Histoires lemon à notre époque

Désir silencieux

Cette histoire contient du contenu sexuelle explicite qui pourrait heurter la sensibilité de certains.  Vous avez été prévenu à vous de décider de continuer à lire ou pas. Je souhaite une bonne lecture à ceux qui liront en espérant que ça vous plaise. 

Ps : Désolé pour les fautes.

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(PDV féminin dans cette histoire)

      Je travaille dans cette entreprise depuis plusieurs années déjà, je dirais environs 3~4 ans. Un stagiaire m'interpelle. Il m'explique que le directeur général veut discuter du projet dont j'ai les commandes dans une réunion de dernière minutes.
      Je prends toutes mes affaires et me dirige vers son bureau. Le directeur m'accueille un sourire éblouissant sur son visage. Il est très beau garçon et beaucoup de mes collègues craque pour lui.
      Il ferme la porte en demandant à ne pas être dérangé. Pour être sûr d'être tranquille, il ferme la porte à clé. Je m'assoie sur la chaise posée en face de son bureau, il s'assoit de l'autre côté.
       Je sort mon ordinateur, mes documents et commence à exposer mes idées. Il me regarde amusé, les mains croisés posés sur son bureau. Au bout de quelques minutes je m'arrête, son regard me trouble. Il se fait de plus en plus insistant et je me sens davantage gênée à chaque regard qu'il me porte.
        Il se lève tout en me priant de continuer. Il contourne son bureau. Se place derrière ma chaise et se penche légèrement au dessus de mon épaule droite. Par réflexe, je tourne ma tête vers lui. Nos regards se mêlent et sans que je puisse le repousser, il me vole un baiser.
       Cet homme est mon directeur mais c'est également et principalement mon copain.
       Notre relation est secrète et doit le rester sinon nous serions immédiatement renvoyés de l'entreprise.
        Je décolle mes lèvres des siennes et lui fait comprendre que ce n'est pas le lieu... Il me coupe la parole en m'embrassant à nouveau, je ne le repousse pas. Il passe l'une de ses mains derrière ma nuque et l'autre sur ma taille. Je me sens frissonner. Il s'agenouille devant moi et commence à embrasser mes cuisses, frôlant de ses doigts ma poitrine et mon ventre. Je profite des sensations que me procure ses caresses mais je finis par l'arrêter quand ses doigts se glissent sous ma robe pour atteindre ma culotte.

- Adams, on ne peut pas... Lui chuchote ai-je , si l'on se fait prendre on sera renvoyés

     Ma voix trahit mon désir mais je veux lui faire comprendre la situation dont il se fiche éperdument.
      Il approche son visage du mien... Je peux sentir son souffle sur ma joue.

- Ne t'en fait pas la porte est fermée à clé, personne ne viendra nous déranger, il hésite et reprend d'une voix sensuelle,  ne me fait pas croire que tu ne le veux pas

- Je...

      Il me coupe la parole en empoignant ma poitrine. Je me mets à haleter de surprise. C'était vrai, je ne pouvais pas lui dire que je ne le désirais pas car ça n'aurait été que mensonges. Après une brève hésitation je ne lui résiste plus et me jette sur ses lèvres. Il me rends, passionné, mon baiser, m'attrape les cuisses, me soulève et me pose sur son bureau. Celui ci est d'ailleurs particulièrement bien ranger, je commence à le soupçonner d'avoir tout rangé avant mon arrivée.
         J'enroule mes jambes autour de sa taille, ma robe se soulève légèrement. Il rapproche son corps du mien, je peux sentir son membre durci contre ma culotte. Une vague de chaleur m'envahit. Mon entrejambe commence à mouiller. Il descend les bretelles de ma robe et glisse le haut de celle-ci jusqu'à ma taille. Adams s'arrête un instant et commence à détailler chaque parcelle de ma poitrine pourtant encore cachée sous mon soutien gorge. Son regard empli de désir me fait autant d'effet que si il me touchait et une bouffée de chaleur me submerge.
      Je l'attrape par la cravate et attire son visage plus proche du mien. Je passe une main dans ses cheveux et l'embrasse. Il détache mon soutien gorge et sans se libérer de mes lèvres entreprend de pincer mes tétons déjà rendus durs de désir. J'échappe un gémissement,il plaque une main sur ma bouche.
       Je lui détache les boutons de sa chemise, maladroitement, les mains tremblante d'excitation. Je détail son torse musclé et frôle de mes doigts son ventre, il me laisse faire. Soudainement, l'adrénaline s'empare de mon cerveau, j'oublie où je me trouve, détache son pantalon pour laisser apparaître un boxer bien moulant et fait glisser ma main sur son membre. Celui-ci devient de plus en plus dur et semble bien trop serré dans son boxer. Je m'apprête à faire apparaître son sexe mais Adams ne me laisse pas le temps d'agir et place deux doigts à l'entrée de mon vagin.
        Il commence à me toucher d'abord à l'extérieur de ma culotte puis glisse une main à l'intérieur de celle-ci. Mon corps entier brûle d'excitation, je tremble à chacun de ses doigtés. Je ne peux m'empêcher de gémir de plaisir en me retenant malgré tout pour éviter d'attirer l'attention.
        Adams ne s'arrête plus, il me doigte, m'embrasse et presse d'une main ma poitrine et de l'autre mon cu. Il descend son boxer dévoilant son énorme penis entièrement dur qui a certainement au moins doublé de volume. D'un coup il arrête de me doigté, allonge le haut de mon corps sur le bureau, se place au dessus de moi et commence à se branler sur mon ventre. L'une de ses mains a bloquée mes poignées et il a le contrôle total sur mon corps. Le voir se branler de plus en plus fort au dessus de moi m'excite autant que me frustre. Je l'implore de me pénétrer. Pour toute réponse, il se décale et place son sexe à l'entrée de mon vagin. Je sens son gland sur mon clitoris. Ma chatte déjà fortement mouillé finit complètement trempé. Il frotte son membre contre mon clitoris sans pour autant me pénétrer. Mon souffle se fait de plus en plus haletant.
        Il me regarde comme pour confirmer mon accord.

- Adams, pénétre moi... lui dit je dans un souffle, mon corps tremblant de désir et d'impatience.

        Son membre rentre en moi avec une facilité déconcertante. Je ne peux m'empêcher de retenir un gémissement trop fort, Adams plaque rapidement sa main contre ma bouche et ne l'a décolle plus. Il donne un premier coup de hanche me faisant gémir une nouvelle fois. Je vois sa mâchoire se serrer et le soupçonne de se retenir de gémir également. Il commence a accélérer le rythme, nos hanches s'entrechoquent l'une contre l'autre, malgré le rythme rapide que nous avons installés je voudrais aller encore plus vite.
       Le téléphone sonne.
       Toujours une main plaquée contre ma bouche Adams décroche le téléphone et met le haut parleur.
       Le fait de pouvoir être entendu nous excitent encore plus.

- Boujour, monsieur, répond Adams

      Il me donne un coup un peu trop sec et mes hanches lui répondent d'un mouvement exités. Je ne me contrôle plus, j'accélère de plus en plus sans pouvoir ralentir.
       A l'autre bout du téléphone quelqu'un semble vouloir discuter avec mon chef.

- Excusez moi M. Malitri..... Pourriez vous.... Me rappeller plus tard.... Je suis très occupé aujourd'hui....

        La voix de Adams est haletante de désir, presque tremblante mais malgré tout calme et retenue, du moins autant que ça pouvait l'être. L'homme à l'autre bout semble lui répondre quelque chose. Adams pince légèrement mes fesses et je lui mords la main pour retenir mes gémissement qui se font de moins en moins contenus.

- Très bien.... Haaaa... Demain c'est parfait... Bonne soirée à vous....

        Adams n'avait pu retenir un gémissement mais raccrocha quelques secondes plus tard.
        Il écarte un peu plus mes jambes, pose ses lèvres sur ma poitrine et accélére une nouvelle fois encore. Je lui signifie que je vais jouir. Il accélère une toute dernière fois, mes hanches s'agitent contre le membre de mon partenaire nos haletements se font de plus en plus rapide. C'est la fois de trop il avait atteint un point sensible. Mon vagin se contracte, je sens son penis en moi gonflé une dernière fois, je jouis et sens en même temps Adams se déverser en moi. Nous poussons un gémissement de jouissance.
        Mes jambes lâche et je m'allonge sur le bureau le temps de reprendre mes esprits.
        Je remet le haut de ma robe, ma culotte, récupére mes dossiers, me recoiffe, attend quelques minutes que mon visage retrouve une couleur normale, embrasse Adams, lui confirme qu'on remet ça ce soir et sort d'un air mesuré de son bureau.