« 𝗧𝗿𝗼𝗶𝘀 𝗻𝘂𝗶𝘁𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝘀𝗲𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲, 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝘀𝗮 𝗽𝗲𝗮𝘂 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗺𝗮 𝗽𝗲𝗮𝘂 𝗲𝘁 𝗷𝗲 𝘀𝘂𝗶𝘀 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗲𝗹𝗹𝗲.»
Septembre 1994. Quand une petite française un peu trop arrogante provoque deux Weasley prêts à tout pour gagner...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
C’est la première nuit de la semaine, alors qu’il commence à faire suffisamment chaud pour ouvrir la fenêtre quelques instants la nuit sans pour autant transformer le dortoir en glaçon. La première nuit de la semaine avec George, et ça me fait énormément de bien.
Le dos appuyé contre le sommier du lit, je fredonne la chanson qui passe à la radio. George, couché entre mes jambes, agite sa baguette dans les airs pour faire danser son patronus au rythme de la musique. Mes doigts s’agitent dans ses cheveux, laissant ici et là quelques tresses rousses.
« À quoi est-ce que tu penses, quand tu lances un patronus ? Demande-je, songeuse.
⚊ Toi, tu attends une réponse bien précise, non ?
⚊ Bien sûr que non, je ris doucement, je veux dire… Je m’en fiche que tu penses à moi ou non, je veux juste savoir quel est ton souvenir le plus heureux, idiot.
⚊ Probablement… Merde, tu répètes ce que je vais te dire à personne, c’est bien clair ?
⚊ Waw, on en est aux confidences sur l'oreiller !
⚊ Hé ! Proteste-t-il, me donnant une petite tape sur ma jambe nue. Te moque pas de moi !
