Carlos Cifuentes-One shot partie 1

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Dans cet imagine Lidia n'a jamais exister.Tu es le personnage principal de l'histoire . Mario,le mari d'Angeles, est mort lors d'une soirée à la compagnie,il avait trop bu et avait percuté un objet avant de tomber et de se fendre le crâne sur une barre métallique.

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"-Toc toc.

-Oui ?

-Bonjour Monsieur...

Tu essaya de lire le panneau en bois sur le bureau de l'homme aux cheveux châtain mais il était dissimulé par un tas de paperasses.

_Cifuentes.

-Bonjour Monsieur Cifuentes. Sara Millan m'a chargée de vous apporter ces documents.

-Aaarghhh encore des papiers à n'en plus finir ! Bien vous pouvez les poser sur mon bureau.

Je fis ce qu'il me demanda.

-Je dois prendre une pose.Il soupira puis me fixa un instant.Vous etes nouvelle ?

-Oui.Je suis une demoiselle du téléphone désormais.

-Hmm je vois. Voudrez vous prendre un café avec moi le temps de vous faire connaitre l'entreprise ?

-Ce ne sera pas nécessaire merci.

-Vous etes sûre ? Cela me fenderait le coeur de rater une pareille occasion de prendre un café avec une charmante demoiselle.

-Vous me voyer dans l'obligation de briser votre coeur dans ce cas.

Je gardai mon sérieux face à son expression faussement attristée se tenant le coeur.

-Ouch.Pauvre de moi. Heuresement je n'abandonne pas si facilement.

-Hum Mlle Millan m'a également chargée de récupérer les relevés d'appels de ce mois ci .

Il attrapa les paperrasses qui m'avait empecher de voir son nom plus tot et je pu voir que s'etait le sous-chef de cette entreprise.

Il me les tendis et les repris au moment où j'allais les attraper.

-Raté.

Il était tout fier.

-Vous etes sure de ne pas vouloir prendre une pause avec moi ?

-J'ai du travail.

-Qui peut attendre. retorqua-t-il.

Un petit rire echappa de ma bouche.

-Puis-je savoir ce qui vous fait rire ?

-Vous devez me donner ces papiers.

-Non si je n'en ai pas envie.

Il s'approcha de moi .Tout près.Nos yeux ne se quittaient pas.

-Je sais que vous le voulez ce café.

-Quel étonnement qu'une employée comme moi soit plus sérieuse qu'un sous directeur. Je ne crois pas que votre travail consiste à faire la cour aux demoiselles et encore moins à celles qui travaillent ici.Je regardai les papiers qu'il tenait. De plus,ces papiers vous pourrez les descendre vous-même.Je ne faisait que proposer pour epargner votre precieux temps-mes yeux se relevèrent dans les siens-,monsieur Cifuentes.

-Vous etes forte ... mademoiselle ?

-t/p t/n.

-Demander à son superieur de faire quelque chose lui même.N'avez vous pas peur pour votre emploi ?

-Vous n'oseriez pas me renvoyer.Je fis la moue comme il avait fait auparavant.Vous n'oseriez pas renvoyer la charmante demoiselle qui fait battre votre coeur si fragile ? Je toucha sa poitrine pour pointer son coeur.

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