chapitre 4

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PDV ANAË

-TOI?! C'EST UNE BLAGUE?!

-tu le connais? 

Demanda Inari

-Hmmm comment dire.. c'est Jungkook, celui chargé de mon entraînement.

-Enchanté!

-Maintenant,  jungkook?

-Oui?

Dit-il en croquant dans mon sandwich

-MON PUTAIN DE SANDWICH AUX CRUDITES JE VAIS TE TUER

-Merde, c'était le tien?

-Tu te fou de moi là?

-Hmmm oui? T'en veux ?

Il me tend le restant de mon dîner.

-Argh non, ça va aller.. Je te déteste.

Inari nous regardait en essayant de se retenir de rire de toutes ses forces, elle croisa le regard d'Anaë et ce fut la fin, elle éclata de rien.

-HAHAHAHA vous avez l'air de bien vous entendre tous les deux!

Je répondis immédiatement et jungkook également.

-ABSOLUMENT PAS!

-ABSOLUMENT PAS!

On venait de le dire en même temps ? J'avoue qu'à ce moment-là, un petit sourire cachant mon envie de rire se dessina sur ma bouche.

PDV INARI

18h22

La journée est enfin terminée, je fais mes au revoir à Anaë qui rentre aux cotés de ce fameux Jungkook, ils ont l'air assez proches. Anaë essaye de pousser Jungkook du trottoir pour l'obliger ou plutôt, afin de lui faire comprendre qu'il ne doit pas marcher avec elle. Car oui, obliger est un grand mot...

Ils sont drôles tous les deux et ils se ressemblent bien quand même. Anaë mérite d'être heureuse, alors j'espère que cet homme lui en apportera un peu. Même si pour elle, c'est plus un supplice de l'avoir à ses côtes, pour l'instant.

J'étais sur le chemin du retour, mais au dernier moment, je décidai de prendre un chemin différent pour aller m'acheter un bubbletea en ville. Cette sensation, de marcher dans la rue seule à l'heure ou le ciel bleu se teint de rouge, j'adore cette sensation. Mais ce moment ne dura pas longtemps, comme tous ces moments de bonheur. Une fois arrivée en pleine ville, la foule envahie vite mon chemin. Je m'apprêtais à faire la queue pour ma boisson quand, de l'autre côté de la rue, j'aperçus une personne qui retenu mon attention.

-Non... est-ce que ce serait?

L'homme était vêtu d'un costume gris clair très élégant, il marchait d'un pas sur de lui, les mains dans les poches. Il se tourna alors pour appeler un taxi.

-C'est lui!

Je courus de toutes mes forces pour le rattraper, mais il était déjà monté dans le taxi. J'appelai alors un taxi à mon tour.

Une vie, pour une autre.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant