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"Pourquoi tu t'en soucies autant ? Tu étais le seul pu-"
"Pourquoi je m'inquiète?" dit-il d'un ton en colère.
" Pourquoi est-ce que je m'en soucie putain ? " dit-il encore une fois, alors que je pouvais sentir sa colère irradier de lui.
" Je vais te dire pourquoi je m'en putain de soucie, c'est parce que tu es à moi, pas à quelqu'un d'autre. Compris ? "Il a crié agressivement alors que sa main droite repoussait les cheveux de mon visage alors qu'il inhalait fortement.
" Tu comptes beaucoup pour moi, Sage. " murmura-t-il d'un ton calme.
J'ai mordu ma lèvre inférieure alors qu'un sourire narquois grandissait sur son visage. J'écrasai mes lèvres contre les siennes douces tandis que je courbais mon corps contre le sien.
Il m'embrassa en retour tandis que ses bras s'enroulaient autour de ma taille. Nos lèvres synchronisées alors qu'il me soulevait et que j'enveloppais mes jambes autour de son torse.
Notre baiser toujours fort et passionné, je le sentis monter lentement les marches alors qu'il s'éloignait de notre baiser. Je lui lançai un regard perplexe en regardant la porte de son dortoir derrière moi.
Il m'a poussé sur son lit et s'est jeté sur moi. Ses mains collées à ma taille, nous nous embrassâmes passionnément, tandis qu'il faisait glisser les baisers le long de mon cou, laissant des marques bleues et violettes partout.
" Tu vas regretter de m'avoir testé, princesse." Il marmonna contre ma peau.
" Ah ouais, je veux te voir essayer, Draco." J'ai ri.
Il me regarda droit dans les yeux en haussant un sourcil à ma déclaration.
" Je ne pense pas que tu tiendras cinq minutes." Il ricana.
"Crois-moi, tu seras le premier à craquer." dis-je doucement.
" Voyons si la petite Sage a raison, d'accord ?"
Ses mains trouvèrent le chemin jusqu'à sa cravate noire où il l'enleva d'un geste rapide alors qu'il me bandait les yeux. Ses mains se sont retrouvées jusqu'à mon poignet alors que j'entendais le bruit du métal de sa ceinture et qu'il l'utilisait sur ma main et m'attacha au montant du lit.
Ses mains se posèrent sur les boutons de ma chemise alors que je le sentais les arracher en une seconde alors qu'un halètement s'échappait de mes lèvres.
Un léger rire s'échappa de lui, alors que sa main froide remontait le long de mon dos et qu'il dégrafait mon soutien-gorge.
Ses baisers traînaient le long de mon ventre jusqu'à la taille de ma jupe alors qu'il l'enlevait. Ses mains glissèrent sous ma culotte.
" Tellement mouillé pour moi, n'est-ce pas ? " Il respirait, alors que je restais silencieux, sachant que je ne pouvais pas regarder sans permission.
" Tu restes tranquille, n'est-ce pas ? Bonne fille."
Une fois de plus, il m'a arraché ma culotte. Maintenant allongée, nu, attachée.
Il y eut un long silence lorsque j'entendis la porte se verrouiller.
