Raison n°1

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Bakugo Katsuki aimait crier, en fait, c'est pas qu'il aimait ça. C'était plus une habitude, un instinct.

Et ce qui était bien dans le fait d'avoir une relation amoureuse avec toi, c'est que tu lui donnais toujours des raisons de crier, de s'énerver. Et en vue de la situation, les gens ne lui donnaient pas tort.

Un père qui crie pour ne pas céder aux caprices de sa fille de 8 ans, voilà ce à quoi vous ressembliez en public.

Actuellement tu étais par terre au beau milieu d'un couloir dans l'enceinte du lycée Yuei. Pourquoi? Tu avais voulu sauter sur ton petit-ami pour lui faire un gros câlin en guise de bonjour. L'inconvénient? Vous étiez en public en combien même, Katsuki n'était pas vraiment câlin et tout ce qui va avec.

Alors il s'était décaler au moment où tu devait atterrir sur lui.

Retournons à la situation actuelle.

(T/P): Kaaaatsuuuuuukiiiii, imagine je me suis casser le coxis! Aaaah, je ne peux pas me lever, je vais mourir ici, seule, délaissée par son amour de toujours!

En jouant ta comédie devant tout le monde, tu lanças un regard dans la direction qu'avait pris ton copain.

Tu clignas des yeux plusieurs fois avec la bouche ouverte. Est-ce qu'il était vraiment en train de continuer sa route sans se retourner, sans t'écouter?

Tu fis une moue en colère en serrant les poings. Tu te lèves d'un bond et cours vers lui.

(T/P): Eeeeeh, tu me laisserais vraiment mourir au beau milieu d'un couloir?
Bakugo: Je croyais que tu t'étais pété le coxis et que j'allais être tranquille.

Des larmes de crocodile coulèrent sur ton visage.

(T/P): Oh mon Dieu, Bakugo Katsuki veut que je me pète le cul!

Il se tourna brusquement vers toi avec une légère rougeur mais surtout avec son air énervé.

Bakugo: Non mais qu'est-ce que tu racontes, petite merde?!

Les gens vous regardaient bizarrement maintenant.

Des étincelles commencèrent à apparaître dans sa paume.

Bakugo: Tu vas voir, j'vais te péter autre chose et cette fois, pas sûr que tu sois vraiment en vie après!
(T/P): Même pas cap!
Bakugo: Tu veux parier, idiote?!

La malice prit place dans ton regard, tu te mis sur la pointe des pieds, te rapprochas de lui rapidement et posa tes lèvres sur les siennes rapidement.

Il devient rouge assez vite mais tu n'arrivais pas à déterminer si c'était de gêne ou bien de colère. Dans tous les cas quand tu le vis lâcher son sac et serrer les poings avec un regard qui pourrait tuer n'importe qui, tu ne réfléchis pas et te mets à courir plus vite que Iida.

Bakugo: Oh putain, j'vais t'exposer la gueule.

Ainsi s'en suivi une cavalcade dans l'enceinte du bâtiment.

Aizawa: On ne court pas dans les couloirs!
(T/P): Désolée monsieur mais Bakugo veut me péter le cul!!
Bakugo: N'importe quoi, ferme ta gueule.

Il n'eu pas le temps de répliquer que vous étiez déjà passés devant lui tels des fusées.

Aizawa: Mon Dieu... Les jeunes... Bon, retour à la sieste avant les cours.

 Bon, retour à la sieste avant les cours

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