Torture

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Je ricane et l’homme fini par regarder en ma direction. J’avance toujours vers lui et pose une jambe sur le bord du lit en le plaquant violemment contre le matelas. Il tente de crier mais je l’en empêche en mettant une main sur sa bouche.

- alors... par quoi commencer ? Oh oui bien sûr.. vous êtes un ignoble monstre répugnant ! Vous avez violé une jeune femme pour votre bon plaisir et ensuite vous vous envoyez en l’air avec une autre femme que votre épouse. Cependant, vous n’avez pas a vous inquiéter car je crois que la dame vous attend pour vous faire passé un sale quart d'heure... en enfer !

L’homme fit de gros yeux en se débattant pour que je le lâche sauf que... je suis plus fort. Je monte complètement dans le lit et me met sur lui a califourchon. J’en vois certains venir... la position a des connotation légèrement sexuelle mais je vous assure que le seul plaisir que j’en tire est ca mort. Je lui fait de multiples entaille sur le torse, dans le cou, un peu partout. Je lui plante mon couteau dans le ventre en le remuant bien dans la plaies tendit que l’homme criait sa douleur. Ensuite, je lui coupe une main queje balance plus loin. Après, je lui replante mon couteau mais cette fois dans le poumon droit pour pas casser le plaisir trop vite. Par après, je découpe son torse pour venir briser les os et ouvrir sa cage thoracique en deux. Pour finir comme il se doit, je lui taille un sourire de l’ange sur la face.

- a...allez y... finissez moi.... Fit-il d’un air suppliant en étant a l’agonie.

Je lèche le sang qui est sur mon couteau tout en regardant l’homme d’un air sadique.

- oh des supplication... mmm... Je fit semblant de réfléchir. Et vous ? Vous avez écouté les supplication de cette fille qui pleurait en vous suppliant de ne pas la violer ? Non... vous ne l’avez pas fait ! Par conséquent je vais vous laisser agoniser en d’atroce souffrance.. vous n’aurez pas le temps de revoir la lumière du jour. Expliquais-je avec haine.

Je regarde autour de nous et prend un chiffon qui trainait la. Je le lui enfonce dans la bouche sans pitié. Ensuite, je prends du scotch que je trouve dans l’armoire et lui en met pour qu’il ne puisse pas crier. Je tapote doucement sa joue ensanglanté et par en riant.

Rester en vie...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant