Chapitre 3

82 5 4
                                    

Le lendemain matin, je fus réveillée par ma mère, comme à son habitude. Elle ouvrit mes volets, et veint s'assoir sur le bout de mon lit. Elle me fit un bisou sur le front et me dit tout bas :

-Bonjour ma chérie,... ton père est parti très tôt ce matin sur un chantier, on va pouvoir être tranquilles! s'exclama-t-elle avec une joie non dissimulée.

Ce à quoi je répondi par un grognement farouche, remplit de volonté de me rendormir. Ma mère sourit puis sortit de ma chambre.

Un journée entière sans mon père.

Je ne pouvais pas demander mieux pour me remettre de mes émotions!

Quand je décida enfin à sortir de mon lit, j'alla me regarder dans le mirroir de la salle d'eau. Je ressemblai trait pour trait à un zombie fraîchement sortit de terre! Les yeux secs en apparences, mais les pupilles vides de toutes émotions, traduisants ainsi la tornade de tristesse qui avait chamboulée mon pauvre cœur.

Hier soir, avant de m'endormir, j'ai réfléchis à l'attitude à adopter avec Ninon et Zoé.

Les ignorer?

Faire comme si de rien n'était?

En final, j'obtais pour leur parler et leur dire que je leurs pardonnais.

En sortant de ma piteuse maison, je croisais le voisin, qui s'occupait généralement de me rabaisser, à peine un pied mis sur le trottoir. Mais je fus surprise de n'avoir aucune remarque désagréable de sa part. Son regard fut même Compatissant? Alors les rumeurs vont si vite que ça? 

Arrivant au collège, les regard se tournèrent vers moi, mais je les ignoraient.

Une fois rejointe par Ninon et Zoé, nous disons en même temps :

-Ils ont quoi les gens aujourd'hui?

Nous partons dans un fou rire MÉMORABLE!!!! Mais aussi un des derniers...

Je pris alors la paroles et elles se turent immédiatement, soucieuses.

-Écoutez les filles... je ne vous en veux pas de n'avoir rien dis... et je vous doit des explications. Si vos pères vous ont demander de ne rien me dire... c'est à cause de mon père. Déjà que je lui parlais rarement, il pensiat que si j'était triste, je lui parlerais encore moin! Je suis désolée...!

Elles me prirent dans leurs bras et je fondit en larmes. Elles me rassurèrent de leur mieu mais le mal était fait : J'allais perde mes deux meilleures amies, et en même temps mon peu de confiance que j'avais mis en mon père.

Les regards qui se posaient sur nous se firent plus instants à cause de nos larmes, mais nous ne faisions plus attention.

Tous ce qui comptait pour nous à présent était de profiter des derniers instants.

Les deux semaines se passèrent bien malgrès mon père qui ne m'adressait plus la parole, ce qui fut formidable!

Mais c'est le dernier jour qui est très surement celui qui nous réservait le plus de surprises...

--------------------------------------------------

Salut!

Désolée pour ce chapitre un peu court mais faute aux devoirs! Pour toute explications rendez-vous chez ma prof de maths! Lol! ;-)

Bref, Je pense pour le prochain chapitre vers mercredi.

A+ !

Un changement de vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant