Et si...?

N°11

PDV : IZUKU/DEKU

Au petit matin, je retrouve mon amant hors pair allongé sur mon ventre, il m'enlace comme si je risquais de disparaître. Je veux aller faire pipi, mais je ne veux pas prendre le risque de le réveiller. Il est si mignon, je touche ses petites mèches blondes qui tombent sur son front. Il est tellement beau que je pourrais regarder des heures. Une voix rauque, sensuelle et envoûtante me fait sortir de mes pensées.

Katchan : À quoi tu penses ?

Izuku : À toi...

Il se redresse un petit peu et m'embrasse.

Katchan : À moi ?

Izuku : Oui, je me disais à quel point tu étais beau.

Je souris fière qu'il soit mon mari, mon amant, mon meilleur ami et que sais-je encore peut être plus un jour...

                                                 * * * 

Katchan : Bébé, mes parents veulent venir manger à la maison. Je leur dis quoi ?

Même si Katchan aime tout contrôler, quand quelqu'un doit passer à la maison, il prend toujours le temps de me consulter.

Izuku : Dit leur ce que tu veux, ce sont tes parents après tout et cette maison, c'est autant la tienne que la mienne.

Je l'enlace et dépose un baiser sur sa joue et souris.

Katchan : D'accord alors je leur dis de venir pour midi, midi trente okay ?

Izuku : Bien sûr, c'est bien... Attend, il est quelle heure ? Que je sache combien de temps, ils nous restent avant leur arrivée...

Je déteste être en retard alors que Katsuki lui ça ne le gêne absolument pas... Des fois, je me demande s'il ne le fait pas exprès. Katchan regarde son téléphone et moi dit ;

Katchan : Il est onze heure quinze.

Izuku : Euh ça va être un peu juste, si je veux pouvoir préparer un truc plus ou moins potable.

Katchan : Eh calme-toi ce ne sont que mes parents donc un truc vite fait ça le fera. Et connaissant mon père, il va ramener un truc alors ça va aller.

Katchan se dirige vers la cuisine et me dit d'aller me préparer, car je suis encore en pyjama et que lui fera à manger.

Une heure plus tard, ça sonne à la porte, mon mari me gueule d'aller ouvrir le temps qu'il finit ce qu'il fait. Mes beaux-parents sont là-devant moi tout souriant.

Masaru : Bonjour Izuku.

Izuku : Bonjour à tous les deux.

Je les invite à entrer et à prendre leur veste.

(NDA : Pour ceux ou celle qui aurait pu oublier ou qui ne connaisse pas le nom des parents de Bakugo : le nom du père est Masaru et la mère Mitsuki voilà).

Mitsuki me fait la bise alors que le père, lui, me sert la main.

Mitsuki : Où est mon bon à rien de fils ?

Izuku : Dans la cuisine.

Elle se dirige vers la cuisine suivie de près par son mari pendant que je vais accrocher leur blouson au porte manteau.

Quand j'entre dans la cuisine, mon amant est déjà en train de se crêper le chignon avec sa mère... Ils ont toujours été comme ça.

Katchan : La ferme vieille sorcière.

Mitsuki : Parle mieux fils indigne !

Ils ont continué ainsi jusqu'à ce que je finisse de mettre la table.

Cela fait dix minutes que le repas a commencé que Mme Bakugo nous pose des questions sur tout et rien. Comme le boulot ou comment vont nos amis. Quand elle posa une question à laquelle je n'étais pas prêt.

Mitsuki : Alors c'est pour quand les enfants... Ce n'est pas pour dire, mais j'aimerais bien avoir des petits enfants avant de mourir. Cela fait un peu plus d'un an que vous êtes marié et je ne sais combien d'années que vous êtes déjà ensemble.

Bakugo murmura quelque chose. Je suis sûr que ses parents ne l'ont pas entendu.

Katchan : À peu près neuf ans.

Masaru : Chérie ne les presse pas, ils en seront quand ils seront prêts.

Katchan : Jamais... On est bien à deux, pourquoi s'encombrer d'un mioche qui ne sera même pas de nous, sérieux faut être con pour en vouloir.

Un coup de poignard. Voilà ce que j'ai reçu... Il dit ça alors que moi, je veux un, voir plusieurs des enfants, même s'il n'est pas de nous, j'en veux un... Les larmes me montent aux yeux. NON !! Ne pas pleurer, ils ne doivent pas savoir. Je m'efforce de sourire pour cacher le trou qui vient de se créer dans ma poitrine.

Mitsuki : Dit moi, tu sais que vous pouvez quand même avoir des enfants qui ont votre ADN, il vous suffit de faire appel à une mère porteuse.

En disant ça, elle me regarde droit dans les yeux, mon cœur se sert encore un peu plus, mon ventre se tord également.

Katchan : Bah oui vielle folle, bien sûr que je le sais ça. Je ne suis pas con non plus, mais non, je ne changerais pas d'avis en plus comment peut-on avoir un gosse avec le boulot que l'on fait ce n'est pas des conditions de ouf pour un mioche. Bon aller change de sujet celui-là me casse les couilles et pas qu'un peu.

                                                      * * *

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COUCOU TOI !!!!!!!! Comment vas-tu ? Moi, je vais bien, très bien même, je ne sais pas pourquoi, mais c'est le cas !! Alors voilà un nouveau chapitre de cette fan fiction.

On n'oublie pas de :

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ALLER FARVEL, petits pandas )^o^(

À la prochaine.