Nouvelle Orléans
1910
L'homme au costume noir sorti de la maison parsemée de fleurs.
Un autre homme se trouvait là, faisant les cents pas dans le jardin rempli de hautes herbes. Cet homme était anxieux et angoissé.
L'homme en costume se dirigea vers lui, ses cheveux bruns plaqués sur le haut de son crâne, le regard tournait vers l'horizon, il savait qu'il détenait une information qui pouvait faire basculer le cours des choses, qui pouvait transformer l'homme qui était entrain de faire les cents pas.
Un mélange de joie et d'inquiétude se mélangeait en lui. Cette nouvelle pouvait aussi être bien prise comme aussi mal et il redoutait ce que son frère serait capable de faire si il l'a prenait mal.
Il se décida enfin à regarder son frère. Celui ci ne l'avait pas encore remarqué mais lorsque ses yeux se posèrent sur lui, il sentit sa présence et se tourna automatiquement vers lui.
Tous deux n'osaient pas commencé la discussion, l'un craignait la réponse, l'autre craignait la réaction.
L'homme au costume voulut commencer mais son frère le coupa.
« - Comment est-ce possible ? S'exclama l'homme au cent pas
- Un pur fruit de la nature, Klauss, réprimanda l'homme au costume
- J'emmerde mère nature, jura le prénommé Klauss en piétinant l'herbe »
Un nouveau silence s'installa entre eux deux, l'homme savait que c'était à Klauss de lui parler et nous lui, Klauss devait faire par de ses peurs à son frère. Klauss tourna la tête vers son frère et son regard renfermé de tueur habituel laissa place à un regard effrayé et angoissé.
« - Elijah, mon frère, par pitié, dis moi que cette folle ment, que tout ça n'est que mensonge, supplia t-il
- Je suis désolé mon frère, mais ce bébé est bien le tien, que tu le veuilles ou non, il fait dorénavant parti de la famille »
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L'ombre de mes pensées
ParanormálníNouvelle Orléans 1910 Un miracle est arrivé, un miracle de la vie mais pas pour tout le monde. On nous dit souvent dans la vie qu'on ne choisit pas sa famille mais qu'on peut choisir ses amis. Ils peuvent remplacer le manque de notre famille. On nou...
