Chapitre 3

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Je n'avais pas de photo à mètre pour ce chapitre donc voici la photo du chat à Sammy voir dans l'histoire pourquoi je la met.

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Le noir, l'obscurité, m'a toujours plu. Marcher la nuit tombé alors que la ville dort, alors qu'aucune lumière ne peut transpercer mon chemin ma toujours porté un certain... Réconfort une certaine paix d'esprit en quelque sorte.

Je marches lentement à travers la ville tout en me dirigeant vers ma petite demeure où, je le sais bien d'avance, mon chat " Moutarde" m'attend impatiemment. Ne me demander pas pourquoi ce nom, je trouvais probablement cela juste rigolo de l'appeler ainsi.

Le village, étant d'un silence frappant, me donna quelque peu la chair de poule car jamais, dans tout St-Bruno, les rues avaient été aussi morte. D'un coup, sans mis attendre, un vent gracial me frappa de plein fouet au visage. Grelottante, j'accéléra légèrement le pas tout en me frottant les bras de mes mains glacées. Si seulement je me décidais à lâcher mes fameuse camisoles et short aussi... La fin de l'été approche a grand pas et se fait ressentir.

Un mouvement, un bruit attira mon attention sur ma droite. J'ai toujours eu les sens très fins. Il s'y trouvait une simple ruelle, rien de bien bien extraordinaire, puis, en y regardant plus attentivement, j'aperçus une porte entrouverte. Je me dirigdirigea vers cette dernière et louvris légèrement. La tentation était trop forte, encore plus avec ce vent chaud qui en sortait, je rentra donc a l'intérieur en prenant bien soin de refermer la porte délicatement dernière moi.

Il fait un noir des plus sombres dont j'ai pus voir de tout mon existence. L'atmosphère est lourd et terriblement difficile à respirer, presque terrifiant. Ça pu la mort, mais je continu à m'en têté malgré tout et m'enfonce un peu plus loin dans les tenebres . je cherche désespérément l'interrupteur quand une vois masculine fait écho. Je me raidit sur le coup de la surprise.

" ce soir, ils viendront. Ils nous tuerons tous, sans aucune exécution, sans aucun pitié. Tu n'as pas idée à qu'elle point ces gens sont sauvages. Tu vois cette ville que tu chéri tant ? " demande-til " demain, elle ne sera que poussière, un vieux souvenir qui finira par s'éteindre doucement aux fur et a mesure que les années passeront." finis à l'homme. Je reconnaisai cette voix, c'était l'homme de tout à l'heure, pas celui à lunette mais l'autre. Mon coeur se mit à battre la chamade malgré la pensée que cet homme n'était qu'un pauvre fou. Je suffoquais.

Classé surnaturel ( amélioré )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant