De la cave a l'infirmerie

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Le chemin me paru si long, surtout dans les conditions dans lesquelles je voyageait. Après un long instant, je sent qu’on me pose assise sur un siège. Quelques attaché mes poignet et finalement, le brasse retire de mes yeux me laissant enfin découvrir les lieux. Disons que ce n’est pas extrêmement accueillant. Ca ressemblait à une cave comme dans les films d’horreur. Les murs étaient gris, sales, couverts de moisissures et de sang par endroit. En regardant devant moi, je vis le clown qui m’observait. Il s’avance vers moi et approchaca ca main griffu de mon visage, possant les pointe de ses griffes sur mes joues.

Est-ce utile de dire qu’actuellement je ne me sent pas bien ?

Je tremble complètement de peur sur le coup puis une idée me frappa. Il pourrait me tuer. Je reviens vite à la raison en pensant à jeff. La grande question qui concernait sa situation me taraudais beaucoup et brûlait mes lèvres.

- comment il vas ? Jeff... Parviens-je a demander timidement.

Le clown me regarda assez surpris et sourit, montrant ces dents pointue qui ferait très mal s’il me mordait.

- il est à l’infirmerie... Me répondis t’il.

- j’aimerait le voir, s’il vous plaît.

Il était soudainement confus. Rapidement, il me fit dos et paraissait réfléchir.

[Slender... la gamine veut voir jeff, je fais quoi ?] Questionna t’il le chef par la pensée.

[C’est la protéger de jeff... alors c’est d’accord]

Le clown ce tourna vers moi et vient défaire mes liens à mes poignet.

- c’est d’accord... mais sache qu’il vas falloir que tu reste bien près de moi jusqu'à l’infirmerie. Certains ne te connaissent pas et pourraient t’attaquer si tu t’éloigne. Explique t’il.

Je me lève de la chaise et passe rapidement mes mains sur mes poignet. Les cordes était pas trop serrer heureusement. Je lève la tête vers le clown.

- comment ça, certains ne me connaissent pas ? Demandais-je.

C’est vrai, non ? Comment ils pourraient me connaître si ils ne m’ont jamais vu ?

- ceux qui te connaissent savent que tu est la protéger de jeff, se qui fait qu’il ne te feront rien sinon ils s’attireront ces foudres. Fit-il. Allez vient...

Il mis une main dans mon dos et me fit doucement avancer. Je ne fit aucune opposition et le suivit de prêt, disons plutôt qu’il me poussait gentiment dans la bonne direction. On remonte tout les deux jusqu'au rez-de-chaussée. Quelques personnages étrange nous regarde passer tendus qu’on se dirige vers les escalier qui nous permettent d’aller à l’étage. On avance dans un long couloir et arrivant devant une porte entre ouverte. C’est la ?

Rester en vie...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant