Pas la police

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Après un petit instant, il perd toute énergie et tombe littéralement sur moi. Son sweat est rouge au niveau de ces bras ce qui signifie que ces cicatrices n’ont pas pu se refermer correctement. Je panique et le prend contre moi, essayant tant bien que mal de le soulever. Malheureusement, je n’est pas autant de force que lui et il m’est impossible de le soulever. Un changement de stratégie s’impose. Je le retourne pour qu’il soit sur le dos et je passe mes bras sous les siens. Je commence a le tirer en marchant à reculons.

- DE L’AIDE.... S’IL VOUS PLAÎT MON AMI EST BLESSER ! Criais-je en espérant que quelqu'un vienne.

Un homme semble m’avoir entendu. Il s’avance vers nous et vien m’aider, mais à peine à t’il vu le visage de jeff qu’il a eu un grand mouvement de recul. L’homme a essayé de me forcer à le lâcher tout en me disant qu’il fallait le lâcher et appeler la police. Je ne cherche pas à comprendre pourquoi il faudrait appeler la police et crie en gardant jeff contre moi. Il est hors de question que je le lâche. Il a un peut trop cru au bon dieux lui.

L’homme commence à sortir son téléphone et composé le numéro en s’éloignant. Je peut pas lâcher jeff, mais je peut pas non plus laisser cette homme appeler la police. Un cris étouffer se fait entendre derrière moi. Je tourne la tête et vois un grand homme fin de couleur blanc et sans visage. Il était accompagné d’un clown monochrome, d’un homme avec un masque noir et blanc et un autre avec un masque noir avec un smiley rouge triste.

L’étrange et grand homme fit apparaître une tentacule qui vient doucement s’enroulé autour de jeff. Je crie en tenant jeff, ne voulant pas le lâcher. Le clown s’approche de moi et m’attrape en me forçant à lâcher ma prise sur mon ami. Je me met à pleurer en me débatant.

- NNNNNNAAAAANNN... lâcher moi, lâcher le... lui faites pas de mal.

- nous ne lui ferons rien, il est l’un des notre et nous allons le ramener pour le soigner. Fit le grand homme sans visage. Bien qu'il mérite une petite leçon. Soupire t’il.

- je fais quoi de la fille ? Demande le clown.

- assome la et amène la au manoir. Fit celui qui semblait être le chef.

J’arrête de me débattre et lève la tête vers le clown, le suppliant du regard. Il me regarde amusé par mon calme soudain puis leva les yeux vers le chef. Le clown hoche simplement la tête et enrôlé un de ces bras autour de ma tête pour couvrir mes yeux. Il me mis sur son épaules et marcha jusqu'au lieu qui lui avait précédemment donner.

Rester en vie...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant