WONDER

Chapitre 2

Salut salut! j'espère que vous vous portez bien. Je reviens après une longue période d'absence pour vous offrir le second chapitre de mon histoire. j'espère qu'il vous plaira.
prenez soin de vous. Milles bisous
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Après quelques minutes d'hésitation, je me mis à avancer lentement vers cette petite créature. Arrivé a son niveau je vois un tabouret en ébène contre le mur. D'un tour de bras je le prend et le pose en dessous de moi.

Elle baisse la tête quand je pose mes yeux sur elle. Elle est très mignonne de près, sa peau a l'air si douce et sent le caramel. Elle doit être très renfermée a en juger par l'état de sa chambre. Rien ne traîne au sol où sur une table. tout t soigneusement rangé dans des armoires où sur des étagères elles aussi en ébène.

Une vaste bibliothèque occupe tout le mur droit de la chambre. Grand passionné de lecture, je n'arrive pas à résister a son appel. Je parcours donc les rangées à la recherche de la clé qui me permettra d'ouvrir la coquille de ma compagne. Tous les livres sont rangés de façon que leurs extrémités soient égales mais un livre dépasse un peu les autres. Voici donc ma clé, Alice aux pays des merveilles.

Je prends le livre et je retourne m'asseoir. A peine j'ouvre le bouquin qu'elle me l'arrache des mains.

- Ne touchez pas à ce livre s'il vous plaît.

voyant mon plan marcher a la perfection, je me permets de lui poser la question qui me brûle les lèvres depuis que je suis enfermé dans cette pièce

- Pourquoi m'avez vous fait enfermer ici avec vous jeune dame?

Sans pour autant prêter attention a moi, elle serre le livre contre sa poitrine lève enfin la tête en ma direction, souriante. Son sourire est une merveille. Deux rangées de dents blanches telles des perles entre des lèvres si belles que je veux les sentir sur ma peau.

- De son vivant, ma mère me lisait une page de cette histoire chaque soir. C'était le meilleur moment de la journée.

Elle semblait à présent détendue et confiante.

- Si je vous ai fait prisonnier c'est parce que j'ai un service a vous demander. C'est d'une importance capitale pour moi et j'ai entendu dire que vous êtes l'homme de la situation.

Je sais évidemment de quoi il s'agit. Il y'a qu'un seul domaine où je suis recommandé auprès de la gente féminine mais je feint ne pas comprendre.

- Poursuivez s'il vous plaît, que je puisse voir si je suis apte à vous aider.

- Vu ma fragilité, je ne sors jamais de cette demeure et je n'ai donc pas eu d'autres amis que les enfants des collègues de mon père. De plus tout mon parcours scolaire s'est déroulé en ces lieux. Je suis une petite fille sage et modèle qui a déjà un fiancé à vingt ans.

- Jusque là je ne vois aucun problème d'importance capitale.

- laissez-moi poursuivre je vous prie

- toutes mes excuses

- Bien, Mon fiancé a plein d'amis et est sorti avec plein de filles et (elle baisse les yeux et parle avec une petite voix) je refuse de donner ma virginité a quelqu'un qui n'a pas su préserver la sienne. J'ai donc besoin que vous me ... vous voyez où je veux en venir ?

- Désolé Alice mais je ne peux pas vous aider. J'ai un code d'honneur qui ne me permet pas de vous offrir mes services. Vous êtes bien trop jeune et fiancée en plus. je ne peux pas faire ça.

Tout ceci n'est bien sûr qu'une mascarade pour qu'elle veuille me payer plus que mon tarif habituel. C'est carrément évident qu'elle place tous ses espoirs en moi et moi j'ai besoin d'argent.

- Comment savez vous comment je m'appelle ?

- Je l'ai lu sur la première page du livre que j'ai pris dans votre bibliothèque.

- Ah, Veuillez accepter s'il vous plaît je suis prête a payer le double même le triple de vos tarifs habituels.

- Désolé chère Alice.

je me lève et me dirige donc vers la porte en priant intérieurement de toutes mes forces pour qu'elle me rappelle. Mais me voilà prêt à actionner la poignée.

- Je vous payerai un million de Francs