Lovers [Cake]

Chapitre 7 :

PDV omniscient, éclipse de 2 jours 

Liz Hemmings n'avait toujours pas osé parler à son fils de ce qu'elle avait aperçu la dernière fois. L'image de don fils et de Calum lui revenait souvent en tête. C'est pourquoi, ce jour-là, Liz prit son courage à deux mains, et décida de briser le silence.

PDV Luke

"Luke !" cria ma mère, de ma chambre. J'étais dans le salon, entrain d'envoyer des textos à Calum. J'éteignis mon portable, et me dirigeais, souriant, vers ma chambre.

"Oui ?" dis-je, dans l'encadrement de la porte. "Maman ?" continuais-je, voyant qu'elle était assise sur mon lit, et me fixait de ses beaux yeux.

"Luke, je d-dois te parler de quelque chose..." dit-elle, hésitante. "Calum est venu, la dernière fois... A la maison, t-tu sais ?"

"Oui..." dis-je, méfiant. Qu'avait-elle découvert ? "Il est venu, c'est vrai..."

"Et bien, je... Il n'y avait pas de  bruit dans t-ta chambre, et... J-j'ai, comment dire... Calum et toi... Vous...."

Je restais bouche bée. Ma mère venait de me dire qu'elle m'avait vu baiser mon "meilleur ami" dans ma chambre, et elle ne m'en avait pas parler plus tôt !

"Ecoute, Maman, j-je suis désolé... C-Calum, et moi... Je crois qu'on s'aime v-vraiment...." dis-je, gêné. "Je suis désolé que tu ai vu ça, j-je savais pas que tu v-viendrais, j-je suis..." La sonnette retentie dans tout l'appartement. Je me retournais, et allais ouvrir. J'eus le temps d'apercevoir une touffe de cheveux brunne et blonde, et je sentis un poids énorme me plaquer conre un mur. 

"Calum !" m'écriais-je. "Y a ma mère !" lui dis-je, en fronçant les sourcil.

"Merde !" chuchota-t-il en riant. Il ne savait pas qu'elle nous avait vu. Je devais lui dire, et nous irions nous expliquer ensemble.

"Elle nous a vu." dis-je, simplement. Les yeux bruns de mon copain me dévisagèrent, comme s'il s'agissait d'une mauvaise blague. "Elle nous a vu..." redis-je, en le regardant droit dans les yeux, pour qu'il comprenne que s'était vrai

"Non !" chuchota-t-il, entre ses dents "Putain, mais... Ahhh... Merde !" s'écra-t-il en tapant du pied.

"Quel est le problème Cal ?" demandais-je, un peu surpris par sa réaction. Il voulait que tout le monde sache pour nous deux, et là, il avait l'air tellement anéantit de la découverte de notre secret ! J'en fus blessé.

"J-je suis désolé Luke... J-je voulais pas faire... Pardon..." dit-il en baissant les yeux, comme un enfant.

"Relève ta tête, et embrasse-moi." dis-je. Il s'éxecuta, et colla ses lèvres contre les miennes, en soupirant de soulagement. Il m'aimait. Nous étions si bien. 

PDV Liz

J'allais accueillir l'invité qui venait de sonner, quand j'aperçu Calum, qui plaquait Luke contre un des murs de l'entrée. Ils s'embrassaient. On voyait qu'ils s'aimaient. Je vis Calum passer sa main dans le dos de Luke, et descendre de plus en plus bas...

"Hum hum !" fis-je avant qu'il ne soit trop tard.

Calum tourna la tête, croisa mon regard, rougit, et me sourit. Il était mignon comme tout. Je fus heureuse pour Luke.

"Madame Hemmings..." marmonna-t-il, en regardant ses Van's noires.

"Appelle-moi Liz, Cal, je te l'ai déjà dit !" dis-je en souriant devant tant de timidité.

"Hum... Bonjour Liz." dit-il en relevant la tête, le teint toujours rosi. Il tordait ses mains. Il était stressé. Luke lui fit un bisou sur la joue, et Calum se retourna vers lui, choqué.

"Je sais tout, Calum..." fis-je. Il aquiescat doucement.

"Liz, voilà, je... Je crois que... J-j'aime votre fils, L-Luke..." dit-il. Luke sourit de toutes ses dents.

"Moi aussi je t'aime mon Cal !" cria-t-il en s'élançant vers son amoureux. Cette fois-ci, Calum le prit aussi dans ses bras, et l'embrassa.

"Bon, je crois que je vais vous laisser... Je vais aller au marché les garçons, soyez sages !" dis-je, en enfilant rapidement mon manteau, et en prenant un grand sac à main.

"A toute à l'heure !" me cria Luke. "Je t'aime, Maman !" l'entendis-je me crier, après que j'eusse fermé la porte.

Une larme roula sur ma joue, une larme de bonheur... Mon petit Luke avait bien grandit. Et maintenant, je n'étais plus la seule dans sa vie. Il avait Calum, le beau Calum... Il l'aimait. Et je ne pouvais rien ésperer de mieux.