Une rencontre subliminale

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Un mois après mon arriver je me baladais seul dans les couloirs comme d'habitude, puis soudainement j'ai appercu cette couleur rouge écarlate qui émanai de la pièce au fond à gauche, je m'y approche avec beaucoup d'hésitation subitement je tombe sur un vieillard munit d'un appareil photo et sans la savoir à cet instant précis j'allais faire une rencontre qui va chambouler ma vie.

-Bonjour petit tu t'est perdue ?

J'étais étonner c'était la première fois que quelqu'un me tutoyait depuis mon arriver ici.

-Eu non je me suis laisser séduire par cette belle lumière que j'ai aperçue de loin et je me suis dit peut-être que c'est cette chose extraordinaire dont je rêve et que je cherche depuis si longtemps.

-Ahahahaha extraordinaire dis-tu, dis-moi comment tu t'appel petit ?

-Caleb et vous monsieur

-Moi c'est Arthur, pas besoin de me vouvoyer tu sais.

-bien sûr que si vous êtes vieux, d'autant plus c'est
une formule de politesse.

-Ahahah qu'on se marre bien avec toi petit je suis vieux dis-tu, que sais-tu de la vieillesse.

-je sais que la vieillesse est synonyme de tranquillité, que vous vous éloigner de ce monde mais vous vous approchez plus de la paix et que votre voyage est proche plus proche que notre veine jugulaire.

-c'est vrai que parfois la vieillesse est synonyme de tranquillité. Un voyage ? tu parles de la mort a ton jeune âge tu parles de la mort avec une tel froideur, dis-moi petit quel âge as-tu.

-12 ans Monsieur et vous ? si ce n'est pas trop indiscret.

-J'ai soixante-quinze ans, petit.
Dit-il avec un grand sourire aux lèvres.

-Mais dis-moi pourquoi tu ne vas pas jouer avec tes camarades ?

-leurs jeux inutiles ne m'intéressent guerre.

-Ah bon puis-je savoir ceux qui t'intéresse ?

-Moi pas grand-chose, je ne dirais même rien, les
chose qui m'intéresse ne font pas partie de ce monde et je ne saurais où les trouver.

-Ah bon je vois, comme quoi ?

-je ne saurais vous dire car moi-même j'ignore ce que je cherche.

-Je vois, alors tu sais petit ta le choix de rester bloquer sur tes envies qui sont peut-être irréalisables ou réaliser quelques choses en parallèle jusqu'à ce que t'arrives à faire le rapprochement entre tes envies et cette chose en parallèle que ta réaliser partiellement afin d'aboutir à tes rêves. Vois-tu je suis peut-être vieux mais la vie m'a appris beaucoup de chose, comme par exemple si tu n'arrives pas à décrocher la lune crée ta propre lune peut-être que tu seras encore plus fier.
-Très bien monsieur Arthur, mais que faites-vous dans cette pièce ?

-Je réalise des photos, je prends en photo tous ceux qui me passionne pour leur donner une vie à travers une image.

-Intriguant et pourquoi êtes-vous passionnez d'image et de photo ?

-L'image est une chose l'homme en est tout une autre c'est difficile d'être à l'auteur de son image, mais je me dis que à travers mes images je peux être l'homme que je veux et que je vaux d'où viens ma passion.

-Apres tout on se ressemble monsieur Arthur, car moi je peux manier mes imaginations à ma guise et vire dans le monde qui me correspond, dommage qu'il ne puisse avoir un monde que pour soie, il faut de tout pour faire un monde. Mais j'espère qu'un jour je pourrais allez à la recherche de ce monde que j'imagine tant.

-Je l'espère pour toi petit. Mais en attendant tu peux venir réaliser tes voyages imaginaires à travers mes photos si ça te tente.

-Oui monsieur Arthur a la prochaine ça a été un réel plaisir de discuter avec vous.

-à la prochaine petit voyageur !

Monsieur Arthur était vieux pourtant il avait la mémoire fraiche, il était enfermé ici comme nous pourtant s'extériorisait à travers des photos. Il prenait en photo les jeunes de Birmingham et cela depuis quarante ans on le surnommais le photographe de Birmingham. Il m'a dis avoir vécu ici depuis toujours je ne sais pas pourquoi ni comment il a fait pour vive dans un endroit sinistre comme celui-là.
Les années se succédèrent, j'allais dans l'atelier de monsieur Arthur à chaque fois que j'avais un temps libre, j'y allais même pendant mes heures de cours parfois car c'était le seul endroit où je me sentais à ma place. On lui avait même trouver un nom à cet atelier quelque part dans le monde, plus les jours passèrent plus je me rapprochais de monsieur Arthur j'apprenais de lui tout comme il apprenait de moi, on ne se lâchait plus comme les cinq doigts de la main. Il a été mon seul et plus vielle amis.

Un somptueux  voyage Where stories live. Discover now