Chapitre 10: Connexion

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En sortant de Star Labs, je me dirigeais vers la navette que j'avais emprunté tout à l'heure. Gideon me guida en pilote automatique vers le Wave rider. Quand le sas s'ouvrit, je vis Sarah et Jax devant moi. Il m'adressa son plus beau sourire.

--Merci, de ne pas avoir trahi ma confiance.

--Tu m'as fait confiance alors tu n'as pas à me remercier. Je déteste ça, c'est sans failles.

--Merci d'avoir ramener l'esquif.

Elle m'avait dit ça avec un petit sourire en coin. D'habitudes, je me serais énerver mais son regard avait l'air de me lancer un défi.

--Alors merci pour tes paroles. Je suis désolé pour ta sœur, sincèrement. Mais tu sais parler ce n'est pas mon fort surtout de moi. Je suis plus une femme d'action.

--Je suis aussi désolé pour ton frère. Et je te comprends mais avoir une épaule pour parler, quelques fois ça peut aider. Mais je crois que t'es plus du genre à parler avec tes poings ou ton bâton, jolie arme ninja d'ailleurs. J'en ai aussi quelques uns. Si ça te dit de te mesurer à moi, je veux bien un duel.

--Je te prends quand tu veux Sarah Lance mais saches que je n'ai subis aucune défaite depuis longtemps.

--Alors, on se revoit à l'occasion, Lyra Allen. Je vous laisses entre jeunes.

Elle partit donc, Jax me fixait.

--Tu ne devrais pas la prendre à la légère, elle a été former par La ligue des assassins.

--Je n'ai pas dit que je la sous-estimais. Au-contraire.

Je me mis un instant sur pause pour réfléchir à ses derniers mots. Je connaissais ce nom.

--Tu vas bien? Tu fais soudainement une des ces têtes.

--Ce n'est rien. Tu as dit: "La ligue des assassins"?

--Oui pourquoi?

--Qu'est-ce que c'est?

--C'est une organisation de mercenaires qui formes des ninjas comme Sarah. Je ne sais pas si il y'en a une sur ta terre. C'est une organisation assez dangereuse. Sarah n'en parle pas souvent, ça fait partie de son passé avec Oliver.

--Il y'en a une du même nom mais ce n'est pas vraiment une organisation de mercenaires mais plus une sorte d'organisation qui forment des soldats nazis super entraînés. J'en ai combattus quelques uns.

--Tu es aussi une sorte de super mercenaire toi aussi.

--Oui même si je n'aime pas me définir ainsi car je ne demande aucune contrepartie à mon travaille si ce n'est que de quoi subvenir à ma survie.

--Je sais que t'aime pas beaucoup parler mais tu m'avais promis de me dire pourquoi je ressentais une connexion avec toi. Et en parlant de survie, tu dois avoir faim. On va manger un bout. Je t'invites.

--On dirait que tu me dragues, Jefferson.

--Ah non mais pas du tout. Je me disais juste que t'avais pas d'argent sur toi et puis la nourriture synthétique du wave rider me gave un peu alors j'en profite quand on est à terre.

Il rougissait un peu ce qui me fit rire.

--C'est la première fois que j'entends ton rire et que je te vois sourire.

--Je n'en ai pas souvent l'occasion. Et je te charriais c'est tout. Mais je suis pas contre, c'est vrai que j'ai un peu faim.

--Bien, un hamburger ça te dit?

--Un quoi?

--Attends, tu vas pas me dire que t'as jamais manger d'hamburgers de ta vie.

--Bien sûr que oui même si je vis sur une planète de nazis. On en manger tout les jours dans un fast food appeler Big Belly Burger avec... Laisse tomber, on y va.

Une surprise invisibleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant