Chapitre 16

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Mais je fus vite interrompu, par une visite nocturne...

Chat Noir : "Bonsoir Princesse, je vois que tu profites se soir."

Héléna : "Quand je mange sushi, je fais tout pour en profiter."

Il me regarda et sourit. Il s'avança vers moi et me prit un des sushis posé dans mon assiette.

Chat Noir : "Miaaaaam c'est vraiment trop bon !"

Héléna : "ENNNNNNNH ! COMMENT OSES-TU ? CE SONT MES SUSHIS !"

Je me leva de mon siège et m'avança vers lui, prête à le frapper pour cette trahison. Chat Noir esquiva chacun de mes coups et en une fraction de second, je me retrouva plaqué au sol, avec lui au dessu de moi, me tenant les mains pour me mobiliser.

Chat Noir : "Tout ça pour des sushis ? Toi et la nourriture c'est une grande histoire d'amour non ?"

Héléna : "Tu te trompes, ce n'est pas moi et la nourriture mais moi et les SUSHIS ! C'est une grande histoire d'amour entre eux et moi, alors pas touche, ok !"

Chat Noir me regarda, un regard que je connaissais très bien... Il me sourit et, avec un air de séducteur, il me répondit.

Chat Noir : "Tu es vraiment en mesure de pouvoir me donner des ordres ?"

Chat Noir me reluqua, comme pour me montrer la position dans laquelle je me trouvais et me regarda à nouveau.

Héléna : "Pfff, n'importe quoi !"

Il rigola. Mais ce que Chat Noir ne savais pas c'est que j'en connaissais des techniques pour me sortir de ses situations. Aussitôt pensé, aussitôt fait. Je poussa Chat Noir le plus fort possible et il se retrouva, cette fois, en dessous de moi.

Héléna : "Alors, on fait moin le malin mon chaton ?"

Il me regarda droit dans les yeux et tout en vérifiant dans quelle position il venait d'être mit, il remarqua que je ne tenais pas ses mains, mais que malgré ça, j'arrivais à le garder immobile. Après plusieurs tentatives pour se sortir de la, il abandonna et ferma les yeux.

Chat Noir : "Ah c'est bon, j'abandonne, tu as gagné Princesse."

Contente de voir que j'avais gagné, et souriant comme une folle, je me rendis réellement compte de la situation. J'étais assise sur Chat Noir, qui était, lui, allongé face à moi. Je me mis à rougir, et il le remarqua, décidant de profiter de la situation pour jouer...

Chat Noir : "Tu as peut-être gagné, mais c'est moi qui serait le vainqueur de ce jeu..."

Avant même que je ne comprenne de quoi il parlait, il mit ses deux mains sur ma taille, comme pour me tenir, ce qui me fit encore plus rougir. Je le voyait, content de ce qu'il venait de faire et décida de ne pas me laisser avoir. Tu veux jouer mon chaton ? Et bah on va jouer...

Mon Monde À MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant