Chapitre I : La vie Jauregui

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Lauren ressentait l'air frais de Novembre contre son visage. Une brise fraiche traversa sa chambre se qui l'a fit frissonner. Elle tenta de recouvrir son corps de sa couette mais elle eut, a nouveau, la mauvaise surprise qu'elle se retrouve sous son corps. Elle ouvra les yeux et tenta de revenir sur terre. Une tâche de salive était tomber sur son coussin. Elle reprenait ses esprits. Elle était toute habillée, elle portait encore son jean, sa veste en cuir et ses bouts au pieds. Encore un soir où elle était rentrée et où elle avait bêtement plongé sur son lit. Elle se sentait barbouillée et fatiguée mais elle devait se lever. La porte de sa chambre s’ouvra mais elle était de dos a celle-ci. Le parfum de cette femme ampli la pièce. Elle adorait ce parfum. Dans son parfum, il y avait une note fruité et fraiche.

- Mon ange, tu as cours il faut que tu te lèves…

Lauren acquiesce. Eva sait très bien que Lauren est difficile au réveil alors elle pose son mug sur la commode en bois de  hêtre. Lauren sent tout de suite le café. Elle sourit et entend la porte se refermer. La tête de Lauren tombe de nouveau sur son coussin et elle referme les yeux. Elle prend quelques secondes pour se rendormir mais elle n'a pas peur, Tala va toquer a sa porte pour tenter de lui voler une jupe ou un jean. Elle se rendort donc quelques minutes.

Tala est au rendez-vous. Elle entre en trombe se qui réveille bien Lauren. Elle sursaute de son lit pendant que Tala fouille dans son placard.

- Un jean ou une jupe avec mon t-shirt ? Demande la brune

Lauren retire sa veste et ses boots. Le col roulé blanc que portait Tala ne lui appartenait pas non plus. Elle n’appartenait pas non plus a Lauren mais il était dans son placard. C’était sûrement a une fille avec qui elle avait eut des relations sexuelles et qui l’avait oublié là. Elle ne s'en rappelle pas trop. Elle prend une jupe kilt entre les jupes en jean et complètement noir et lui tend le cintre. Il ne fallut que quelques secondes a Tala pour s'imaginer porter cette jupe. Elle attrape le cintre, remercie Lauren et sort de la chambre. Lauren prend de quoi s’habiller et s'engouffre dans la salle de bain. Elle n’est pas longue soudain la douche, elle prend d’avantage de temps a se maquiller. Elle arrange ses cheveux et sourit.


Elle passe au milieu du couloir, prend sa tasse sur sa commode et descend les escaliers pour atteindre la cuisine

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Elle passe au milieu du couloir, prend sa tasse sur sa commode et descend les escaliers pour atteindre la cuisine. Eva est entrain de faire cuire des œufs et du bacon, Tala fait le sac d’Éva et Bel est dans le salon ouvert sur la cuisine américaine. Bel est devant le télé achat avec un bol de céréales et un ordinateur sur les genoux. Elle est auteure de roman. Ses deux premiers romans ont été de tels succès que tout le monde attend le troisième avec impatience. Elle est tellement concentrer qu’elle ne quitte presque pas le salon pour l’écrire. Elle n’a pas la page blanche ni de problème quelque qu'on que d’écriture mais elle est tellement plongée dans son monde que le bruit autour n’est rien du tout comparé aux mots bruyant qui tapent dans son crâne. Tala est a la fac du coin, elle étudie la biologie marine. Elle est passionnée de poisson, c’est pour ça qu'un aquarium trône sur une étagère dans sa chambre avec deux poissons clown aux airs de Némo. L'un s’appelle Néo et l'autre Roi. Elle les adore et en prend tellement soin qu'on pourrait les prendre pour ses propres enfants. Quant a Eva, elle est une incroyable et remarquable avocate de renommée et elle partage son savoir en étant aussi professeur de droit civil a l’Université de droit très proche de l’Université de Tala. Eva Jauregui était veuve depuis deux ans et ses filles avaient perdu leur père mais pour Lauren, elle a perdu son père adoptif. Lauren avait été adopté depuis maintenant trois ans par les Jauregui. Mike était mort d'une crise cardiaque mais contrairement a ce qu'elle avait penser, ça avait soudé cette petite famille et ça l’avait rapprocher d'elles. Elles étaient sa famille, bien plus que sa vrai famille.

- Tu veux des œufs et du bacon mon ange ?

Rien que sa façon de l’appelé était une preuve énorme. Mais la plus grosse preuve avait été qu'ils l'adopte malgré son homosexualité. C’était malheureux mais c’était un problème pour plusieurs familles. Pas pour les Jauregui. Ils l’avaient accepté comme aucune autre famille auparavant. Ils l’aimaient comme aucune famille. Et ces femmes sont sa famille. Avec le temps, elle avait commencer a appeler Eva maman et présentait les filles comme ses sœurs.

- Ouais s’il te plaît…

Lauren s'assoit et une assiette atterri face a elle. Elle avait l’habitude de faire pour les autres alors elle s’est retrouver dans un autre monde dans cette famille. Le petit déjeuner se passait comme d’habitude, sans le moindre problème. Parfois, ça arrivait qu'Eva parle de l’affaire sur laquelle elle travaille mais toujours partiellement. Ensuite, Tala est la première a quitter la table prétextant devoir aller a la bibliothèque avant un cours. D’après Bel, elle avait un petit ami qu’elle voyait chaque matin avant les cours. Elles avaient même créé un jeu et avait mis en place des points. Qui aura le plus de preuve ? Un cheveux cours et noir sur son t-shirt blanc, un mot dans le cahier de biologie, deux fourchettes en bois jetable d'un restaurant traînant dans sa voiture… Il y avait tellement de possibilité. Lauren adorait ce jeu et elle était très bonne même. Ensuite, Bel se lèvera du canapé pour aller a la douche parce qu’elle n'oubliait pas l’hygiène. Eva partira pour préparer sa salle avec un baiser sur son front. Puis Lauren prendra ses clés de moto et l'enfourchera pour aller direct au lycée. Pas de détour, pas de raccourcis.

Lauren arrive donc au lycée et gare sa moto comme d’habitude, a sa place. Elle descend, retire ses lunettes de soleil et elle attache sa moto. Elle prend son sac dans son petit coffre et avance jusqu’à la porte avec son casque sous le coude. Arrivée dans l’allé principal, Santana et Kurt arrivent a elle. Santana est une fille drôle, caractériel et prête a tout pour ceux qu'elle aime. Elle avait une sexualité encore a définir même si celle-ci semblait bien défini pour elle. Hétéro. Kurt était unique, il porte un tas de paillettes et de strass partout. Il était totalement gay. Je dois vraiment dire qu’il ne se cachait pas ? Il connaissait la choré de single ladies par cœur, porte un cardigan si souvent qu'on ne compte pas le nombre de cardigan différents on l'a vue porter et le plus évident, il aimait Broadway comme personne. Ils étaient les deux seuls a être venu lui parler quand elle est arrivée il y a trois ans et même si maintenant tout le monde la connaissait et l'aimait, elle ne changerait jamais de meilleurs amis.

- Ok j'ai appris que George O'Connell avait embrassé mon pote Travys… dit Kurt.

J’avais oublier de dire qu'ils étaient de vrai commère. Si vous vouliez savoir quelque chose sur quoi que ce soit, c’était eux qu'il fallait voir et personne d'autre. Ils avaient aussi le don de voir les choses que personne ne voyait. On connait tous le « gaydar », ils l'avaient tout les trois.

- Oh oui et il y a une nouvelle… Petite, mignonne, elle va se faire bouffer, rajoute Santana

Lauren et ses deux meilleurs amis entrent dans le lycée. Elle s’arrête devant son casier et une bande de mec s’arrête près d'eux.

- Tu as mon dessin Jauregui ? Demande le plus blond du groupe

Elle fait face a ce Justin Bieber en puissance et s’appuie sur la peinture beige caca doigt des casier. Un regard sévère et elle dit :

- J'ai beaucoup de chose a t’apprendre mon pote… il n'y a pas que le cunni que tu ne sais pas faire, maman ne t'a pas appris la politesse ?

Le blond grogne mais il fourre sa main dans sa veste en jean et sort trois billets de dix. Il les tend a la concerner et celle-ci les prend pour les compter sous ses yeux. Elle vérifie aussi si ils n’étaient pas faux. Elle a assez vécue dans la rue pour savoir qu'on peut se faire avoir avec peu. Elle range les billets dans sa veste en cuir et sort un dessin de son sac. Ce dessin est un dessin personnalisé pour un tatouage. Elle en fait pas mal pour le lycéen et parfois pour les universitaires. Le blond regarde le dessin et sourit. Même si elle fait ce petit travail pour l’argent, elle aime voir un sourire satisfait sur le visage de ses clients.


-	Merci Jauregui ! T’es une putain d'artiste…Il rit et s’éloigne avec son groupe d’amis

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- Merci Jauregui ! T’es une putain d'artiste…

Il rit et s’éloigne avec son groupe d’amis. Elle se reconcentre sur l’intérieur de son casier. Elle attrape son paquet de cigarette dans son casier et le range dans son sac. Elle doit en racheter. Elle ne doit pas oublier d'en racheter. Là, une minuscule douleur la fait se tourner vers Santana qui regarde le couloir.

- Tiens voilà la nouvelle dont je te parlais…

Lauren se tourne vers cette nouvelle. Elle passe dans le couloir sous les regards insistants. Elle est déjà entourer de deux filles que Lauren connait bien. Mais elle n’est pas tant intéresser par ces deux filles. Cette fille est impossible a quitter des yeux. Lauren n'est pas la seule a ne pas pouvoir la quitter des yeux. Cette nouvelle, cette inconnue était d'une beauté a en faire pleurer la déesse de la beauté. Aphrodite serait jalouse de cette création de dieu. Elle est petite, elle a un visage parfaitement dessiné et un air timide qui pouvait faire craquer tout le monde. Ses longs cheveux noir de Latina tombaient le long de sa colonne vertébrale. C’était dingue, elle avait Latina écrit sur son front tellement ses traits étaient latinos. Elle avait le regard baisser et elle regardait le sol comme impressionner mais il n'y avait pas besoin de son regard pour que tout les mecs bavent. Son corps était incroyable. Elle avait des fesses rondes et rebondit de Latina, encore. Elle passait entre les élèves qui la regardait, enfin surtout le mecs et quelques filles, certaines jalouses, d'autres curieuse de leur sexualité. Mais la première phrase que Lauren pensa était qu'elle allait se faire bouffer. Que ce soit par des connasses jalouses ou par des mecs trop lourd. Elle était trop timide pour le monde monstrueux de ce lycée. Ou alors…

LiarOù les histoires vivent. Découvrez maintenant