A travers la fenêtre

Chapitre 2

"Quelle invention ! Maintenant, vous le comprendrez quand vous le verrez. C'est bizarre. Peu importe ce pour quoi elle était en colère, elle a presque battu l'homme à côté d'elle avec l'éventail à la main. La femme fait une dépression nerveuse. Enfin, je est intervenu. Si vous voyez, vous ne vous attendriez pas à de telles actions de la part d'une femme comme celle-là. Autre Les patientes étaient également abasourdies ; elles regardaient la situation comme si elles regardaient une série télévisée. Bien sûr, je ne pouvais pas la regarder comme facilement comme ils l'ont fait. Si je n'étais pas intervenu, il se serait occupé du grand homme. Abandonnez ! » Je voudrais cette information de Tuna. Avant d'entrer, nos patients passent d'abord son examen de la vue. Il regarde les patients, leur parle, puis il me dit toujours s'il remarque quelque chose d'important. Parce que mes patients ne se sentent pas vivants dans cette pièce. Ils voyagent avec moi vers d'autres terres. Tuna , en revanche, voit son état de vie. Cette information m'aide généralement beaucoup, mais aujourd'hui je pense que c'est un peu exagéré... "L'homme à côté de vous est à la fois jeune et beau. Il ressemble à Ibrahim Tatlises. Macho ou quelque chose, mais un gars sympa. On peut Si j'étais réalisateur, il "Je ne mettrais pas un homme comme ça à côté d'une femme. Il faut en changer un." "Tuna, tu n'as pas dû regarder un des vieux films hier soir ? Filiz Akınlar, İbrahim Tatlıses, etc... Enfin, tu es devenu réalisateur." "Non, Mme Gülseren, quand vous le verrez maintenant, vous serez d'accord avec moi. L'homme porte un manteau rouge tout comme İbrahim Tatlıses. Vous savez, nous sommes allés à Chypre ensemble une fois. Ibo est venu nous voir pendant que nous étions assis. Vous savez, il portait un manteau rouge. C'est juste ça... Un grand homme aux sourcils noirs et aux yeux noirs. Il ne lui manque qu'une moustache, et à la place il a un chaume. Je ne comprends pas comment la femme a réagi avec ce grand homme. Elle est petite, mais elle pleure sans arrêt. "Aucun de nous ne pourrait la calmer. Si j'étais le réalisateur, je la choisirais pour la reine. Sa robe est appropriée de toute façon!"« Tuna s sa suffit ! » "Mais je n'ai pas encore dit ce que je vais vous dire. L'homme a amené la femme ici de force. Il veut d'abord vous rencontrer, de toute façon. Il voudra que vous lui donniez beaucoup de médicaments. Il dit que je Je ne peux pas le contenir autrement. Je ne sais pas comment la faire entrer maintenant..." "Je vais te donner beaucoup de médicaments. Faisons entrer ce type." "D'accord. Je vais calmer la dame en attendant." Tuna sort à nouveau comme une tempête. Si je le laisse faire, il parlera jusqu'au matin. Un peu plus tard, après avoir frappé fort à la porte, un grand jeune homme aux cheveux noirs, à la barbe courte et vêtu d'un manteau rouge, entre. Tout comme Tuna l'a dit. .. Il ressemble vraiment à ibrahim Tatlıses. Il se présente à moi en tendant la main d'un geste un peu rude et large, et s'assied sur la chaise en face de moi, les jambes largement écartées. Il pose bruyamment son téléphone portable et sa clé de voiture sur la table basse devant lui, puis tourne la tête vers moi. Ses yeux marron foncé ont un sourire à la fois dur et faux. Il a un air qui essaie de couvrir l'endroit où il se trouve uniquement avec son propre volume, se soucie trop de lui-même et ne donne pas beaucoup de confiance aux gens. Il me regarde fièrement. Je suppose qu'il veut juste finir son travail et partir. Mes yeux ne ressemblent pas du tout aux siens. Il pose légèrement son bras sur ma table et commence à parler. "Docteur , j'ai amené Nalan ici très fort. Dieu a insisté pour que je n'y aille pas, mais nous ne pouvons pas continuer comme ça. Il m'énerve depuis des jours. Votre secrétaire vient de me voir me sauter dessus comme un chat. Elle me tuera si je lâche prise. Je ne permets pas de telles choses. Mais je suis désolé pour toi. Le pire, c'est que j'ai peur qu'un jour ça vienne aussi de mon côté opposé. Si je le frappe, je serai surpris de ce qui s'est passé...