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Le ciel bleu tel l’eau claire d’un lac. Le soleil brillant de mille feux, elle danse au milieu de la place sous le rythme entêtant des joueurs de festival, elle rit. Son cœur gonflé de joie qu'elle distribuât. 
Dans ce festival de couleur et de sourire. 
Elle ne peut s’empêcher d’envoyer des blagues, de tout prendre à la rigolade. 
D’être souriante à tous ceux qui lui demandent son chemin. 
De dire que le monde est merveilleux, et elle y croit.

On la décrit aimante, adorable, optimiste. Le feu dans les forêts « les hommes trouveront un moyen de les arrêter », une prise d’otage « les policiers arrive ». 
Elle aime de tout son cœur, sans jamais relâcher son sourire , qui semble transpercer son visage.
 Une façon comme une autre de surmonté l’enfer que le monde lui renvois chaque jour.
 Elle a refusé d'arrêter de se réjouir.  Elle continuera de sourire jusqu’à ce que la mort lui est coupée les fils.

« La vie, c’est fait pour être croqué à pleine dent !"  À  tout dépensé en énergie positive , elle en oublie que parfois, il faut penser à sois. 
Elle a donnée de l allégresse. Elle a protéger tout le monde de la tristesse. Mais   certain en on profité.  

L’automne, chaleureux, aimant, l’automne l'étrange saison ou elle reste figé avec un grand sourire. Une étrange saison, ou son rire résonne jusqu’au ciel. 
Une étrange saison, ou son optimisme l’aveugle plus que dans les autres saisons. 
Pour simple preuve, aujourd’hui sa mère enfermée, on y entend des cris, sa mère est avec lui. Elle est persuadée, que tout se passera bien, que tout ira bien.

Le ciel est bleu, le soleil jaune fuchsia, le parterre du jardin est orangé, les odeurs sont pétillante. 
Lui rappelant les yeux de sa mère, pétillant, vert écarlate et orange soleil couchant.
Elle reste dehors dans le jardin, à danser aux milieux des feuilles tombantes, riantes à gorge déployée.
 Elle tente d’occulter le fait que les bruits dans la chambre ce son tut.

Les policiers arrivent finalement, elle se dit qu’enfin sa mère pourra retrouver le sourire, qu’elles pourront enfin être heureuses. Mais les policiers n'ont pas emmené l'homme. Sa mère revient souriante.
Elle pense que sa mère va bien, qu’il n’est pas allé trop loin.

Elle garde le sourire, et le monde s’écroule, son sourire devient faible, mais elle espère que quelqu’un la sortira de là, seul avec lui. 
Je ne vais pas m’y attarder.

your hand on my neckOù les histoires vivent. Découvrez maintenant