Chapitre 17.

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I wanna wrap my arms around you, baby
Never let you go, oh
°
« Je suis fou d'elle»
°

×PDV de Justin×

Ça fais presque 3 mois que la tournée a reprise. Nous sommes maintenant en décembre et je ne compte déjà même plus les concerts. Je l'es enchaîne littéralement un par un, et ça commence un peu à peser sur mon moral de nouveau.

Évidement, grâce à Leslie je passe outre. J'arrive à faire abstraction de la fatigue grace à sa bonne humeur constante qui me redonne de la force.

Nous sommes arrivés à Paris dans la mâtinée, et je crois que nous sommes ici pour 4 jours environ.

Bien sûr, nous iront voir les Goodwin durant ce temps là pour qu'elle puisse enfin passer du temps avec sa famille. Ses parents à elle travail alors ils n'ont jamais vraiment eu la possibilité de venir nous rejoindre sur la route.

Entre Leslie et moi tout va pour le mieux. On est plus proche que jamais. On s'entend à merveille, on pense pareil, on a en soit pas mal de projets en commun et c'est fou ce que 2 mois peuvent te faire apprendre sur une personne.

On les a vraiment passer à deux, si je peux dire comme ça. Il n'y avait que nous mentalement et on se foutait bien du monde extérieur.

La seule chose bloquée en quelque sorte, ce sont les sentiments.

Enfin, pas dans le style que je n'en ai aucun ou quoique ce soit, non.

Je suis fou d'elle...

Fou amoureux.

Et même si mes actes le prouves en très grande partie je ne lui ai encore jamais avouémes sentiments. Et elle non plus d'ailleurs. C'est comme si, nous agissions comme un couple, et en avait l'air d'un, mais que les mots n'étaient pas encore sorti sans qu'on y prête vraiment attention.

Et je suis en train d'y pensé la, maintenant, tout de suite, parce que je suis seul sur le lit de notre chambre d'hôtel et qu'elle est avec ses meilleurs amis, qui sont monté jusqu'à Paris pour venir la voir.

Et je n'avais pas vraiment été seul dernièrement, elle était toujours dans les parages et j'avais toujours quelqu'un pour me parler ou à qui raconter quelque chose. Mais la non.

Et je ne sais pas quoi faire.

Je m'ennuies alors, je pense.

Enfin, je pense en entendant les fans sous ma fenêtre qui n'arrêtent pas de crier dans tout les sens.

Je me lève alors et m'approche de cette dernière pour essayer de les voir et passer le temps. J'ouvre puis m'avance sur le balcon. Les cries sont assourdissants. Ils sont assez loin et je ne comprend pas ce qu'ils essayent de me dire, je crois être au 4e ou 5e étages du bâtiment et ils sont une cinquantaine à hurler comme des fous.

Je me penche légèrement et leur dit bonjour. Les gardes en bas et les barrières sont quasiment inutiles quand je vois à quel point les gens en ont rien à faire et passe quand même par dessus les barrières... et les gardes.

Je lis vite fait certaines pancartes, leur demande comment ils vont et toute sortes de banalités. Après 10 minutes à tenter de parler avec eux, je leur dit au revoir mais une nouvel pancarte attire mon attention.

« Je sais toujours où elle habite », y était écrit avec des dessins d'araignées tout autour.

Je fronce les sourcils et essaye de voir la personne sous la pancarte, en vain.

Célèbre? TOME IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant