Ghost of tale ( En Pause En Attendant L Inspiration )

Seule

Une vague de panique deferla sur le garçon, qui detalait a toute jambes, sans savoir où aller...

Son instinct animal repris le dessus, et il courait a travers cette caverne, sous la forme d un loup.

Au loin, il entendit le hurlement solitaire de sorn.

Il aurait tant aimé lui répondre, cependant, il ne pouvait pas.

L odeur putride du basilic, montait dans la grotte par bouffée...

Il sentait sa rage.

Il percevait sa faim insatiable. Il entendait la respiration toujours égale, jamais fatiguée.

Mais ce qui prédominait, s était la haine du monstre...

Il haïssait qu un intrus s interpose entre lui et sa proie, qu était rizzen...

Mais le basilic était vif, et il glissait sur le sol, avec une souplesse et grâce, et puissance, que rizzen n avait plus aucune chance de survivre...ses mâchoire s ouvrirent et...

Rizzen dut son salut, qu a l instinct qui dirigea ses pas vers la petite cavité qui s ouvrait dans le flanc d une falaise.

Hors d haleine, il plongea la tête la première, juste assez large, pour n accueillir que lui.

Sa transformation disparu, aussi vite qu elle était venu.

C était une anfractuosité minuscule, peu profonde, a peine plus grande qu une simple faille.

Il se tapit, a genoux, le dos au mur, aplatie contre la roche.

Le reptile, siffla, de colère, quand il atteignit le trou qui lui avait ravi sa proie.

L enfant frémit, aux sifflement, et figé d horreur, il vit la gueule du serpent qui plongeait dans son refuge.

Pris au piège, il regardait le monstre s engouffrer dans l étroit passage.

Il était si proche qu il perçut le bruit humide des mâchoires qui s écartaient.

Et poussa un cri de douleur, lorsque l une des canine du serpent heurta sa chair.

Creusant un sillon, profond et parallèle.

Le garçon se contorsionna pour se mettre hors de portée du serpent, et découvrit a sa gauche, un léger renforcement. Il s y recroquevilla autant qu il put, et retient son souffle.

La gueule du basilic pénétra a nouveau dans l ouverture, ses crocs ne rencontrèrent que le vide...

Furieux, le serpent siffla longuement, en arpentant les abord de la cavité.

Le basilic pouvait prendre son temps, cette immense et terrible créature était l une des plus imposante de son espèce. Elle ne connaissait pas la peur.

Il avait toujours gagner ses combat...s était lui le maître ici !

De nouveau le basilic siffla. Des bruit inquiétant lui parvient.

Des pierres qui roulaient, et tombait dans le fleuve.

Car rizzen n avait fait que longer cette rivière.

Dans sa fureur, le serpent s acharnait sur l entrée de la minuscule fissure.

Il essayait de défoncer la fissure, avec son propre poids.

Rizzen, contre son épaule, sentit que la pierre cédait.

Il poussa un cri et se replia contre lui même.