Chapitre 58

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Il ne restait maintenant plus qu'à attendre d'arriver à Paris. J'allais enfin pouvoir revoir mon copain et j'étais heureuse malgré les larmes qui coulaient encore sur mes joues...

Héléna : "J'arrive Chaton, attends moi..."

"

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🔞Chapitre contenant une scène très attendu par les lecteurs à mon avis !



Arriver à Paris !

Alya : "Arrrrgh ! Enfin arrivé, j'en pouvais plus..."

Marinette : "Moi aussi... *baille*"

Nino : "Ou est Héléna ?"

Alya : "Je crois qu'elle dort encore, je vais aller la réveiller."

Adrien : "Non, ne t'en fais pas, je vais aller la réveiller. Vous pouvez prendre nos valises s'il vous plaît ?"

Ils firent oui de la tête et partirent prendre les valises.

Adrien s'avança à la place d'Héléna et la réveilla en douceur.

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Je sentis une main me caresser la joue et j'ouvris doucement les yeux. Je vis Adrien me regarder tendrement et me parler...

Adrien : "On est arrivé Héléna, il faut que tu te lèves."

Héléna : "Hum... Ok."

Adrien continuait de me caresser la joue et sans que je ne le vois venir il sourit et m'embrassa la front.

Adrien : "Aller, debout petite marmotte."

En remontant sa tête, nos regards se croisèrent et on se regarda droit dans les yeux. Je vis une mèche tomber sur son beau visage et la remit en place. Je toucha donc sa peau et son regard devint encore plus doux qu'il ne l'était.

Il prit ma main, la regarda, plongea de nouveau son regard dans le miens et m'embrassa le dos de la main. On se regarda un long moment et Adrien marmona une phrase que je ne compris pas.

Adrien : "Oh, j'ai tellement hâte d'être ce soir..."

Héléna : "Qu'est-ce que tu as dit ?"

Adrien : "Ah euh, j'ai hâte de retrouver mon lit ah ah."

Héléna : "Ah ok ! Ah ah ah, tu m'étonnes !"

On sorti du bus et nous dirigeâmes vers nos trois amis.

On récupéra nos affaires, nous dire tous au revoir et chacun rentra chez soit, sans oublier de remercier la prof pour ce super voyage.

Avant de rentrer chez moi, je passa faire quelques courses, n'étant pas sur d'avoir ce qu'il fallait pour mon retour. En rentrant je déballa mes affaires et découvris une boîte que je n'avais jamais vu auparavant.

Héléna : "Mais qu'est-ce que c'est...?"

Je ne m'attarda pas longtemps là-dessus et rangea le reste de mes affaires, en mettant la mystérieuse boîte dans un placard.

21 heures

J'avais fini de ranger mes affaires depuis trois heures et j'avais fini de manger. Je parti prendre une douche, me brossa les dents et me mis en pyjama. Pensant que Chat Noir n'allait pas passer ce soir, je me coucha avec un sentiment de tristesse.

Mais à peine dix minutes plus tard, j'entendis toquer à la trappe et me dépêcha d'ouvrir. Mon visage s'illumina d'un grand sourire quand je vis un Chat se tenir juste devant moi.

Il entra et me prit dans ses bras.

Héléna : "Chaton !"

Chat Noir : "Tu m'as tellement manquée Princesse !"

Ah, entendre ce surnom enfin prononcé par la bonne personne me rejouit. Je me détacha de son étreinte et n'attendu pas longtemps avant de l'embrasser avec désir, ce qui le prit de court. Mais il ne me repoussa pas, au contraire, il intensifia le baiser en me collant à lui et c'était juste incroyable. Le contact avec sa boucher m'avait manqué, comme ses mains se baladant sur mon corps d'ailleurs.

On se dirigea vers mon lit et en s'allongent, Chat Noir s'arrêta et me regarda.

Chat Noir : "Doucement ma belle, doucement."

Mais je n'avais pas envie d'aller doucement, je n'avais pas envie d'attendre. Tout ce que je voulais c'était qu'il me touche, qu'il m'embrasse, qu'il prenne possession de mon corps. Je n'attendis pas qu'il s'explique et me jeta sur lui. J'étais à califourchon sur son corps et l'embrassais comme une folle. On aurait dit une obsédé mais à ce moment là, je ne pouvais même pas le nier tellement j'avais envie de lui.

Il réussi quand même à me stopper, malgré les efforts que je faisais pour l'en empêcher et me regarda.

Chat Noir : "Héléna ! Doucement !"

Héléna : "J'ai pas envie !"

Il sursauta.

Héléna : "J'ai envie de toi Chat Noir ! Là, je te veux juste toi et on dirait que toi ce n'est pas le cas !"

Il rougit.

Chat Noir : "Héléna... Ce n'est pas ça, évidemment que j'ai envie de toi et depuis longtemps mais..."

Il tourna le tête.

Chat Noir : "Je veux que tu sois bien sur de toi..."

Je l'écoutais attentivement et n'arrivais pas à comprendre où il voulait en venir.

Chat Noir : "Je ne pourrais pas m'arrêter ! Si tu me demandes d'aller plus loin, que tu me laisses faire et que au final tu changes d'avis, je ne pourrais pas m'arrêter. J'ai tellement envie de toi mais à un point, tu ne t'en rends pas compte..."

Je comprends, mais non en fait !

Héléna : "Écoutes-moi bien monsieur le super Héros de Paris, je ne veux pas que tu t'arrêtes. Je veux te toucher, t'embrasser et que tu fasses de même d'accord ? Je ne te demanderais pas ça parce que je suis comme toi. Si on se lance, je ne pourrais pas m'arrêter non plus."

Ses yeux criaient de désir, tout comme les miens.

Chat Noir : "Je n'attend qu'une phrase de ta part. Une seule phrase."

Je lui souris.

Héléna : "Chat Noir, prends moi !"

Avec plus de fougue que je m'y attendais, Chat Noir se jeta sur moi à une vitesse folle. Il retira mon t-shirt avec efficacité et quand il vu enfin, pour la première fois, ma poitrine cachée par un soutif, il se lécha les babines.

Il passa sa langue entre celle-ci, ce qui me fit gémir. Entendant ce son qu'il aimait tant, il continua la découverte de mon corps en laissant bien évidemment, quelques marques de son passage.

Mais voulant moi aussi le toucher, je me retourna et me mise, à mon tour, au dessu de lui. Je baissa la fermeture éclair de son costume et me retrouva face à son corps que je n'avais qu'une envie, embrasser.

Je me pencha sur lui, lui lécha le ventre, l'embrassa un peu partout, laissant moi aussi quelques marques et je l'entendis gémir. Je décida de baisser encore plus son costume et c'est la que les choses intéressantes et sérieuses commencèrent réellement...

Mon Monde À MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant