Cassé

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Cassé, oui je suis cassé,
A coups de marteau,
Sur mes os n’ayant rien demandé.
J’aimerai mourir aussitôt.

Me fendre le crâne,
Mourir,
Eprouver un plaisir,
M’évaporer tel du propane.

Cassé, mon cœur est cassé,
Détruit par un ouragan,
Surpassant l’entendement.
M’amenant à un drame convié.

Es-tu un marteau ?
Qui frappe jusqu’à que je crie,
Qui me fait souffrir jusqu’à que j’en ri.
Voulant à tout prix me briser les os.
Mais un marteau n’a pas d’âme,
Tu n’es ni un humain, ni un outil,
Tu es comparable à une lame,
Qui tisse des plaies infinies.

Je souhaite te faire fondre,
Que tu sois bouilli,
Pour ne plus me morfondre,
De te voir en vie.

Le déclinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant