Ghost of tale ( En Pause En Attendant L Inspiration )

Prisonnier

Quand il reprit ses esprits, il était a l intérieur d'une diligence, avec pour seule fenêtre des barreaux de métal. D autre prisonniers était a l intérieur et s'entassait comme des moutons. Rizzen devait jouer des coudes pour avoir un peu d espace personnelle.

D'ailleurs, il était redevenu un elfe, il ne savait pas trop comment, mais heureusement ! car être un animal dans une si petite cage, l'aurait stressé...

Déjà qu'il était suffisamment angoissé comme ça.

Des gardes entouraient la diligence, formant un cortège impénétrable. Autour, les villageois regardaient la diligence faire route pour...

Ou allait-il ? pourquoi était-il ici ? emprisonné avec les autres ? Quoique...il n'en avait une vague idée...

Il ne l avait pas remarqué tout de suite, mais sa cellule était composé que d'homme, il n y avait pas une seule femme...

Dans la société drow, les femmes n'était pas l égal des hommes. Elle était supérieurs, et aucune femme n était plus faible qu'un homme. Certaine loi, leur passait au dessus de la tête.

Rizzen fut plaqué contre les barreaux, la diligence venait d'accélérer le pas, tirer par des roroths.

D'autre gardes virent rejoindre le cortège, ce qui eut pour effet d agiter les gardes autour, et le convoi se dirigeait hors de la ville, dans les tunnel sombre de l Outreterre.

Alors que la noirceur de l Outreterre les engloutissait, rizzen plissa les yeux, et sa vision discerna avec netteté les alentours comme en plein jour.

Les elfes noirs pouvait voir dans l'obscurité la plus totale. Et dans ses tunnels il n y avait aucun lumière pour se repérer.

La diligence fonçait et il prit encore plusieurs virage violents. Les prisonniers commençait a trembler de trouille, mais Rizzen avait une drôle de sensation. Il ne savait pas pourquoi mais il était euphorique.

Le fourgon freina d un coup sec, balançant les prisonniers contre les barreaux.

Les gardes se dispersèrent...

Dehors, au delà de ses barreaux en fer, Rizzen entendait le bruit d un loup qui grognait.

S'était un rugissement comme il n'en avait jamais entendu. Défiant, enragé et fier. Cela faisait dresser les poils sur son échine et sa nuque, mais pas de peur. Cela faisait battre son cœur plus vite dans sa poitrine.

Le rugissement était sauvage, mais le faisait frissonner de joie. Tous, regardait la scène avec de grand yeux curieux.

En même temps que ses rugissements terrible, il entendait le cri terrifié des gardes. Puis les grognements sauvage s'éteignirent et furent remplacé par un grognement grave et monstrueux. Quelque chose vient cogner les barreaux, et un garde hurla a l agonie.

Il n y eut ensuite des bruissement, des cris et des grognements. Puis encore davantage de cri et des grognement de douleur.

Depuis sa transformation, son nez avait gagné en acuité, et il pouvait sentir l animal qui se tenait au loin. Et s est comme si il avait senti cette odeur depuis les premiers jour de sa vie.

Ses ennemi le maintenait avec des collets, et malgré le nombre élevé de garde qui essayait de le maintenir, mais ce monstre avait ses griffes planté dans le sol, et était décidé a ne pas bouger !

Comme ultime recours, un des gades qui rodait prêt du fourgon tendit la corde de son arc visant le cœur du loup.

Rizzen s appuya contre les barreaux, et hurla.

_ Ne l abattez pas !

Son cri fut si soudain et emplit d énergie, que l'animal s était arrêter, de même pour les gardes.

Tous le fixèrent, et l'animal posa ses pattes sur le bord du fourgon.

Comme pour dire : c'est fini.

Et sous les yeux de Rizzen, l'animal repris la forme d un elfe. Et l'homme qui se tenait devant lui était un géant. Il devait faire deux mètre au moins. De long cheveux argenté encadrait un visage austère et lugubre. De lourdes natte descendait jusqu'à ses épaules. L'homme était l 'homme le plus impressionnant que Rizzen n avait jamais vu...défiant les standard elfique, ce dernier avait un corps solidement charpenté, mais un physique agréable.

A l 'inverse des corps agile et svelte des elfes noir. Sa peau d 'ébène portait des cicatrice sur le visage, et un tatouage mystique couvrait la moitié de sa face ou ils y avaient des balafres.

L'homme se tenait a côté de rizzen, et prenait toute la place dans la cage, mais les autres prisonniers n osait pas râler face a ce monstre.

Le petit elfe sentait le regard du colosse sur lui, et a mesure qu'il avançait et qu'ils était sur le chemin du retour vers la ville, le renégat ne lâchait pas des yeux rizzen.

Il baissa respectueusement les yeux.

-Ne te détourne pas, dit le colosse. Regarde moi.

Rizzen obéit. Le géant ne dit rien, se contentant de lui rendre son regard. Un long silence passa, il avait envie de détourner le regard, il ne savait pas pourquoi. Les yeux sauvage et profond du colosse était irrésistible. Ils étaient effrayants. Rizzen serra les dents, il savait qu'il allait détourner bientôt le regard. C'est alors que l'elfe aux cheveux argenté parla a nouveau :

-Tu me ressemble plus qu'a Briza, c 'est bien. Dit t'il. Tu as mes yeux.

Son cœur rata un battement, et il était empreint d un affreux doute...

-Briza... c'est ?

-Briza est ta mère, moi je suis ton père. Tu peux m 'appeler Sorn.