chapitre 17

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PARTIE AVEC UNE SCENE LEMON

Pdv de Morine

A l’entrée du château, il y avait des gardes. Ils sont insignifiants. Dès qu’ils e voient, je les foudroie du regard. Ils sont transformés en statue. Je crois que c’est le moment de me venger de ce roi. Je suis vivante depuis bien trop longtemps  pour connaître chaque recoin de cet endroit. Le roi est dans la grande tour espérant revoir sa fille chérie un jour. La reine quand à elle n’a pas pu supporter cet enlèvement alors elle s’est condamnée elle-même à l’exil ce qui me donnait l’occasion de devenir reine mais quelqu’un m’a trahit. Je ne sais pas qui exactement. Jusqu’à aujourd’hui je n’ai jamais  su ce qui a été raconté à mon sujet. Jamais, mais je compte le découvrir.  Je balais la salle du regard. Rien.  Je continue d’avancer sans regarder en arrière. Après 30 min de marches, j’arrive enfin à la tour du roi. Il est là, regardant le ciel qui s’est assombrit. Il sait que je suis derrière tout ça. Il sait que je suis là mais ne m’accorde aucun regard. Je suis un peu triste que ça se passe de la sorte mais bon je n’y peu rien.  J’engage la conversation. Pendant ce temps, Amélia va rejoindre le vide ou toute la famille royale sera enfin réunie.

Moi : et bien mon cher on se retrouve enfin

Roi : apparemment le destin n’est pas de mon côté

Moi (sourire narquois) : oui il ne l’est vraiment pas et retourne toi et vénère ta reine

Il ne se retourne pas et e m’adresse aucun regard mais je connais son point faible.

Moi : si tu tiens à ta fille…

Soudain il se retourna le visage vide et rempli de tristesse Il n’a plus de famille depuis le temps et il se fait vieux. Il n’a pas changé ce bel homme que j’aimais et que je désirais.

Roi : je n’ai que faire de tes menaces Morine. Prend la, deviens reine, cela m’est coplètement égal. Tu sais, j’ai changé depuis le temps.

Comment ne peut-il pas se préoccuper de sa fille ? Pourquoi est-il si confiant ?

Moi : très bien ! Alors je vais de ce pas…

Roi : tu m’as tout prit Morine. Tu m’as volé mon amour, ma vie, mon trône, ma fille, mes entrailles, mon monde, que veux-tu de plus ?

Je ne crois pas mes oreilles. Serait-il malade ? Aura-t-il perdu la mémoire ?

Moi : je veux de toi

Il me regarde sans me voir. Il n’est plus que l’ombre de lui-même. Il ne peux plus rien. Il reconnaît qu’il est vaincu. Je compte avoir ce que j’ai toujours souhaiter obtenir de lui, son amour

Roi : ….

Moi : je veux que tu m’aimes plus que tu n’as aimé ta femme et ta fille. Je veux que tu tiennes à moi comme je tiens à toi. Je veux que tu m’aimes. Je vais te faire retrouver cette vie que tu as perdu et ce n’est pas de ma faute.

Roi : répond à cette question honnêtement et dis-moi la vérité

Moi : je suis toute ouïe

Roi : pourquoi as-tu lancé la malédiction sur toute la famille royale ?

Je compte lui dire la vérité.

Moi : très bien. D’abord, depuis la nuit des temps, une malédiction a été lancée par les créateurs de Tulostia sur moi parce que l’un des créateurs est tombé amoureux d’une humaine. Ils se sont aimés de toutes leurs forces et de leur amour je suis née. Le grand créateur a vu cela comme une trahison parce que les créateurs ne doivent pas aimer des êtres inférieurs. Ils sont faits pour les déesses alors il m’a été prédestinée d’être orpheline et de ne pas avoir de teinte concernant mes yeux c’est pour cela qu’ils sont si vide. Mes cheveux représentent le monde situé entre la vie et la mort. Ma peau reflète la couleur pâle d’un cadavre. Je n’ai pas le droit d’aimer et d’être heureuse.

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