Mon coeur n'est plus dans ma poitrine

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Avez-vous déjà été tellement bouleverser que votre motrisité ne concordait plus avec votre cerveau.

Je ne sais plus de quel façon je suis sorti de la classe pour le rejoindre.

-Mademoiselle je pense que ceci vous appartient. Je ne connais qu'une Léana ici.

Il sorti le journal de sa valise et me le tendi.

-Merci,dis-je timidement
-L'avez-vous lu??
-Je l'avais vue tomber de votre sac,je savais qu'il vous appartenait. Je voulais vous découvrir,alors oui un peu.

J'étais sûrement rouge et je voulais prendre mes jambes à mon cou. Comment avait-il pu me faire ça.

Il m'avaut blessé et j'avais l'impression que les fleurs de mon jardin secret avaient été piétinés.

Si je ne m'étais pas tourné en courant, il aurait vu les milliers de larmes qui j'ahissais sur mon visage.

J'ai couru pour me rendre chez nous. La porte de ma chambre claqua tellement fort.

Je le haissais. S'était comme si ma vie était sur des panneaux publicitaires.

Lorsque ma mère est entré me voir, j'étais en petite boule sur mon lit.

-Que ce passe t-il ma chérie?

-RIEN, laisse moi tranquille,avais-je jurler sur elle.

Je n'avais jamais montré le ton envers mes parents et qui que ce soit. Lorsque j'ai regarder ma mère j'ai vue son expression triste.

Elle me dit doucement :

-Je suis là si tu veux parler.

Ma mère était ainsi, une femme forte qui nous donne l'impression que la terre pourrait s'écrouler sur elle et elle continuerait à sourire. J'aurai aimé avoir cette force. Son métier l'obligeait à tenir tête à tout et contrôler certains sentiments de sa personne. Ne pas avoir de compassion pour les victimes de ces criminels, effrayer l'adversaire et affronter les dangers.Et pourtant au fond de cette femme, de cette mère, ce cachait aussi un jardin secret. Je pense par contre que personne ne l'avait découvert comme la fait M.Dion avec moi.

Dans la soirée quelqu'un sonna à la porte.

-Bonjour Madame,Monsieur, je me présente M.Dion le professeur de mathématique de votre fille. Elle a simplement oublié son sac et ces devoirs à l'école.

-Entré M.Dion,s'exclama mon père.

-Voulez-vous un café,une tasse de thé?

(NOONN , PAS ÇA)

-Je ne veux pas vous déranger. Je vais vous laissez en famille.

(BONNE RÉPONSE)

-Vous nous dérangez pas, nous allions nous mettre à table, venez, aller (mon père le prit par l'épaule, pour le faire entré)

Et pour en rajouter....

-Descend Léana, nous avons de la visite. Ton professeur de mathématique est là, il a gentillement ramené ton sac à dos.

(LA HONTE)

Je descendais les marches à pas de souris, j'écoutais sa voix douce. Je m'étonnais moi-même d'être heureuse qu'il soit là.

Mon père l'assis proche de lui. Il lui parlait comme un vieux copain.

Je fûs mon entré dans la cuisine, mais cette fois-ci on m'avait remarqué.

-Regarde ma puce, M.Dion a ramené ton sac,dit ma mère.

-Je me demande pourquoi au fait??, s'interrogea mon père.

-Je vais être honnête avec vous..commença à dire M.Dion

(NON NON NON, NE FAITE PAS ÇA)

-Léana à perdu son journal secret en quittant mon cours.

(NE DITES PLUS RIEN)

-Je me suis permis de l'ouvrir, n'étant pas certains à qui il appartenait. Et j'ai eu ma petite idée lorsque j'ai lu le magnifique poème au début. Votre fille écrit de beaux textes, je les ais vue dans mes cours.

(BON MERCI, ILS VONT PENSER QUE JE N'ÉCOUTE PAS EN CLASSE)

-Mais.. vous n'enseignez pas les maths?

-Oui oui, ils ont tomber par terre un jour et je le lui ai ramasser. Il me fit un clin d'oeil.

(POURQUOI AVAIT-IL MENTI POUR MOI)

-Je n'ai jamais vue tes textes ma puce, tu es à découvrir, dit ma mère.

-Ho ouiii, dit M.Dion

Le souper était mouvementer mon père parlait et parlait. M.Dion,( ha oui il nous a permis de l'appeler Wiliam ) ne cessait de me regarder.

Ma mère et mon père le regardait avec admiration. J'ai appris qu'il avait 26 ans, célibataire. Ces intérêts : la pêche, le hockey (il joue dans une ligue) , la musique et la lecture. Mon père s'était trouver un ami de pêche et comme je me l'imaginait, il l'avait inviter à une fin de semaine avec nous au chalet.

-Qu'en pensez-vous? , vous n'aurez qu'à amener vos effets personelles, dit mon père avec tant de supplice.

-Wiliam pas de "vous" et juste si Léana veux bien me pardonner d'avoir ouvert son jardin secret.

Là je peux dire que j'étais rouge rouge comme un homard cuit.

-C'est pardonné,dis-je sans le regarder.

-Super,s'exclama papa, nous partons le vendredi matin dans deux semaine puique c'est pédagogique pour les enfants.

-N'oublie pas mon amour je ne viendrai qu'avec Charlotte et jacob le samedi matin.

-Je partirai avec Wiliam et Léana vendredi dans ce cas.

En cours j'essayai de me concentrer, sans trop le regarder. Quand la cloche sonnait, je ne lui laissais pas le temps de me parler. Il valait mieux sans tenir comme ça jusqu'au vendredi.

LES DEUX SEMAINES LES PLUS LONGUES DE MA VIE.

Sans OrigineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant