Écrire, j'ai toujours voulu écrire quelques soient les idées, les mots ou encore moins le but. C'était une façon pour moi de me prouver que mes études m'ont servi et non pas asservi. C'était aussi une façon de tenir promesse et rendre grâce à tout ceux qui ont marqué ma tendre enfance. La question qui devait se poser était " est ce que j'aurai les idées?". Mais pour moi la question ne se posait nullement Car ma vie juvénile misérable soit telle était riche dans sa totalité.
1995 si mes souvenirs sont bonnes, j'avais 5, 6, ou 7 ans mais je Paris pour 7ans car ce fut l'année de ma 1ere entrée scolaire. Un samedi serte tout comme les autres jours de la semaine, mais il y avait bien quelque chose de différente ce jour là. Ce qui avait attiré le plus mon attention à ce fameux samedi c'était les allés et venus de gens connus ou et inconnus. Quelques rares personnes que j'avais eu à reconnaître, c'était les amies de ma grand mère maternelle. Elles se regroupèrent en petit groupe et s'adonnèrent au traitement du blés.
Et comme j'étais trop pressé à aller jouer. J'ai pas demandé le pourquoi de leur présence. Donc j'allais les mettre à l'oubli, mais leurs valses ne cessaient de continuer de plus en plus. Ainsi pour assouvir ma curiosité avec mon esprit enfantin; je me dis "il s'agit sans doute d'un baptême qui aura lieu demain dans le quartier". Alors pourquoi donc les préparatifs du "lakheu" se font dans notre demeure, car à ce que je sasse il n'y a pas de nouveau née ici chez nous? Je Présume quelle trouve plus d'espace ici qu'à la maison en questionJe sortais de la maison en courant l'esprit gagné par le jeu qu'effectuaient mes camarades. "Un but sort son camarade" c'était notre jeu favoris, le principe était simple un seul camp avec un gradient de but et tout le reste était des joueurs il n'y avait point d'équipe ou de coéquipiers c'était le coup du "chacun pour soit..." Le jeu est parti celui qui marque un but choisi d'éliminer un joueur ainsi de suite ainsi de suite, jusqu'il ne reste que deux joueurs qui disputeront la finale et le grand vainqueur sera à son tour le gardien de but, et le jeu reprend de plus belle avec le même principe. Chacun cherchait à marquer un but pour se venger de son camarade qui l'avait éliminé au match passé. Cela suscité beaucoup de rivalité et procurait de l'enjeu au partis.
Par ailleurs je n'avais guère manquer de les informer que demain il aura un événement dans le quartier, me poussant à révéler de quel genre d'événement s'agitait il alors je me précipitais à dire " un baptême " par ce que je donnais l'ère d'avoir maîtriser l'information.- Et de quel baptême s'agit il?
Vu que j'avais pas réponse à cette question j'ai préféré donc jouer sur la carte du suspense. " vous le saurez demain" balançais-je.
Je venais de mentir gratuitement. J'avais tout faux, je n'avais dit vrai que sur une seul chose: " demain il aura un événement dans le quartier" mais j'étais loin d'imaginer de quel genre s'agitait il ou que je serrais au cœur de cet événement.
La nuit venu même affluence que le soir mais en moins, et cette fois ci au tours des hommes quelques rare jeunes et des vieux, des amis de mon grand père maternelle. Comme j'étais coller à lui alors je ne pouvais manquer a leurs discussion. Mais les vieux avaient l'art de parler tout en codant leurs propos. Je les suivais des yeux pendant qu'ils bavardaient sans rien comprendre. Je me demander alors qu'est ce qui pourraient bien les motiver à parler ainsi? Ce que j'avais réussi à retenir dans leurs propos c'est ce qui revenait souvent c'est : "donc finalement c'est pour demain dimanche!" Qu'est ce qui est bien prévu pour demain? Voilas ce qui me hantait pourquoi autant de mystère? Mais toujours j'étais loin d'imaginer ce qui se préparait.
J'allais dormir avec un esprit tranquille et plein de rêve, mais notre réveil fut brutal au cœur de la nuit mes cousins et moi, avec la présence d'une personne du nom de Talla. Sa présence m'intriguais vraiment et comme j'étais à moitié endormi, moitié éveillé donc j'étais pas du tout en état de d'émettre des hypothèses pour comprendre la raison de présence vus que il n'habitait pas chez nous mais plutôt à quelques pâtés de maison de notre domicile. On nous avait réveillés pour des bains mystiques; disent ils pour nous protéger des mauvaise esprits. Les deux les plus âgés du groupe à savoir Robert Amsata S et Amadou C l'un des homonyme de mon grand père maternelle, tout des cousins à moi respectivement le fils de la grand sœur à ma mère et fils du grand frère de ma mère, eux, ils étaient au courant de ce qui se déroulait ou du moins ils avaient réussi à deviner.
C'est ainsi qu'on fut embarquer dans une voiture, mais en vérité je me rappel vraiment de la suivie de la route sans doute j'étais entrain de dormir