The rooftop

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Au téléphone se trouve un jeune homme en détresse regardant la vie les yeux vide. Les yeux qui ne sont plus rêveur. Il entend de très belle chose derrière lui, mais pas accès pour qu'il revient sur ses pats. Il n'en peux plus, il le faut, faut qu'il le fasse.

- Non tu ne peux pas ! Tu ne peux tout simplement pas maman ! Bordel, chaque personne ressent des putain d'émotions différents. Les miennes me hante, me font me sentir mal merde ! Tu peux pas comprendre, ta jamais était la, près de moi, tu ma pas aimer comme les autres.

- Je t'aime ! Tu te donne juste pas les moyen de le voir ! Mais je t'aime plus que tout, alors revient.

- Tsk. Ça te vient à la bouche que quand ça te chante, jamais tu me l'aurai dit si je ne m'étais pas réveiller et t'aurais mis les choses au claire devant toi !

- Mais toi regarde toi bordel ! Ma tu aimer ? Ma tu soutenue ? Ma tu compris ? Voyais tu tout l'amour que je te porte ? Non, tu n'en fais qu'à ta tête ! Reviens je te dit, s'il te plait arrête tes conneries !

- C'est pas des conneries. Ce n'est que la folie qui est enfouie dans chaque âme, chaque corps de ce monde. Chaque personne ressent diverses chose, diverse sentiment sont interpréter par chacun. Et moi ses choses je les ai laisser sortir, je les ai libérer, maintenant il y a un poids en moi qui est en moins. Et maintenant ce poids est attirer vers le bas. Il veut rejoindre l'enfer sous ce sol salie par des stupides humain comme toi.

Il ne ferait pas marche arrière il en était sûr. Il avait jeter son téléphone. Il ne voulait pas ce soumettre à ces stupides personnes qui se pensaient intelligente à nous gouverner d'une main de fer. Nous n'étions que des pions qu'ils déplacent à leur guise. Ils ne nous guide pas, ils nous manipule. Mais c'est trop tard pour eux, ils n'auront pas le Blond.

- Kats'u !

Non pas toi. Pourquoi fallait-il que tu viennent maintenant ? Ne vois tu pas que je suis cette folie qui essaie de s'échapper de son corp ? Laisse moi finir ce que de long année de dépression ont commencé. Tu n'a pas le droit de le rendre heureux, tu va tout gâcher. Pars et ne reviens plus jamais, il est à moi tu ne me le prendra pas, il faut que je m'échappe de ce corp sinon il va m'enfouir encore plus profondément en lui et m'oublier. 

- S'il te plait retourne toi ! 

- Non, bar toi, laisse moi bordel, laissez moi merde ! j'suis pas un gosse je sais ce que je suis entrain de faire alors merde casse toi ! 

- Nan, je partirais pas !  Baku écoute moi, t'es pas ce que tu pense, t'es une personne formidable mon monde sans toi ne serra plus le même. Tu est devenue tellement plus en quelque mois et années que certains autres personnes. 

- Ne me compare pas aux autres ! 

Il s'avança un peu plus du bord.

- Non, non arrête c'est bon je ne te compare plus. Je veux juste te dire que tu n'a pas à te sentir si oppresser si mal dans ton corp, tu n'es pas ce que tu pense être. N'écoute pas ces gros con qui disent que tu n'est qu'une brute sans cœur, ils ne te connaissent pas et ne te voient pas comme moi je te vois. Je sais très bien que je ne peux pas ressentir ni entendre ce qui se passe en toi et je m'en veux tellement pour ça. Ne pas savoir ce que la personne qu'on aime ressent et pourquoi il y a autant de détresse dans sa voix est tellement horrible.  

Sa voix était sur le point de ce briser en mille morceaux. Une douloureuse boule se forma dans sa gorge et l'empêché de finir sa phrase, les mots n'arrivent plus à sortir. Les larmes montèrent et prirent le rôle des paroles. 

- Pleure pas. 

- Alors ne saute pas ! 

- Et pourquoi ? Qui ce souviendra de moi, qui viendra même à mon enterrement. Ce n'est pas une question alors ne répond pas. Qui en à foutre de mon existence même. Personne ne serra triste de ma perte au contraire ils seront tous là à rire de ma mort stupide et lâche ! Je ne suis qu'une merde emmerdeuse pour eux ! Je suis qu'une merde qui pourrie la vie des autres mais j'y arrive pas, j'arrive pas à être quelqu'un d'autre, y a un truc qui fait que je peux pas m'ouvrir, être juste plus docile.  

Recueil|| kiribakushimaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant