Le journal d'Ayaka

Chapitre 1

Cher Journal

 Aujourd'hui mon père le roi d'Evalion a déclaré que nous Etions entrée en guerre contre notre pays rival Aelion. J'ai peur des conséquences que cela pourrait avoir sur notre peuple. Je doute qu'il y pense. Depuis le départ de ma mère, mon père agi sans sagesse. Je ne le comprends pas, il a toujours agi avec sagesse. Maintenant, que ce n'est plus le cas... Notre pays va tomber entre les mains de nos ennemies, il est hors de question que je le laisse faire. Je n'ai aucune idée de comment l'arrêter. J'ai essayé de lui parler. Je l'ai même supplier, mais rien à faire, il n'écoute personne.

Je soupire longuement et referme mon journal puis le pose sur mes jambes. Comment faire en sorte que père m'écoute. Même le conseil est inquiet, ils sont aussi déconcertés que moi. Déclarer la guerre.. Depuis 5 ans, je lutte pour obtenir la paix entre nos deux nations.
Alors que je suis complètement perdu dans mes pensées, un homme en costume pose une main délicate sur mon épaule.

- Mademoiselle, puis-je vous parler quelques minutes ? Demande-t-il d'une voix douce et inquiète

-oui, je vous écoute ? Répondis-je avec un léger sourire. Il est évident qu'il va me parler de mon père. Son regard inquiet me noue l'estomac. Y-a-t-il un autre problème à propos du roi. À t-il fait une autre déclaration.

-Madame, je suis inquiet à propos du roi... Le conseil a tout fais pour le convaincre d'arrêter, mais celui-ci se trouve être plus têtue qu'un fulk. De plus, je pense qu'il a été agacé puisque qu'il a littéralement renvoyé tout les conseiller.. Mademoiselle, vous êtes notre unique espoir. Peut-être même la seule à pouvoir l'arrêter. Me supplia-t-il désespérer.

J'inspire un grand coup puis lui fais un signe de la tête lui indiquant une repose positive.

- je vais faire de mon mieux, mais je vous promets aucun résultat. Affirmais-je.

Sur ces mots, je suis partie en courant rejoindre le roi. En parcourant les couloirs, une tension me tord l'estomac, un sentiment de malaise m'envahit. Je toque à la porte du roi, mais aucune réponse. Un silence angoissant s'installe.

Je pousse doucement la porte, qui brise le silence avec un grand grincement. Le son de la pluie résonne dans ma tête devant cette vision d'horreur. Le roi et allongé sur le sol sans vie, son abdomen et transpercé de plusieurs dizaines d'entailles. Le sang de mon père se répand jusqu'à mes pieds. Son bourreau et juste au-dessus de lui en train de lui découper la gorge afin de le décapiter. Je suis tétanisée, je veux partir et m'enfuir, mais la peur me paralyse sur place. Je finis pars tombée sur le sol les larme glissant sur mes joues sans aucun son de ma part. Le tueur de mon père s'approche de moi puis dépose la lame dans ma main avant de s'enfuir par la fenêtre.
Des pas lourds résonnent dans le couloir, surement les pas de la garde royale. Un cri d'effroi surgi derrière moi, les gardes entre dans la salle puis me maitrise rapidement sur le sol. Je me retrouve menotter et accompagner dans le donjon d'argent.

C'est là-bas que nous enfermons les membres nobles accuser de hautes trahisons. Un des gardes et venues me faire un interrogatoire. Mais rien de ce que j'ai dit la convaincue.. Il est persuadé que je suis la coupable, je lui ai pourtant détaillé tout ce que j'avais vu.. Comment aurais-je pu tuer le père qui m'a éduquer. Malgré sa folie, il était un homme bon et aimant.. Je soupire longuement puis regarde le ciel du haut de la fenêtre de ma cellule, l'orage gronde et la pluie n'a cesser de tomber depuis ce fameux jour. Le pays que j'affectionne se retrouve déchiré en deux. D'un coté ce qui ne me croient pas et de l'autre ce qui me soutiennent.. Notre pays qui étais ci soudé ou régné une paix sans fin se détruit seuls..

Les nobles on demander mon exécution, j'entends les gardes parler entre eux.. Des jolies hypocrites avide de pouvoirs depuis le début, ils attendent cela. La chute du roi d'Evalion ! Une semaine, c'est écoulée depuis mon emprisonnement et comme la loi le stipules, le Premier ministre a pris la place du roi.. Celui-ci a réussi à éviter la guerre entre les deux nations, mais en retour, il doit me donner comme cadeau au roi d'Aelion.
Je dois avouer que la réputation du roi et très peu glorieuse un monstre assoiffé de sang, collectionnant les trophées des pays vaincus.. Et avec un harem plus que complet. Pourquoi aujourd'hui, il me réclame comme femme de chambre. J'imagine que c'est pour essayer de me rabaisser, enfin, ce n'est qu'un petit sacrifice pour que mon pays aille bien.

Deux gardes s'avancent vers la porte de ma prison puis l'un deux me transmet un poignard.

- si vous voulez mettre fin à votre vie, nous comprendrons. Dit-il avec un air désolé.

-Je ne mettrai pas fin à ma vie qu'importe que je soit réduit au rang de femmes de chambre tant que notre pays prospère dans la paix et la bienveillance. Je ne serais pas votre prochaine reine me reste une Evalionne et sa personne sur cette terre ne pourra me le retirer. Déclarais-je avec conviction

Après ma déclaration tout les gardes tournent leur regard vers moi et m'acclame. Je les regarde surprise, ne comprenant pas leurs réactions. Je souris doucement de bonheur de leur acclamation. Mais rapidement, le silence s'empara des lieux, le Premier ministre entre dans les geôles puis ordonne à un garde de me préparer. Le Roi d'Aelion arrive en ville dans la matinée. Celui-ci s'exécuta rapidement.