Cache-cache avec des tueurs ( Underverse )

Cave

7.Saw

Je me précipite dans la cave, à la recherche d'une cachette sûre. Il n'y a pas grand-chose dans cette pièce à par des cartons, pleins de cartons, dont plusieurs sont vides, je me glisse dans l'un d'entre eux et le ferme juste à temps, la porte d'entrée vient de s'ouvrir de façon plus que violente. Un silence pesant s'installe quand soudain une voix grave et menaçante ce fait entendre :

« Séparez-vous, il faut trouver cet humain ! »

Depuis ma cachette je peut entendre de nombreux bruits de pas, puis le grincement de la porte de la cave et de nouveaux des pas qui descendent lentement les escaliers. L'intrus est seul, mais cela ne me rassure pas, ce peut être n'importe qui. J'essaie de rester calme mais tout mes sens son à l'affût du moindre bruit et mes muscles tendus sont prêts à bondir en cas de besoin. L'intrus est tout près maintenant et je peut l'entendre parler, pourtant j'en suis sûr, je n'ai entendu qu'une seul personne descendre. Le squelette est maintenant arrêté devant les cartons :

« Je t'en pris Pap choisis en un. ... Celui-là ? ... D'accord. »

Soudain une lumière violette éclaira la pièce et un bruit de carton que l'on déchiquette ce fit entendre, j'étais en sueur autant à cause de la panique que de la chaleur étouffante qui régnait à l'intérieur de ma cachette. De nouveau la voix du squelette ce fit entendre :

« Raté Pap, à mon tour de choisir. On va voir si j'ai plus de chance ! »

Le carton juste à coté de moi subit le même sort que le premier, par surprise je pousse un petit cri étouffé je me maudit intérieurement d'avoir couru dans la cave, non mais franchement quel imbécile irai ce cacher dans la seul pièce de la maison à avoir comme seul issue son entrée. Pendant que je m'insulte mentalement l'intrus continu son jeu :

« Dit moi Pap tu n'a pas entendu quelque chose ? ... C'est bien ce qu'il me semblait, lequel ? ... Merci frangin. »

En entendant ces mots mon sang ce glaça et mon esprit ce vida instantanément, les pas de l'intrus ce dirigèrent rapidement vers moi. Et merde. Le carton s'ouvrit brusquement et je pu voir un squelette blanc habillé comme le Sans classique, il avait rabattu sa capuche sur sa tête, son œil était rouge et bleu mais ce qui retins le plus mon attention était la quantités de poussière sur lui, je ne pouvait pas me tromper, il s'agissait de Dust. Son crâne était à quelques centimètres de mon visage, je savais que je n'avait aucune chance mais un espoir fou m'envahis et je lui mis un coup de tête ( plus douloureux pour moi que pour lui ). Pris par surprise, Dust recula en tenant son crâne dans ses mains en grognant. Je saisi ma chance en courant vers la sortie, je n'avais pas fait trois mètres qu'une vive douleur à la jambe gauche me fit tomber. Affalé dans la poussière de la cave je regardai ma jambe endolori, un os y été profondément enfoncé mon sang coulant en abondance. Dust se rapprocha de moi :

« Ne t'inquiète pas Pap cet enfoiré va payer pour ça ! »

Il posa sa main sur mon épaule et me fit me retourner de sorte que je soit face à lui, il prit ma tête dans ses mains et approcha de nouveau son visage du mien :

« C'est l'heure du mad time ! »

Son regard fou me fit trembler de la tête aux pieds ce qui le fit rire, il fit apparaître quatre os affreusement pointus qu'il me planta dans les mains et les pieds m'arrachant des gémissements de douleur. Il sorti ensuite un couteau de sa poche et l'approcha de mon corps, des larmes se mirent à couler quand la lame froide caressa mes côtes. Dust fit de nombreuses entailles sur mon corps assez profondes pour être douloureuses mais pas assez pour être mortel, à présent mes vêtements été tachés de mon sang et mon corps été en feu. Mais le squelette jugea que ce n'était pas suffisant, il décida donc de trancher mes nerfs, tendons et ligaments, cette fois je me mis à hurler à m'en déchirer les cordes vocale. Dust me regarda gémir et me tordre de douleur avec un sourire satisfait avant de faire apparaître un gaster blaster. Le crâne flottant ouvrit largement sa gueule, la lumière me força à fermer les yeux, le son du laser et la dernière chose que j'entendis avant de sombrer dans les ténèbres.

Dead end