Jetais seule, allongée dans la camionnette. Attaché. Je regardais partout, c'était une camionnette blanche très basique. Ptete après 15 minutes de trajet, on arriva. On me détacha et on me fit descendre
-On va s'occuper de tes affaires daccord ! Me rassura un des policiers
Jhocha la tête. On avança, deux policiers me tenant les bras comme ci jetais une prisonnière. Je regarda le bâtiment où jallais séjourné pour un très long moment. La devanture était noire, sans vie, presque ressemblant à un bâtiment abandonné, en bonne état tout de même. Des gens entraient et sortaient de la seule porte accessible. Des adolescents, pleins d'adolescents. Certains ne se laisser pas faire, d'autres pleuré, c'était vraiment bizarre.
-Bonjour !me sourit une dame à l'accueil
-Heum, bonjour. Répondis je sur mes gardes
-Je suis Hélène, je travaille ici depuis 5 ans. Je suis la personne qui va t'aider à aller mieux, je suis la personne qui sera toujours à tes petits besoins ! Comment t'appelles tu ?
-Lana.... Lana Smith
-Enchantée Lana ! Je vais t'accompagner dans ta chambre si tu veux bien me suivre !
Cette Hélène est trop... gentille. Jai pas l'habitude, jai juste l'impression qu on se fou de ma gueule. Mais bon. Je l'a suivait, toujours accompagné des policiers. On monta au 2ème étage, et on traversa un immense couloir. Ce couloir était plus gaie, peinture blanche illuminée par des lampes. Des personnels couraient de chambre en chambre. Je regardais de temps en temps aux portes qui étaient ouvertes les résidents séjournant ici, j'y trouva de tout : des ados scarifié de la tête au pied, d'autres joyeux, ou du moins essayer de le paraître, et d'autre neutre, sans sourire, juste dégoûté de la vie et de cet endroit. Je me compare à ces ados neutres, je suis pareil sur linstant même, neutre. On arriva à la chambre 218, la vache, + de 218 patients ici !
-Voila ton "chez toi", me dis Hélène se montrant le plus calme et rassurante possible. On va te laisser visiter seule, je te rapporterai moi-même tes affaires
Les policiers me dirent au revoir, je les salua de la tête. Ils referment la porte derrière eux. Je fixais cette dernière, javais peur de me retourner. Mais il le fallait. Quand je me retourna, je trouva un lit double, à une basse hauteur, toutes sortes de machines autour. Une table et deux chaises au fond près dune immense fenêtre donnant vu sur une immense cour. Je me rapprocha de la fenêtre pour observer dehors, une centaine d'adolescents se trouvaient là, en plusieurs groupe ou en solo, tous vêtus dune robe blanche à pois. Ils ont l'air jeune, je dirai entre 12 et 14 ans. Mon dieu, en psychiatrie à cet âge ! Pauvre gosses, ils ont du vraiment être traumatisé de la vie.
La journée passait, le monde de dehors commençait à se réduire, les assistantes entrèrent et sortirent de ma chambre tout le temps, pour avoir + d'info, ect... Hélène entra à son tour
-Tu viens manger, ma puce ? me demanda-t-elle si gentillement
-C'est quoi ? dis-je d'un ton neutre
-Des pâtes bolo, me sourit-elle
J'accepta de la suivre, non pas pour manger, mais pour voir les autres habitants. Elle sourit, et m'indiqua de la suivre. Je me leva de mon lit auquel j'étais assise toute la journée dessus pour suivre Hélène, et voir pour la 1ère fois autre chose que mon mur blanc et la grande fenêtre. On croisait plusieurs patients, et plusieurs assistantes qui me saluèrent. J'ai l'esprit vide à cet instant, j'avais oublié pourquoi j'étais là, j'avais oublié le cas spécial qu'ai ma mère. Je ne réfléchissais plus, je marchai, comme ci quelqu'un me contrôlais. Voir ces femmes si gentilles me procurent une sensation nouvelle en moi. Bref, je suivais toujours Hélène, qui actuellement, descendait des escaliers, menant à une partie du bâtiment. Plus on descendait, plus j'entendais des bruits de couverts, des voix, des centaines de voix. On descendit au 3eme étage, certainement un sous sol.
-Bon, ne sois pas surprise du monde que tu vas rencontrer, ce sont tous et toutes des personnes comme toi, ou dû moins presque. Tu vas t'intégrer facilement dans l'établissement, j'en suis sûr ! Voici donc...
Elle ouvre la porte...
-Les 2 milles patients de cet hôpital
PARDON ? 2 MILLES ?
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Psychiatrie
Teen Fictionjvoulais me suicider. jvis une vie de merde. on m'a enfermé dans cette hôpital de merde. sois disant jai des problèmes mentaux. mais cest pas vrai. jvais bien, jvais bien jusqu'à tant qu'il arrive, lui, celui qui va égayer mes journées...