Chapitre 11:

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Point de vue de Marinette:

Je sortie de ma classe à la seconde ou la cloche avait sonnée, je ne pouvais pas rester dans la classe sous le regard de tous le monde que je sentais m'observer.

Juleka, la sœur de Luka, me regardait, je le savais, je l'avais remarquer au moment où j'ai passer une feuille vers l'arrière. De la haine? De la tristesse? Aucune idée. Je savais juste que je trouvais désagréable le sentiment d'être le centre de l'attention dans de mauvais moments.

Alya me suivit de près, elle courrait derrière moi dans le but de me rattraper. Ce n'est qu'à mon casier qu'elle pu être à mes côtés.

Les membres de mon corps tremblaient et étaient incontrôlables, plus je fixais mes mains tremblantes plus ma panique empirait.

Alya prit mes mains et commença à me poser des questions sur mes créations de mode. Mes idées préoccupantes s'éloignèrent peu à peu.

Puis elle revint dès que le visage mécontent de Juleka passa la porte des vestiaires, elle me fixa un moment avant de se diriger vers son casier.

Ma panique revint en une avalanche, je perdis le contrôle, mon corps se dirigea la tête basse en pleure vers la sortie. Presque à la sortie de la salle des casiers, mes pieds maladroits se croisèrent et me firent tomber sur quelqu'un.

Complètement dans ses bras, j'éclata en sanglots, mon corps se laissait tomber sur le sol, les bras forts de la personne ne me lâchèrent point, ils suivaient mon mouvement vers le sol. Je pleurais maintenant dans les bras de quelqu'un, au milieu des gens de ma classe.

La chaleur de la personne était réconfortante, j'aurais voulu y rester des heures voir même des années.

L'éternité.

Je sentis des dizaines de regards braqués sur moi, la tension m'énervaient, je leva la tête vers mon héro et n'en revint pas.

Cheveux blond doré.

Yeux verts magnifiques.

Beauté de dieux.

Adrien.

L'ancienne moi devait l'aimer, JE devais l'aimer. Je l'aime.

Je me remis sur mes pieds, essuya mes joues, me dirigea vers mon casier et enfila mon sac sur mon épaule pour finir le quitter le collège. Mes pas me dirigèrent vers ma maison, peu importe ce que maman et papa allaient en penser, je prenais le reste de la journée « off ».

Dans ma marche, je pensais au regard d'Adrien, il était si parfait, si attentionné, si...

Radiant, carefree, dreamy...

Adrien the fragrance... (joke)

Mes paroles mentales se firent couper par des bruits de pas se rapprochant de moi, ils devenaient de plus en plus proche et je finis par remarquer que mon beau rêve éveillé m'avait suivit.

Je ne m'arrêta point, je resta silencieuse et lui aussi.

Nous étions de plus en plus proche de ma maison et je ressenti une envie de m'excuser pour tout à l'heure.

Peut être qu'il m'avait laissé dans ses bras seulement parce qu'il se sentait obligé.

Je m'excusa et il répondit directement que ce n'étais pas grave en passant sa main dans son cou par nervosité. J'avais remarqué ce mouvement dans plusieurs situations venant de sa part.

Le chat et la souris[miraculous fanfiction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant