travers son pantalon avec mon pied. Personne ne savait que s'il se tortillait, c'était à cause de moi.

J'étais positionnée penchée au-dessus de notre lit parce que c'était là que je recevais mes "fessées". Dernièrement, nous avons voulu essayer de nouvelles choses et une relation de jeu de rôle dominée/soumise était en haut de notre liste. Louis était le Dominant et j'étais son Soumis qui ne semblait jamais faire ce que daddy lui disait de faire. Nous ne connaissions rien au vrai BDSM, alors nous faisions semblant, mais je pense que Louis commençait vraiment à s'y faire et à l'apprécier davantage. Il était un Dom strict dans la chambre. Je devais l'appeler daddy ou Monsieur chaque fois que je lui parlais et quand je recevais ma punition de fessées pour avoir taquiné monsieur je devais compter après chaque fessée et le remercier quand il avait fini. C'était tellement érotique, ce jeu de rôle. Je prends mon pied plus fort que jamais après qu'il m'ait donné une fessée.

"Les bons garçons n'exigent rien de leur daddy." Louis a frappé ma joue gauche avec force, me faisant hurler de douleur et de plaisir. Mon cul était déjà rouge et à vif et je ne savais pas pourquoi je recevais une nouvelle fessée, mais je me suis souvenu que je lui avais dit d'aller plus loin. Oops ? J'ai attendu patiemment qu'il enfonce à nouveau sa langue en moi, mais ça n'est pas arrivé. J'avais de plus en plus besoin de lui. "S'il te plaît, !" Je l'ai supplié pathétiquement. "S'il te plaît, touche-moi, j'en ai besoin !" J'ai essayé et essayé de libérer mes mains du bandana qu'il avait attaché autour d'elles mais ça ne servait à rien. C'était trop serré. J'allais sûrement avoir des bleus.

"Hmmm..." Il s'est levé et a fait les cent pas sur le sol derrière moi. Me regardant juste me tortiller et souffrir sans lui. "Je ne pense pas que je devrais te permettre de venir. Pensez-vous que vous le méritez, Princesse ?" J'ai senti sa main frotter de façon apaisante la joue qu'il avait giflée la dernière fois. "Oui. Oui, je le pense. Je le mérite. S'il te plaît, j'en ai besoin. Ça fait mal." J'ai pleurniché.

Il a tapoté deux fois, légèrement, là où il frottait. "Mauvaise réponse." Sa main a heurté mon cul une fois de plus. J'ai crié assez fort pour me percer les tympans et j'étais vraiment contente que notre chambre soit insonorisée. Une fois que je me suis calmée, je n'ai plus senti la présence de Louis dans la pièce. Est-ce qu'il m'a vraiment laissé là ? Cela ne fait pas partie de la scène. Tremblante, les genoux tremblants, je me suis levée et j'ai regardé dans la pièce. Louis n'était nulle part. Je commençais à m'inquiéter un peu plus à mesure qu'il s'absentait. Cela ne s'était jamais produit auparavant. Il n'a jamais été si "fâché" ou "déçu" par moi pendant que nous jouions que cela ait été suffisant pour qu'il s'en aille. J'ai appelé la scène pour que je puisse essayer de me dégager les mains et aller le chercher. J'ai lutté et lutté, j'ai failli me casser les dents, mais finalement j'ai libéré mes mains et j'ai jeté le tissu sur notre lit.