A Stage Life

57 - Right Now

Depuis une semaine, on travaille d'arrache pied pour les répétitions.

Une semaine sans nouvelles de Calum.

Je ne rentre pas avant un mois même si je meurs d'envie de rentrer plus tôt.

Taylor : On continuera demain.

Moi : Sortant de mes pensées; On ne continue pas ?

Taylor : Il est 21 heures, on va s'arrêter pour aujourd'hui, je suis épuisée.

Je jette mon sac dans le coin de cette chambre qui est la mienne depuis quel que temps. Je regarde ces murs de couleur crème. À cette instant, je sens le vide me submerger. Je m'assois sur la banquette face à la vue que la ville m'offre et mes pensées vagabondes.

Un mois plus tard.

Je descends de cette avion avec la boule au ventre. Une fois, les valises avec moi, je sors de l'aéroport où je vois Calum assis sur un banc avec ses lunettes de soleil et une casquette.

Il relève les yeux de son portable et son regard se dirige vers moi. Il se lève et se met à marcher vers moi. À cette instant, je veux m'enfuir loin.

Je prends mon courage à deux mains et je m'avance vers lui. Je serre la poignée de ma valise de toute mes force.

Calum : Je ne suis pas garé loin.

Moi : OK.

On marche dans la même direction.

Calum : Je suis désolé.

Moi : Désolé de quoi ?

Calum : De ne pas t'avoir donné de nouvelle. J'y ai beaucoup réfléchit...

Je m'arrête de marcher automatiquement, m'attendant au pire. Sans le savoir, des larmes coulent sur mon visage. Calum s'arrête de marcher et se retourne vers moi.

Calum : Me rejoignant; Ce n'est pas ce que tu penses ! Je ne te quitterai pas si c'est ce que tu penses. Je t'aime trop pour faire ça.

Il attrape mes mains.

Calum : Souriant; Une seule pour laquelle je suis fait. Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai. Et quoique tu fasses, L'amour est partout où tu regardes. Dans les moindres recoins de l'espace. Dans le moindre rêve où tu t'attardes. L'amour comme s'il en pleuvait.

Je me mets à sourire.

Moi : Ton français est impeccable Cal.

Calum : C'est vrai ???

Moi : Rigolant; Non et tu ne seras pas un Francis Cabrel.

Il me regarde avec ce même sourire qui peut faire craquer n'importe qui.

Calum : Je ne serai peut-être pas un mais je serai ton Francis Cabrel.

Malgré toute ses années, il me fait toujours autant de l'effet. Je ressens autant d'amour qu'au début, autant de désirs. Je le regarde et je sais que je passerai la fin de ma vie avec lui, c'est mon âme sœur.

Moi : Je t'aime tellement.

Calum : Moi aussi my little heart.

Je pousse la porte de la maison, les bruits de voix m'accueil, je suis contente d'être rentrée même si c'est pour une semaine.

Calum me suit et pose ma valise à l'entrée.

Les voix cessent et un cris de joie se fait ententre. Je me retourne surprise et Crystal se jette dans mes bras. Je la sers le plus fort que je peux et j'enfuis mon visage dans ses cheveux violet.