Dans quel monde j'aimerais vivre si c'était possible...?
Elle veut juste que sa mère l'aime, pouvoir être utile, trouver une raison de vivre réellement sa vie.
Et pourquoi pas s'imaginer vivre dans un autre monde ? Un monde qui a tout ce qu'elle veu...
Ils essayaient de mettre leur intimité dans ma bouche mais n'y arrivaient pas. Et quand l'un d'entre eux baissa son pantalon pour entrer en moi, j'entendis quelqu'un arriver.
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Je ne vis pas le visage de cette personne, pas au premier abord en tout cas, mais il se battu avec les trois hommes.
Ils finirent par partir et la personne s'approcha de moi. Il me caressa la joue et se toucher me fit peur.
Il le remarqua et enleva tout de suite sa main. Il finit par m'entourer de ses bras et me porta. J'entendis soudain sa voix me dire quelque chose et je pu la distinguer.
Héléna : "Chat... Tu es enfin là..."
Un peu plus tard
J'entendis la pluie, ce qui me reveilla et et j'ouvris les yeux.
Je vis alors, plusieurs petites têtes autour de moi, mais elles étaient légèrement flou. Je me releva, et pu enfin mieux les voir.
Tous les kwamis s'étaient mit autour de moi et me regardaient, l'air inquiet.
Slippi : "Héléna !"
Chompp : "Elle est réveillée !"
Ils se collèrent tous à moi et je souris.
Héléna : "Tout va bien les amis, tout va bien..."
Tous les souvenirs de la veille m'étaient revenu en tête et je me mise à trembler.
J'avais peur, peur de voir les traces sur mon corps, peur de ce qu'ils m'avaient fait... Je ne sentais aucune douleur dans mon bas ventre et j'étais donc sur qu'aucun d'entre eux n'avait fait ce qui aurait pu me tromatiser à vie.
Déjà que je l'étais en ce moment même... Je commençais à avoir froid et me souvenir de chaque chose, de chaque geste me donna envie de vomir.
Je sentis tout à coup des bras m'enlacer et me serrer très fort.
Garçon : "Calme toi."
Uh ! Cette voix !
Je me mise à pleurer.
Héléna : "Chat..."
Je le serra contre moi.
Il se détransforma.
Adrien : "Je suis là, je suis là."
Héléna : "Adrien... Adrien ! J'ai peur !"
Adrien : "Je sais, je sais..."
Il fini par me rejoindre sous la couette, pour me prendre dans ses bras et me rassurer le plus possible.
On resta une bonne heure dans cette position et je finis par m'endormir.
