Chapitre 2

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Le lendemain, je me réveille en pleine forme. Aujourd'hui, c'est le grand jour : ma sœur se marie. Je me lève en vitesse et me précipite dans la chambre de Bella, j'ouvre la porte en grand et saute sur son lit.

- Bella, lève-toi ! Tu te maries aujourd'hui ! C'est ton jour ! dis-je, toute excitée.

- Mmm, Clara, laisse-moi dormir, murmure-t-elle encore à moitié endormie.

- Non, désolée, on doit te préparer, et regarde tes cernes ! Tu dois être radieuse, et je parie qu'Alice va te le dire.

- On parle de moi ? demande une voix derrière nous.

- Salut Alice ! Pourrais-tu dire à la future Madame Cullen qu'il serait temps qu'elle se lève ? dis-je.

- Je vois, allons Bella, debout ! Edward ne sera pas content si tu n'es pas prête à temps. Allez, il faut se préparer.

- D'accord, je me lève, capitule-t-elle.

Je me dis que je devrais peut-être parler à Bella de ce qui s'est passé cette nuit, mais je préfère attendre qu'elle me le demande. On verra bien.

- Bon Bella, assieds-toi ici et laisse-toi dorloter. Et n'oublie pas, je veux que tu sois radieuse ! dit Alice.

Quelques minutes plus tard, Alice a terminé de maquiller Bella et Rosalie entre dans la chambre.

- Je pourrais peut-être aider. Je peux la coiffer ? propose-t-elle.

- Tu es sûre ? demande Bella.

- Bien sûr, je ne suis pas vexée que tu aies choisi cet époux, dit-elle.

- Ah, les mariages, tout le monde finit par s'y réconcilier, ajoute Alice en nous prenant dans ses bras.

Quelques minutes plus tard, j'entends des voix dans le couloir. Ce doivent être nos parents.

- Alice, Bella ?

- On est là, maman ! répond Bella.

Notre mère entre dans la chambre, et on voit qu'elle est déjà émue.

- Oh mon dieu, tu es vraiment ravissante ! Mon mascara ! s'exclame-t-elle en riant. Entre Charli.

- Tu es superbe, ma fille. Je voudrais juste ne pas te voir trop émue.

- Tu es magnifique, papa, dis-je en riant et en faisant un câlin à maman.

- Il te fallait quelque chose de bleu. commence maman.

- Et quelque chose de vieux, en dehors de ta mère. termine papa.

- Oh, c'est gentil, dit-elle.

- Mais non, maman, il rigole. Enfin, il a raison, dis-je en riant.

- Je te retiens, toi, dit-elle en me frappant légèrement le bras, tandis que je taquine mon père.

- Ça appartenait à ta grand-mère Swan, dit papa.

- Mais nous avons ajouté des saphirs, précise maman.

- C'est vraiment magnifique, merci beaucoup, maman et papa.

- Tu le transmettras à ta fille, qui le transmettra à la sienne, dit maman en pleurant.

- Et maintenant, place à la robe ! dis-je en revenant avec la housse de la robe.

Je descends dehors où tout le monde est rassemblé. Je m'approche du banc où je dois m'asseoir, tout devant, à côté de Carlisle.

- Bonjour, comment allez-vous ? demandai-je.

Carlisle Cullen Où les histoires vivent. Découvrez maintenant