Amélia

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Jeune, jolie, brune aux yeux verts.
Elle était souvent qualifiée de "Beauté sur-humaine".

Intelligente, sportive, responsable.
Elle était souvent qualifiée de "Parfaite".

Un grand cœur et une bonté incroyable. Elle avait un sourire qui en à fait tombé plus d'un.

Elle souriais, riait aux éclats.

C'était une magnifique journée.

je m'étais rendu compte ce jour là, de la chance que j'avais de l'avoir dans ma vie.  

-Monsieur, racontez nous ce fameux soir.

- Nous étions... nous étions, sur une colline, non, dans un parc. Oui oui dans un parc, avec des amis. On était entrain de danser sur de la musique. De l'électro. Non. De la pop! C'était... ash qui est ce chanteur déjà? dis-je avec un regard perdu. 

-Monsieur... je sais que vous avez du mal a raconter les faits. Mais s'il vous plait, allez droit au but. Nous en avons besoin. 

- Oui bien-sur. Donc, le soir venu, on était rentrée ensemble. On passais dans une ruelle. Et il y avais...il y avais... des jeunes. Pas de 12ans, non, 17ans? 16? 15? Je ne sais pas. Mais plus jeune qu'elle. Elle aura 20 ans le 15 décembre! J'ai hâte de lui faire son cadeau! rajoutais-je en leur offrant mon plus beau sourire.

L'infirmière me regarda d'un air triste, les policiers aussi, je souriais. J'avais tellement hâte!

-Oui? et donc? Continuez. Dit le sergent? Agent? Oui je crois que c'est agent. Ou commandant? Chef? Ou peut-être bien shérif. Non ca c'est les Westerns.

-Alors... on était passée à coté d'eux, et il...il l'avais...comment on dis? Siffler? Insulté? Non Agressé? Les trois? Et heu...

je cherchais sans cesse dans ma mémoire afin de trouver enfin le mot parfait. 

-Bon je crois que sa suffit pour aujourd'hui. Il ne se souviens même plus des mots! Rajouta Olga l'infirmière. Elle était veille mais gentille!

-Non s'il vous plait madame! Nous avons besoin de ses réponses! Supplia l'Agent, commandant, sergent, chef.

-Non! Allez chercher vos réponses ailleurs!

Allez bim!
L'infirmière 1- shérif 0.

je sourait à ma phrase ce qui vola un regard interrogateur aux agents.  

Olga prit mon fauteuil et me conduis jusqu'à ma chambre. Je pû entendre les policiers suplier en criant de me laisser leur parler.

Je restait souvent les après-midi ou les matins? Les soirs? Enfin, j'aime rester devant ma fenêtre. Pourquoi? Je ne sais pas.

Comme je crois que je ne peux pas bouger, je m'endors souvent dans je crois ce qu'on appelle un "siège avec des roues" parce que Olga arrive trop tard.

Quand je dors, je fais toujours le même rêve. Une fille, une ruelle, des hommes et moi.

C'est peut-être pour ça que je suis ici. Je suis devenu fou? Non. Attend sa veut dire quoi être fou?

Ce soir; les points lumineux était nombreux à sortir du ciel.

Et c'est en les fixant que je tombe souvent dans un coma limitée, comme tout les soirs.

-Chris!

-Lâchez-la!

Je m'acharnais sur eux pour qu'il la lâche. Elle pleurais, criais.

Au début ce n'était d'un simple:" eh ma belle tu nous suce?"

Et maintenant c'est plus:" alors tu dis plus rien maintenant hein!"

Ils étaient 5.

3 sur elle. 2 sur moi. Ils lavait déshabiller en plein milieu de cette ruelle.

Les deux autres, m'avait quasi assommer. Je m'efforçais de rester conscient pour avoir une chance même minime de pouvoir la sauver de ses porcs.

Elle se fessais frappée, touchée, léchée, tâter, c'était un cauchemar interminable.

Je n'avait plus aucune force, et mes poignets était attaché d'une corde épaisse.

Il l'avait fait. J'avais vu ce soir la. Ma meilleure amie. Se faire violée. Juste sous mes yeux.

Je perdit vite connaissance après un coup à la tête.

Et je m'était retrouver ici. Hôpital psychiatrique. J'ai, je crois perdue la moitié de ma mémoire. À présent je n'ai plus toute ma tête. Enfin si j'en est encore une.

Et pourtant toutes les nuits j'en rêve.

Un cauchemar interminable.

Plus tard, j'ai appris que j'avais perdue l'usage de mes deux jambes.

Un cauchemar interminable.

Et enfin... Elle.

Elle.

Elle est morte.

Après l'avoir violée jusqu'à l'évanouissement. Ils l'ont étouffé, étrangler, et elle à quitter notre monde.

Aujourd'hui.
Moi?
Je vis qu'avec une partie de la vie.
J'ai perdue l'autre moitié.
Elle la pris avec elle.
Et...j'y ai déjà pensé.
À la rejoindre.
Je voulais mourir.
Mais...elle voulais vivre.
Alors,

Je vis pour elle et elle meurt pour moi.

Le Recueil aux 1001 HistoiresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant